Eviter l'oisivetéKesha a adopté des passe-temps étranges pendant son confinement
Covermedia
10.8.2021 - 13:36
Kesha est devenue une dame à chat productrice de podcast pendant la pandémie. Comme la chanteuse l'a expliqué à Billboard, elle voulait éviter l'oisiveté à tout prix.
10.08.2021, 13:36
Covermedia
Kesha avoue être devenue «plus qu'un peu folle» pendant sa quarantaine, adoptant des passe-temps inhabituels. «J'ai participé à quelques projets différents, a-t-elle déclaré à Billboard. Je suis productrice exécutive sur ce podcast appelé «Electric Easy» qui sortira le mois prochain. C'était un tel plaisir de travailler sur ce podcast de science-fiction dystopique vraiment amusant. Je le recommande vivement à tous ceux qui aiment célébrer la communauté queer et se célébrer soi-même. C'est un projet de passion. De plus, pendant la quarantaine, j'ai fait un podcast pour parler à d'autres artistes de leurs expériences spirituelles et surnaturelles, ce qui m'a toujours fascinée... Et j'ai acheté quatre poussettes pour chat. Je fais passer la dame aux chats au niveau supérieur, je mets la barre plus haut. J'ai commencé des passe-temps... comme le crochet.»
Kesha admet que 2020 a été «une période déroutante en tant qu'artiste», et elle a hâte de revenir se produire devant un public. «Ne pas pouvoir chanter a été difficile... J'ai hâte de monter sur scène à nouveau. Je prépare le décor pour que ce soit une fête super dansante. Je le fais parce que j'ai tellement d'énergie, d'agressivité et d'émotion accumulées au cours des 16, 17 derniers mois, et je ne peux pas être la seule à ressentir ça», a-t-elle ajouté.
Elle a poursuivi: «Je veux offrir un endroit sûr où les gens peuvent venir s'amuser et être eux-mêmes et aussi s'échapper. Nous avons tous été à l'intérieur avec nos pensées et nos émotions dans nos têtes, si quelqu'un est comme moi, à essayer de comprendre sa vies et à faire des changements qu'on n'avait pas vu arriver. Je suis toute excitée à l'idée d'offrir un endroit heureux. C'est comme Disneyland, mais Disneyland crado, couvert de paillettes avec beaucoup plus de gros mots.»