Retour sur un «bad buzz»Chris Pine: «On dirait, en effet, qu'Harry Styles me crache dessus»
Covermedia
2.3.2023 - 10:59
Chris Pine a convenu que la vidéo de l'avant-première de Don't Worry Darling à la Mostra de Venise pouvait prêter à confusion. L'acteur a cependant affirmé dans une interview pour Esquire qu'Harry Styles ne lui avait pas craché dessus.
02.03.2023, 10:59
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Chris Pine a reconnu qu' « on dirait bien » qu'Harry Styles lui crache dessus pendant le Festival du film de Venise.
Des séquences vidéo semblant montrer la popstar cracher sur lui lors de l'avant-première de leur film Don't Worry Darling sont devenues virales sur les réseaux en septembre, les représentants de l'acteur de Star Trek mettant rapidement fin à la rumeur. Dans une interview vidéo pour Esquire, la star de 42 ans a raconté que sa publiciste l'avait alerté sur ces on-dits pendant son voyage de retour en avion.
« Harry est un gars très, très gentil. J'étais dans l'avion avec ma publiciste, nous revenions de Venise et elle m'a réveillé affolée», a-t-il raconté. « Elle me dit : «Nous devons rédiger un message sur ce qui s'est passé à Venise». Et je suis genre : «A propos de quoi ?» «A propos d'Harry qui t'a craché dessus». Et je n'ai aucune idée de ce qui s'est passé. Elle m'a montré la vidéo. On dirait, en effet, qu'Harry me crache dessus. Il ne m'a pas craché dessus. »
L'acteur américain a expliqué qu'Harry Styles s'était simplement penché et avait dit « Ce ne sont que des mots », une blague entre eux deux.
« On avait cette petite blague, parce qu'on souffrait tous du décalage horaire, on essayait tous de répondre à ces questions, et parfois quand vous êtes avec la presse, votre cerveau devient tout confus, vous savez, vous commencez à parler en charabia , et nous avions une blague du genre: «Ce ne sont que des mots, mec" », a-t-il expliqué.
Dans son interview avec le magazine, il a affirmé qu'il n'était au courant d'aucune tension sur le tournage de Don't Worry Darling et a partagé qu'il se sentait mal à propos du « vitriol » que le film d'Olivia Wilde avait reçu. « A Venise, des choses normales ont été montées en épingle par des gens qui voulaient créer des histoires. Elles ont proliféré et se sont aggravées comme un cancer, comme ça peut se produire dans la sphère Twitter. C'était ridicule », a-t-il ajouté.