People Justin Bieber a l’esprit tranquille

CoverMedia

19.12.2017 - 13:13

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Justin Bieber est lavé des accusations de plagiat qui pesaient sur lui. D’après TMZ, Casey Dienel a abandonné ses poursuites pour plagiat à propos du morceau Sorry.

C'est officiel, Justin Bieber n’a plagié personne pour signer son hit, Sorry. Jusque-là, ce n’était pas tout à fait clair, puisque la chanteuse Casey Dienel, 32 ans, accusait le chanteur, mais aussi ses producteurs et ses auteurs, d’avoir plagié un morceau qu’elle avait enregistré sous le nom de White Hinterland. D’après elle, un extrait du morceau de Justin Bieber contenait des « caractéristiques clairement féminines » issus de son morceau Ring the Bell, sorti en 2014.

D’après TMZ cependant, Casey Dienel a abandonné ses poursuites, mais le site ne sait pas si elle l’a fait avec une contrepartie financière à la clé. D’après Rolling Stone, le statut Facebook par lequel elle avait signifié avoir été plagiée a aussi été effacé du réseau social. « Les auteurs, producteurs et chanteurs de Sorry n’ont pas l’autorisation d’utiliser mon travail, et ils ne m’ont pas demandé la permission de le faire, avait-elle alors écrit. Hier après-midi, j’ai entamé des poursuites pour viol de mes droits d'auteur contre Justin Bieber et les autres intéressés. Comme la plupart des artistes qui samplent des morceaux, Bieber aurait dû s’acquitter de droits pour Sorry. Mais il a préféré ne pas me contacter. »

Dans ses poursuites initiales, Casey Dienel évoquait un extrait de huit secondes de son morceau qui passait en boucle dans celui de Justin Bieber, qui avait connu un gros succès à sa sortie en 2015. D’après elle, le morceau contient aussi des bouts de pistes de synthétiseur et de percussions qui ressemblent beaucoup à Ring the Bell.

Au moment des premières accusations, Skrillex s’est immédiatement manifesté sur Twitter en proclamant son innocence, vidéo à l’appui. On le voyait alors enregistrer la boucle incriminée avec Julia Michaels. La vidéo avait alors été retwittée par Justin Bieber accompagnée du hashtag #wedontsteal (ndlr : nous ne sommes pas des voleurs).

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