Actu people Alison Brie ne cherche pas être sexy

Alison Brie a expliqué au magazine Fashion qu'elle a peu d'intérêt à prouver son sex-appeal. Un état d'esprit partagé par les créateurs de sa série télévisée Glow.

Alison Brie joue Ruth Wilder, le personnage principal de la série Netflix Glow, une actrice en mal de notoriété qui s'implique dans la lutte féministe au milieu des années 80. Bien qu'elle et ses co-stars soient souvent filmées dans des justaucorps, l'actrice nommée aux Golden Globes admet que la série ne cherche jamais à les sexualiser.

« Nous travaillons pour les femmes et pour une série qui parle beaucoup de notre corps, et pourtant nous ne sommes jamais sexualisées, ce n'est pas une priorité de la série, et cela est sans aucun doute en phase avec ce que je ressens en tant que personne. Je n'ai que peu d'intérêt à prouver mon propre sex-appeal », a-t-elle déclaré au magazine Fashion.

La deuxième saison de Glow a été lancée sur le service de streaming à la fin du mois de juin (18), pour le plus grand plaisir de ses fans. Révélant qu'elle s'est battue pour obtenir le rôle de Ruth Wilder, l'actrice américaine a expliqué qu'elle savait exactement comment l'incarner dès le départ. « Je ne saurais même pas expliquer pourquoi, mais il y a certaines choses que lisez et vous vous dites juste : ''C'est mon rôle'', a-t-elle expliqué. Peut-être que ça vient du fait que je trouve que (comme son personnage) j'ai été un peu mal comprise dans ma carrière, même si je ressens toujours ça en dehors de Glow, mais j'ai juste eu cette envie de me battre pour ce rôle, et je savais exactement ce que je voulais faire avec elle. »

La star de 35 ans, qui est mariée à Dave Franco, a également évoqué le fait d'avoir été cataloguée tout au long de sa carrière. « La plus grande idée reçue sur moi est que je suis une actrice de comédie, et ça me rend folle, a-t-elle soupiré. Ce qui est bizarre, parce que je ne peux pas me plaindre de ça sans avoir l'air de dire que je déteste le genre. C'est faux, je l'adore. Mais je suis plus que ça ! »