People Jennifer Lawrence aime beaucoup Darren Aronofsky mais trouve qu'il a un problème

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1.12.2017 - 14:30

Premiere of Columbia Pictures' 'Passengers' - Arrivals

Featuring: Jennifer Lawrence
Where: Westwood, California, United States
When: 15 Dec 2016
Credit: FayesVision/WENN.com
Premiere of Columbia Pictures' 'Passengers' - Arrivals Featuring: Jennifer Lawrence Where: Westwood, California, United States When: 15 Dec 2016 Credit: FayesVision/WENN.com
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(Cover) - FR Showbiz - Jennifer Lawrence incarne le rôle principal dans le nouveau thriller écrit par son compagnon dans la vie, Darren Aronofsky. Le film raconte l’histoire d’un couple qui voit son monde vaciller suite à l’arrivée d’invités mystérieux. Le film est déjà acclamé par la critique pour son côté innovateur et son twist bien gardé mais Jennifer Lawrence a raconté avoir tout d'abord pensé que celui qui partage aujourd'hui sa vie n'était pas très équilibré.

« J’ai dit oui sans hésité et sans avoir lu le script, raconte-elle en conférence de presse pour le Festival du film international de Toronto. Il m’a donné ses idées que j’ai trouvé brillantes, uniques et j’ai adoré le challenge qui se présentait à moi. Je suis fan de Darren Aronofsky depuis des années – il est courageux, il ose et il est juste brillant. Comme j’étais fan, il m’a parlé des idées qui lui traversaient l’esprit et j’ai répondu oui. Puis, j’ai reçu le script et quand je l’ai lu, je l’ai jeté au mur et je lui ai dit qu’il souffrait de graves problèmes psychologiques mais que le film était un chef d’œuvre. »

Que les spectateurs aiment ou pas le film, ils sont tout tout de même tous d’accord avec le fait que ce film est un choc. Les réactions positives et négatives du film ont l’air d’être très appréciées de l’actrice. « On savait dès le début que les réactions seraient soit positives soit négatives mais qu’il y aurait toujours les deux, c’est tellement marrant de voir des gens qui adorent le film et le comprennent et puis d’avoir les gens qui ne l’aiment pas du tout, qui en fait le détestent. Il n’y pas de milieu, c’est un oui ou un non », confie-t-elle à la Press Association.

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