Actu people Jude Law explique son changement de couleur de peau dans The Holiday

Le personnage de Jude Law dans The Holiday commence le film avec une peau pâle, mais devient par la suite mystérieusement bronzé, bien qu'il se trouve en Angleterre, en plein hiver. L'acteur a expliqué pourquoi dans une interview pour Vanity Fair.

Jude Law a enfin expliqué pourquoi la couleur de peau de son personnage changeait dans The Holiday. Dans le film de Noël, l'acteur britannique incarne Graham, un veuf, père de deux enfants, qui commence à fréquenter le personnage de Cameron Diaz, une bourreau de travail prénommée Amanda, après que celle-ci a échangé sa maison avec la sœur de Graham, Iris, joué par Kate Winslet.

De nombreux spectateurs ont essayé d'expliquer pourquoi la couleur de la peau de l'acteur britannique changeait considérablement au cours de ce film sorti en 2006, passant de pâle à un bronzé à plusieurs reprises, bien que son personnage soit censé vivre dans la campagne anglaise enneigée.

La star de 47 ans s'est expliqué dans une interview pour Vanity Fair, révélant qu'ils avaient tourné les scènes extérieures du film au Royaume-Uni, mais qu'ils avaient ensuite déménagé à Los Angeles pour filmer les scènes intérieures. Cependant, la réalisatrice Nancy Meyers ayant mis plus de cinq semaines à appeler Jude Law sur le plateau de tournage hollywoodien, il a passé plus d'un mois sous le chaud soleil américain.

« Nancy a la réputation, enfin je ne sais pas si c'est toujours le cas, de prendre son temps, a-t-il déclaré en riant. Je suis resté à la maison cinq semaines avant qu'ils ne m'appellent. Comme vous pouvez probablement le voir, si je m'expose au soleil, je deviens très brun très rapidement. Mon père a la peau très foncée. Et si vous regardez ce film attentivement, quand je suis dehors en Angleterre, je suis vraiment blanc et pâle, et dès que je rentre à l'intérieur, je suis là : "Hé ! " et je suis bronzé. Ça ne se remarque pas trop, mais si vous regardez, je change d'environ deux teintes à chaque fois que je rentre et que je sors. »