Chronique TV «Alad’2»: le film qui fait un carton débarque sur Swisscom TV!

Elvire Küenzi

15.1.2019

«Alad’2» a été tourné majoritairement au Maroc à Ouarzazate, Marrakech et Casablanca.
«Alad’2» a été tourné majoritairement au Maroc à Ouarzazate, Marrakech et Casablanca.
Twitter @Alad2

Je fais partie de la génération qui a grandi avec les dessins animés de Disney. Parlez-moi des «Aristochats» et je vous chante «Tout le monde veut devenir un cat», évoquez «Le Roi Lion» et je pleure à cause de la mort de Mufasa et donnez-moi une réplique de «La Petite Sirène» et je vous ramène mon Polochon en peluche.

Alors, quand on me parle d’Aladin, j’ai encore les images de Jasmine, de Jafar et du voleur qu’on adore qui me reviennent en tête bien que le dessin animé de 1992 lui-même étant une adaptation du conte «Aladin ou la lampe merveilleuse» et du «Voleur de Bagdad».

Pendant mes vacances, j’ai eu l’occasion de visionner le film «Alad’2» avec Kev Adams. Me voilà de retour pour vous en parler.

Je suis plutôt bon public et je suis capable de rire de beaucoup de choses que certains de mes amis qualifient de «niaises» (oui, oui on ne se refait pas) ou de «débiles». Prête à passer un bon moment, j’ai tenté de regarder le film sans lire une quantité astronomique d’articles ou de critiques afin de garder l’esprit pur et sans a priori. J’ai donc commencé le visionnage avec cette attitude positive et bienveillante qui me caractérise (la bienveillance est toujours là en 2019, youpi).

Dès sa sortie, le film fait un carton. Il arrive en tête du box-office français la première semaine avec plus de 852'000 spectateurs.
Dès sa sortie, le film fait un carton. Il arrive en tête du box-office français la première semaine avec plus de 852'000 spectateurs.
Twitter @Alad2

On se retrouve donc plongés dans la ville de Bagdad avec un Aladin, joué par Kev Adams, qui tente de forcer son propre coffre-fort en invoquant la formule magique «Instagram» au lieu de «Sésame, ouvre-toi». Premier gag et je me demande si j’ai vraiment compris. Malheureusement, oui.

Aladin s’apprête à épouser la belle Shallia, incarnée par Vanessa Guide, mais il est chassé du royaume par Shah Zaman (ça ne s’invente pas) interprété par Jamel Debbouze. Le but de notre héros? Délivrer Bagdad et épouser sa princesse. Pour ce faire, il part à la recherche de son génie et élabore un plan pour reconquérir sa ville et le cœur de sa future épouse.

Côté casting, il y a du lourd avec Eric et Ramzy, Jamel, Jean-Paul Rouve et Isabelle Nanty. De nombreux guests font également une apparition remarquée. Ainsi, durant le retour d’Aladin à Bagdad, le film est entrecoupé par les apparitions de Gérard Depardieu en Christophe Collomb, de Frédéric Lopez et de la Reine des Neiges en pleine composition de son célèbre titre «Libérée, délivrée»... (pardon de vous avoir mis dans la tête ce titre enchanteur).

Malgré le succès que remporte le film, je dois vous avouer que je ne suis pas tombée sous le charme de cette production. Les blagues et les dialogues ne m’ont pas vraiment convaincue. Il y a, cependant, trois éléments qui m’ont plu: les décors, Vanessa Guide que j’ai trouvée juste et intéressante dans son rôle de princesse et... le tapis volant. J’aimerais le même.

Les spectateurs semblent apprécier l’humour et les références que l’on retrouve à de nombreuses reprises dans le film! Beaucoup de vannes, des acteurs qu’on adore, un rythme soutenu, ce film est en train de faire un vrai carton au cinéma avec plus de 2 millions d’entrées:

Peut-être que le bêtisier est un peu plus amusant que le film:

Si vous souhaitez découvrir «Alad’2» et vous faire votre propre opinion, le film est disponible en avant-première exclusive Swisscom TV dès ce 18 janvier! 

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Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).
Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).
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