La tradition de la première baignade de l'année aux Bains des Pâquis a été initiée le 1er janvier 1997 par le Genevois d'origine lapone, Lennart Jirden. Mardi, coiffé d'un haut-de-forme, le Finlandais a fait sauter des bouchons de champagne avant d'entrer dans le lac.
Le cortège des baigneurs de l'an neuf était ouvert par d'immenses plateaux flottants couverts de coupes de champagne. De nombreux spectateurs étaient présents sur la jetée des Bains des Pâquis.
Certains nageurs étaient déguisés mardi aux Bains des Pâquis pour leur première baignade de l'année. Une dizaine d'entre eux portaient des collants remplis de ballons en guise d'antennes.
Environ 120 personnes ont participé mardi, à Genève, à la traditionnelle première baignade de Nouvel an aux Bains des Pâquis. Elles ont trinqué dans une eau à 7 degrés.
Les participants à la première baignade de l'année organisée aux Bains des Pâquis ont trinqué dans une eau à 7 degrés en poussant des cris. Nombreux sont ceux qui se sont réchauffés en nageant.
Genève: baignade glacée pour commencer 2019
La tradition de la première baignade de l'année aux Bains des Pâquis a été initiée le 1er janvier 1997 par le Genevois d'origine lapone, Lennart Jirden. Mardi, coiffé d'un haut-de-forme, le Finlandais a fait sauter des bouchons de champagne avant d'entrer dans le lac.
Le cortège des baigneurs de l'an neuf était ouvert par d'immenses plateaux flottants couverts de coupes de champagne. De nombreux spectateurs étaient présents sur la jetée des Bains des Pâquis.
Certains nageurs étaient déguisés mardi aux Bains des Pâquis pour leur première baignade de l'année. Une dizaine d'entre eux portaient des collants remplis de ballons en guise d'antennes.
Environ 120 personnes ont participé mardi, à Genève, à la traditionnelle première baignade de Nouvel an aux Bains des Pâquis. Elles ont trinqué dans une eau à 7 degrés.
Les participants à la première baignade de l'année organisée aux Bains des Pâquis ont trinqué dans une eau à 7 degrés en poussant des cris. Nombreux sont ceux qui se sont réchauffés en nageant.
A Genève, l'eau à 7 degrés a accueilli 120 personnes mardi pour la traditionnelle baignade du Nouvel an, aux Bains des Pâquis. L'événement, qui attire toujours plus d'amateurs, fêtait sa 22e édition.
Mardi, l'eau avait un degré de plus que l'air. Certains ont enfilé leur maillot de bain dehors, sur les plates-formes en bois, les vestiaires étant pris d'assaut. Même si le ciel était gris, Gaëtan Beysard, coorganisateur de l'événement, se réjouissait de l'absence de vent et donc de vagues.
A midi, les bouchons de champagne ont sauté. En cortège, les baigneurs de l'an neuf sont entrés dans l'eau à la suite de deux immenses plateaux flottants couverts de coupes. Antennes formées par des ballons, perruque d'un jaune fluorescent, maillot de bain homme style Belle époque rayé rouge et blanc, noeuds papillon et hauts-de-forme: les déguisements étaient de la partie.
Pendant que les participants trinquaient dans le lac en poussant des cris sous le regard amusé des spectateurs, d'autres ont nagé. "Il faut que je bouge", a résumé une femme. Au loin, un bateau Mouette qui navigue entre les deux rives de la rade saluait les baigneurs à coups de klaxon. "Nous n'avons jamais eu autant de monde", a noté Gaëtan Beysard.
"Des bobos"
Cette tradition a été instaurée le 1er janvier 1997, par un Genevois d'origine lapone. "Nous étions deux", se souvient le Finlandais Lennart Jirden en montrant la photo de la première édition. L'événement a grossi progressivement. Il a pris de l'ampleur en 2011, lorsqu'une annonce a été placée sur le site internet de la Coupe de Noël, une compétition populaire de nage dans le lac.
Une bonne partie des participants à cette première baignade de l'année se jette dans le Léman été comme hiver. "C'est une drogue", relève une femme. "Il y a toujours plus de monde. Des bobos", constate un de ses amis en se réchauffant près d'un poêle à bois. "Alors, on est tous des bobos!", s'amuse un autre.
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