Étonnantes confidences Ce petit détail que Jamel Debbouze a voulu dissimuler à Mélissa Theuriau

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3.10.2019

Le couple people, Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze, au Festival de Cannes 2010.
Le couple people, Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze, au Festival de Cannes 2010.
Keystone

La rencontre entre deux des personnalités phares du paysage audiovisuel français ne s’est pas faite dans la simplicité, la faute à un détail physique que l’humoriste et comédien a en horreur chez lui.

Il était imprévisible et pourtant, ce couple dure depuis maintenant 11 années au point de devenir incontournable: elle, 41 ans, journaliste de renom, actrice et productrice, lui, 44 ans, acteur, humoriste et dénicheur de talents avec son Jamel Comedy Club, n’avaient pas grand-chose en commun. Leur première rencontre s’est toutefois déroulée dans des conditions assez surprenantes.

«C’est pas des pieds que j’ai, c’est un mélange de plein de choses.»

Invité de l’émission «La bande originale» sur France Inter, ce mercredi 2 octobre, Jamel, interrogé par Nagui, s’est un peu plus longuement confié sur ce fameux jour: «Y’a des trucs qu’on n’aime pas chez nous, moi je n’aime pas mes pieds. Quand je l’ai vue, j’étais tellement impressionné par elle que je ne voulais pas qu’elle voie mes pieds. Elle a remarqué que je n’étais pas à l’aise, donc la première fois, j’ai dû me cacher», a-t-il révélé.

Une étonnante confession sur cette partie de son anatomie qu’il a en horreur: «C’est pas des pieds que j’ai, c’est un mélange de plein de choses». La jeune femme avait alors constaté cette réserve, cette timidité presque maladive: «Elle a remarqué que je n’étais pas à l’aise, donc la première fois j’ai dû me cacher. C’est ce qui nous a rapprochés. Elle m’a dit “Tu n’as pas à avoir honte de toi, j’aime tout chez toi”».

«Dès que je le voyais, je m’écartais un peu...»

Pour mémoire, le rapprochement s’était opéré à l’occasion du tournage du film «Astérix aux Jeux olympiques» dans lequel Jamel Debbouze retrouvait son rôle de Numerobis. Présente sur le plateau, Mélissa Theuriau avait alors reçu l’ordre de garder ses distances, impératif que la journaliste avait totalement respecté. «Je n’avais pas le droit de l’approcher. Et moi, j’ai obéi sagement. Donc dès que je le voyais, je m’écartais un peu», avait-elle expliqué, sur le canapé rouge de Michel Drucker, en 2015.

Des différences culturelles lourdes à porter?

Cet «incident» n’a pas fait long feu puisqu’à peine un an après leur première rencontre, ils se sont mariés, en 2008: «Mélissa est la meilleure chose qui me soit arrivée! Elle m’a apaisé et recentré. Croyez-le ou non, aujourd’hui, l’endroit que je préfère au monde, c’est mon salon. J’ai de plus en plus de mal à sortir de chez moi», rapportait le magazine people «Voici» en juin 2011.

Même s’il a admis que tout n’avait pas été simple, au regard des différences culturelles entre les deux familles: «J’ai eu un choc culturel avec ma belle-famille, je me suis rendu compte à quel point nous étions tous, du côté de Mélissa comme du mien, bourrés d’a priori. Ça m’a fait prendre conscience que ça pouvait être utile de faire partager notre expérience. En plus on a un enfant magnifique! Imaginez le bordel quand nous avons décidé de l’appeler Léon! Dans ma famille, ça a été un séisme. Ma mère n’arrive toujours pas à l’appeler Léon, alors elle l’appelle Ali».

Le couple est aujourd’hui parents de deux enfants, Léon (10 ans) et Lila (8 ans).

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