David LaChapelle et Pamela Anderson, 2015.
Pamela Anderson dans Alerte à Malibu, 1995.
Pamela Anderson dans le film Barb Wire, 1995.
Pamela Anderson et Rick Salomon, 2007.
Pamela Anderson et Tommy Lee, 1995.
«Just Do It»: Pamela Anderson a osé la coupe courte.
David LaChapelle et Pamela Anderson, 2015.
Pamela Anderson dans Alerte à Malibu, 1995.
Pamela Anderson dans le film Barb Wire, 1995.
Pamela Anderson et Rick Salomon, 2007.
Pamela Anderson et Tommy Lee, 1995.
«Just Do It»: Pamela Anderson a osé la coupe courte.
La star canadienne Pamela Anderson s'en est pris lundi sur Twitter à la «violence structurelle des élites» en France et dans le monde, au surlendemain des violents incidents qui ont émaillé les manifestations des «gilets jaunes».
«Je méprise la violence... mais que représentent la violence de tous ces gens, ces luxueuses voitures brûlées, en comparaison de la violence structurelle des élites françaises - et mondiales?», a tweeté Pamela Anderson.
L'ex-égérie du feuilleton américain «Alerte à Malibu», qui vit aujourd'hui à Marseille (sud-est) avec le footballeur Adil Rami, a poursuivi: «au lieu d'être hypnotisés par ces images d'incendies, nous devons nous demander d'où ça vient...».
«La vraie question est de savoir si la désobéissance peut être constructive»
«La réponse est que cela vient des tensions croissantes entre les élites des grandes villes et les pauvres dans les zones rurales, entre les politiques représentés par Macron et les 99% qui en ont marre des inégalités, non seulement en France, mais dans le monde entier aussi», ajoute-t-elle.
«La vraie question est de savoir si la désobéissance peut être constructive» et «si les progressistes en France et dans le monde peuvent utiliser cette énergie afin qu'au lieu de la violence nous ayons des images de la construction de sociétés égales et égalitaires», conclut la star.
Militante de longue date de la cause animale, Pamela Anderson tweete souvent aussi pour apporter son soutien aux migrants et aux réfugiés climatiques.
Retour à la page d'accueil