L’animatrice Cristina Cordula vit un cauchemar à cause d’une infestation de punaises de lit. Et comme elle le précise dans une vidéo sur Instagram, c’est la septième fois qu’elle a besoin du soutien d’un chien renifleur pour les traquer.
Les punaises de lit ont envahi la vie de Cristina Cordula.
Si vous dites à l'ancienne mannequin que l’invasion massive de ce nuisible a été largement montée en épingle par la presse, les services russes et les réseaux sociaux, ce n’est pas sûr qu’elle vous croie. Parce que l’animatrice des Reines du Shopping, sur M6, elle, sait de quoi elle parle!
Ainsi, dans une vidéo Instagram, elle raconte le calvaire qu’elle subit depuis que les punaises sont entrées dans sa vie, dans son lit, dans ses canapés, et tout ce qui est en bois ou en tissu chez elle. « J’ai dû jeter mon lit, j’ai dû congeler mes deux canapés, mon tapis, mes coussins, j'ai acheté un nouveau lit», raconte l’infortunée animatrice. Face caméra, elle avoue: « Je suis dépitée», dit-elle en séparant bien les syllabes, « dé-pi-tée».
Et le calvaire dure depuis sept mois. Sept désinfections ont déjà eu lieu! « Je suis dans ce fléau depuis le mois de juin», précise-t-elle. Filmant le chien renifleur et sa maîtresse venus évaluer la situation, Cristina Cordula annonce le verdict: les punaises sont encore là!
« Il y avait tellement de punaises qu’elles se sont incrustées sur les plinthes de ma chambre. On a dû arracher les plinthes et quand le chien est revenu, elles avaient migré dans le nouveau lit que j’ai acheté», annonce-t-elle avec désespoir.
Et les bestioles n’ont pas limité leur champ d’action, elles ont aussi conquis la pièce où elle dort. « Je ne sais pas quoi faire, vraiment, c’est un fléau, j’ai envie de pleurer, je n’en peux plus», lâche-t-elle.
Comme elle, des millions de personnes en France et dans le monde sont confrontées au retour de ces insectes hétéroptères de la famille des Cimicidae, les mouvements de population en tout genre facilitent l’étendue de leur champ d’action.
L’Etat a décidé de prendre les choses en main… oui, mais comment?
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