(Cover) - FR Showbiz - Rihanna a partagé un cliché d’elle en soutien-gorge paré de bijoux et en string pour célébrer le festival Crop Over, le carnaval de la Barbade, sur son compte Instagram, ce lundi 7 août (17). Les fans ont rapidement commenté son cliché, dans lequel la chanteuse affichait notamment sa nouvelle couleur de cheveux bleu-vert, et l’un d’entre eux a vite été repéré comme étant l’ex de la chanteuse, Chris Brown.
Ce dernier, qui a été condamné pour agression en 2009 après s’en être pris à la chanteuse, a laissé un émoji faire la discussion à sa place, en optant pour deux yeux ébahis en guise de commentaire. Toutefois, les fans de Rihanna étaient moins impressionnés par la réaction de Chris Brown et lui sont rapidement tombés dessus à leur tour. « Pouvons-nous tous dire : "Mec, à quoi tu penses ?" pour le commentaire de Chris Brown sur l’Instagram de Rihanna ???? », a écrit un internaute, alors qu’un autre a ajouté : « @chrisbrownofficial est maintenant encore plus dégoûtant ».
Rihanna a été hospitalisée quand Chris Brown l’a attaquée avant les Grammy Awards, amenant le chanteur à être inculpé pour agression et à recevoir cinq ans de prison avec sursis. La chanteuse a aussi obtenu une ordonnance d'éloignement contre Chris Brown après son agression. En parlant du traumatisme lié à l’incident lors d’une interview avec la magazine Vanity Fair, Rihanna a expliqué : « Je n’ai jamais compris cela, la façon dont les victimes sont punies encore et encore. Cela appartient au passé, et je n’ai pas envie de dire "Il faut t'en remettre" parce que c’est une chose très sérieuse qui est toujours pertinente, c’est toujours réel, a affirmé la chanteuse. Beaucoup de femmes, beaucoup de jeunes femmes, traversent toujours cela. Beaucoup de jeunes hommes également. Ce n’est pas un sujet à mettre de côté, alors je ne peux pas simplement l’oublier comme si ce n’était rien, ou comme si je ne prenais pas cela au sérieux ».
Rihanna a ensuite ajouté : « Mais, pour moi, et pour toute personne victime de violence conjugale, personne ne veut même s’en rappeler. Personne ne veut même le reconnaître. Alors, en parler et le dire une bonne fois pour toutes, bien moins que 200 fois, c’est comme… Il faut que je sois punie pour cela ? Cela ne m’a pas plu ».
Cover Media
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