Six anciens employés témoignent Blake Lively accusée d'avoir créé un lieu de travail «dingue et toxique»

Six anciens employés de la marque Preserve de Blake Lively ont témoigné de leur mauvaise expérience dans cette entreprise auprès du «Daily Mail». Voilà qui ne devrait pas aider l'actrice dans sa bataille juridique contre Justin Baldoni.

Covermedia

21.05.2025, 13:18

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Blake Lively a été accusée par six anciens employés de sa boutique en ligne Preserve, aujourd'hui close, d'avoir géré un lieu de travail «dingue et toxique».

«L'ensemble de l'entreprise était un désastre absolu», a déclaré l'un d'entre eux au «Daily Mail», faisant ensuite référence au procès de la star de «Gossip Girl» envers Justin Baldoni, son collègue et réalisateur de leur film de 2024, «Jamais Plus» (It Ends With Us), pour harcèlement sexuel lors du tournage.

«Les allégations de Blake sur le lieu de travail sont profondément ironiques, étant donné qu'il s'agissait de l'un des environnements les plus dingues, toxiques, émotionnellement épuisants et désorganisés que l'on puisse imaginer», a-t-il ajouté au sujet de l'ancienne marque de l'actrice.

Après les accusations de Blake Lively envers Justin Baldoni l'an dernier, le cinéaste a déposé plusieurs plaintes pour diffamation, visant notamment la star de «The Age of Adaline» et son mari, l'acteur Ryan Reynolds.

Blake Lively a lancé Preserve en 2014 dans l'espoir d'en faire une marque de beauté et lifestyle lucrative à l'instar de Goop, le site à succès de l'actrice et femme d'affaires Gwyneth Paltrow. Cependant, la lenteur des ventes et la faiblesse du trafic l'ont contrainte à fermer le site moins d'un an après son ouverture. «L'impression que Blake m'a laissée après avoir travaillé à Preserve est qu'elle s'en fiche», a déclaré un autre ex-employé. «C'était un environnement de travail vraiment toxique.»

Deux d'entre eux ont également affirmé qu'ils n'avaient pas eu les moyens de prendre le métro parce que leurs salaires n'avaient pas été versés à temps, tandis qu'un autre a affirmé que le bureau avait manqué de mobilier «pendant des mois».

«Ce job a manqué de professionnalisme à bien des égards», peut-on lire. «Pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, il n'y a pas eu de bureau.»

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