Actu people Chrissy Teigen fait ce qu'elle peut pour qu'Alison Roman retrouve sa chronique

Après son embrouille avec Chrissy Teigen, Alison Roman s'est vue mettre au placard par le New York Times. La top a fait savoir sur Twitter qu'elle n'était pas d'accord avec cette façon de faire.

Chrissy Teigen n'est pas contente que la rubrique de la journaliste du New York Times avec laquelle elle s'est embrouillée la semaine dernière ait été supprimée. En effet, l'article hebdomadaire d'Alison Roman a été mis au rencard par ses patrons, après son embrouille sur les réseaux sociaux avec la star, qui avait poussé cette dernière à faire une pause d'Instagram et Twitter.

Chrissy Teigen avait répondu à la journaliste qui s'était moquée du succès de son livre de cuisine, Cravings, et de sa collection d'articles de cuisine. Les deux spécialistes culinaires avaient fini par mettre fin à leurs différends, Alison Roman s'excusant platement et Chrissy Teigen expliquant qu'elle était fan de la journaliste.

Néanmoins, cette dispute médiatique semble avoir échaudé les patrons du New York Times, qui ont mis la critique en « arrêt temporaire ». Et cela n'a pas du tout plu à Chrissy Teigen. Répondant à un fan qui lui posait des questions à ce sujet, elle a été très claire. « J'espère que nous pourrons toutes en rire un jour, mais je ne suis pas contente que le New York Times l'ait mise au placard, donc elle ne peut pas vraiment en rire maintenant. C'est absolument nul », a-t-elle posté.

Et d'ajouter : « J'ai très publiquement pardonné Alison, et c'était vrai. Quand j'ai dit que je ne croyais pas qu'il faille être blâmé pour avoir donné son avis honnête, c'était sincère. Je ne suis pas d'accord avec ce qu'a fait le New York Times. Je ne suis pas eux, je ne les ai pas appelés, je n'ai pas écrit, et, plus que tout, j'aimerais son retour. Je n'aime pas cela du tout. Je fais ce que je peux pour qu'on le sache. »

Chrissy Teigen avait à l'époque admis que les commentaires d'Alison Roman « piquaient » car elle était fan de son travail. Cette dernière s'est ensuite excusée publiquement. « Je ne suis pas la victime, et mes insécurités n'excusent pas ce comportement. Je suis une femme blanche qui a et continuera de bénéficier du privilège blanc et je reconnais que cela rend encore plus inexcusable ce que j'ai dit. Il me faut apprendre de cela, et cela me servira de motivation pour être meilleure », avait-elle posté sur Twitter.