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Chronique TV «Le Flic de Belleville»: Omar Sy plongé dans un trafic de drogue!
Omar Sy se la joue Eddie Murphy dans un buddy movie!
Photo: Impuls Pictures
«Le Flic de Belleville» est disponible en location sur Swisscom TV.
Photo: Impuls Pictures
Omar Sy interprète Baaba, un flic du quartier de Belleville à Paris.
Photo: Impuls Pictures
Cette comédie avec Luis Guzmanr ressemble au «Flic de Beverly Hills».
Photo: Impuls Pictures
Le film est réalisé par Rachid Bouchareb.
Photo: Impuls Pictures
Le film oscille entre la comédie, le buddy movie et le policier, jouant parfois sur un mélange de registres.
Photo: Impuls Pictures
Omar Sy se la joue Eddie Murphy dans un buddy movie!
Photo: Impuls Pictures
«Le Flic de Belleville» est disponible en location sur Swisscom TV.
Photo: Impuls Pictures
Omar Sy interprète Baaba, un flic du quartier de Belleville à Paris.
Photo: Impuls Pictures
Cette comédie avec Luis Guzmanr ressemble au «Flic de Beverly Hills».
Photo: Impuls Pictures
Le film est réalisé par Rachid Bouchareb.
Photo: Impuls Pictures
Le film oscille entre la comédie, le buddy movie et le policier, jouant parfois sur un mélange de registres.
Photo: Impuls Pictures
Omar Sy est de retour! Alléluia! Il en faut peu pour être heureux selon l’adage. Eh bien moi, je suis contente pour une simple et bonne raison: on peut enfin retrouver l’acteur dans son dernier film «Le Flic de Belleville» en location sur Swisscom!
Ceux qui ont grandi avec «Deux flics à Miami» ou encore avec «Le Flic de Beverly Hills» remarqueront tout de suite la ressemblance et les références qui jalonnent «Le Flic de Belleville».
Dans cette réalisation de Rachid Bouchareb, Omar Sy interprète Baaba, un flic du quartier de Belleville à Paris. Il est en train de dîner avec son meilleur ami quand celui-ci se fait descendre sous ses yeux par deux hommes masqués. Mais avant de mourir, Roland, officier de liaison, lui confie des informations sur un trafic de drogue. Tadam! Voilà que je suis un peu scotchée dans mon fauteuil (en réalité sur ma chaise pas très confortable), peu habituée à voir mourir aussi tôt un personnage auquel je commençais à m’attacher. Le monde du cinéma est parfois bien cruel.
Il n’en fallait pas plus pour Baaba! Il quitte son quartier chéri, fait ses valises, prend sa mère sous le bras et fonce à Miami pour y mener l’enquête et venger son pote!
Le film oscille entre la comédie, le buddy movie et le policier, jouant parfois sur un mélange de registres un peu perturbant. J’ai beaucoup aimé le début qui se déroule à Paris avec les scènes à Belleville. On y retrouve l’ambiance de ce quartier populaire, la foule éclectique. J’aurais presque aimé y rester davantage. J’ai été un peu moins séduite par la suite de l’enquête en Floride.
La mère de Baaba, avec qui il entretient des rapports très forts, m’a souvent fait penser à Eli Kakou et à ses sketchs avec Madame Sarfati. Je l’avoue, sa mère a tout du parfait cliché. Pourtant, elle m’a fait rire à plusieurs reprises.
On retrouve également des clichés ailleurs. Un autre exemple? La relation qui se tisse entre Baaba et son homologue américain, Ricardo (Luis Guzman), un flic latino-américain bedonnant qui n’est pas à proprement parler «une lumière». Leur histoire, comme on pouvait s’y attendre, débute mal et les deux flics sont comme chien et chat. Omar Sy se fourre toujours dans des situations impossibles, forçant un peu sur le comique de situation. Mais c’est Omar Sy et il suffit d’un sourire pour qu’on oublie bien vite ses faux pas.
Leurs liens deviennent ensuite plus cordiaux et les deux flics finissent par devenir amis. Ce genre de ressort fonctionne parfaitement bien avec moi, je dois l’avouer. Je les ai trouvés de plus en plus touchants et je me suis attachée à eux et à leur manière de fonctionner.
Malgré un côté caricatural et quelques invraisemblances, «Le Flic de Belleville» est un film plaisant à voir. On passe un bon moment sans prise de tête en compagnie de ce drôle de flic et de son compère. Le sourire d’Omar Sy est un véritable soleil dont on ne se lasse pas! Cet acteur est incroyablement lumineux et me redonne le moral à chaque fois que je le vois sur un écran.
Alors, si Omar Sy vous fait le même effet qu’à moi, n’hésitez pas à louer le film sur Swisscom dès maintenant!
Film/Comedy ∙ FR 2018 ∙ blue Video
Remarque: Bluewin est un site de Swisscom AG (Suisse). L'équipe éditoriale de Bluewin publie régulièrement des informations sur les nouveaux produits et services Swisscom.
Voici les grands favoris des Oscars 2019
Encore quelques jours avant le grand retour de la nuit des Oscars: les statuettes en or seront remises le 24 février à Los Angeles. Avec dix nominations chacun, «Roma» et «La Favorite» partent avec une longueur d’avance. Quels sont les autres prétendants légitimes aux différentes distinctions? Découvrez-les dans notre galerie.
Photo: 2018 eOne Germany/Neue Visionen/2018 Twentieth Century Fox
Glenn Close a déjà un Golden Globe en poche pour son rôle dans «The Wife» (en salles le mercredi 20 février en Suisse): elle a reçu le prix de la meilleure actrice dramatique. Il est également fort possible qu’elle reparte avec un Oscar. Une récompense qui serait méritée pour cette actrice chevronnée, qui en est déjà à sa septième nomination.
Photo: SquareOne Entertainment / Graeme Hunter
Olivia Colman a également été honorée en tant que meilleure actrice principale aux Golden Globes, mais dans la catégorie des meilleures comédies. Aux Oscars, cependant, il n’y aura qu’une gagnante – Glenn Close ou Colman, justement, qui incarne la reine Anne d’Angleterre jusqu’au bout des ongles dans «La Favorite».
Photo: 2018 Twentieth Century Fox
Si le temps passé à porter masque par un acteur était un indicateur des chances de remporter un Oscar, Christian Bale serait probablement le grand favori cette année. En effet, il est quasiment méconnaissable dans le rôle du vice-président américain Dick Cheney, dans «Vice». Toujours est-il que cette performance lui a déjà valu le Golden Globe du meilleur rôle principal dans un film musical ou une comédie.
Photo: Universum Film
Même chose que chez les femmes: Rami Malek a lui aussi obtenu le Golden Globe du meilleur acteur principal (dans la catégorie drame) – et doit désormais se disputer l’Oscar avec Christian Bale. Il est nommé pour son rôle du moustachu Freddie Mercury dans «Bohemian Rhapsody», le biopic consacré à Queen.
Photo: 2018 Twentieth Century Fox
Le réalisateur Alfonso Cuarón a déjà un Oscar (pour le drame spatial «Gravity») – il pourrait désormais en ajouter un deuxième à sa collection: Avec son film «Roma» diffusé sur Netflix, le Mexicain figure en tête de liste. Et même si le titre vient à lui échapper, il a déjà empoché un Golden Globe cette année.
Photo: Kyusung Gong / ©A.M.P.A.S.
Le temps d’une photo, le Grec Yórgos Lánthimos (à droite) a posé en compagnie de John Bailey, président de l’Académie des Oscars. Mais ses chances de remporter l’Oscar sont également élevées: le réalisateur est nommé pour son drame historique «La Favorite».
Photo: Kyusung Gong / ©A.M.P.A.S.
«La Favorite» est somme toute le grand favori des Oscars: outre l’actrice principale Colman et le réalisateur Lánthimos, les deux seconds rôles féminins Rachel Weisz (à gauche) et Emma Stone sont également bien placées pour remporter un Oscar.
Photo: 2018 Twentieth Century Fox
Auréolé de trois nominations, «Si Beale Street pouvait parler» entre dans la course – mais ses chances de victoire reposent surtout sur l’actrice secondaire Regina King. Le Golden Globe qu’elle a déjà remporté en est le meilleur indicateur.
Photo: Tatum Mangus Annapurna Pictures DCM
Deux ans après son Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour «Moonlight», une deuxième statuette en or à l’horizon? Mahershala Ali a déjà remporté un Golden Globe pour «Green Book: sur les routes du sud», un drame abordant le thème du racisme – et l’Oscar n’est plus très loin.
Photo: 2018 eOne Germany
Cependant, la concurrence n’est pas en reste. Adam Driver part également en favori dans la course au prix du meilleur acteur dans un second rôle. Dans «BlacKkKlansman», il incarne un policier qui infiltre le Ku Klux Klan.
Photo: 2018 Focus Features LLC
Au total, huit films sont en lice pour l’Oscar du meilleur film. Parmi ces films figure «Black Panther». C’est la première fois qu’un film de super-héros est nommé dans la catégorie reine. Il n’est pas improbable de voir un film d’aventure de Marvel rafler réellement la mise.
Photo: 2018 Disney / Marvel
«Green Book: sur les routes du Sud» a déjà empoché trois Golden Globes pour le meilleur scénario, le meilleur film musical ou de comédie et le meilleur acteur secondaire. La moisson se poursuivra-t-elle avec l’Oscar du meilleur film?
Photo: Ascot Elite Entertainment Group
Aux Golden Globes, «Roma» a dû se contenter du prix du meilleur film en langue étrangère. Aux Oscars, le drame joue dans la cour les grands et figure pour beaucoup en tant que favori pour le prix du meilleur film. Mais «Roma» est également en lice pour l’Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Photo: Netflix
Si «Roma» se voit effectivement décerner la distinction du meilleur film, plus rien ne barrera la route au drame polonais «Cold War»: le drame en noir et blanc de Paweł Pawlikowski a de grandes chances de remporter l’Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Photo: Neue Visionen
Bien que la contribution allemande «Cold War» soit nommée deux fois – pour le prix du meilleur film en langue étrangère et celui de la meilleure photographie –, le film du réalisateur oscarisé Florian Henckel von Donnersmarck («La vie des autres») a peu de chances de repartir avec un prix.
Photo: 2018 Buena Vista International/Pergamon Film/Wiedemann&Berg Film
Et Lady Gaga, dans tout cela? Pour son rôle principal dans «A Star is Born», la chanteuse part probablement en outsider compte tenu de la concurrence écrasante. Mais la Lady ne devrait pas rentrer bredouille: après un Golden Globe, sa chanson «Shallow» extraite de «A Star is Born» nourrit désormais des espoirs légitimes de statuette en or.
Photo: Andreas Rentz/Getty Images
