People Hugh Jackman : nerveux pour ses rôles au cinéma

Hugh Jackman éprouve toujours de l’appréhension pour ses nouveaux projets au cinéma. Dans une interview au journal Metro, il a expliqué que la part de risques était toujours présente.

Hugh Jackman a beau être un des acteurs en vogue à Hollywood, il reconnaît être sujet au stress quand il s’engage sur de nouveaux projets. « Je suis angoissé quand je joue un rôle, a-t-il confié au journal Metro. Je m’inquiète et j’y pense - j’espère que demain se passera bien ».

Hugh Jackman assure actuellement la promotion de la comédie musicale The Greatest Showman, un film qui s’inspire de l’entrepreneur de spectacles, P.T. Barnum, et qui été salué par les premières vagues de critiques. Outre son rôle dans la peau de Wolverine dans X-Men, Hugh Jackman est devenu adepte des comédies musicales. Après avoir été nommé aux Oscars pour sa performance en tant que Jean Valjean dans Les Misérables, l’acteur a maintenant réussi à jouer dans une comédie musicale entièrement originale. « Mon rêve a toujours été de faire une comédie musicale originale, a-t-il expliqué. Les Misérables était une expérience incroyable mais l’idée de créer quelque chose de nouveau... C’est ce que j’adore faire. »

Toutefois, il a conscience que danser et chanter à l’écran comprend aussi son lot de risques. « Quand une comédie musicale est mauvaise, c’est comme des chaussettes d’adolescents - c’est terrible, ça pue à un très haut niveau, a-t-il dit. Si l’on se trompe, ça nous met vraiment sur le fil du rasoir. C’est la raison pour laquelle il n’y en a pas très souvent. Est-ce que je ressens de la pression ? Ouais. De l’appréhension ? Ouais. »

Zac Efron, Michelle Williams et Zendaya jouent dans The Greatest Showwman, qui sort en salle aux États-Unis le 20 décembre (17). Et alors que Hugh Jackman interprète un certain nombre des chansons du film, il reconnait n’avoir jamais pensé chanter un jour. « Je ne me suis jamais cru chanteur, a-t-il lâché en haussant les épaules. Quand j’ai décroché un rôle (dans une version sur scène de La Belle et la Bête en 1995, NDLR), on m’a donné des leçons de chant, donc c’est clair que je n’étais pas un homme de danse et de chant », a-t-il conclu.