Son visage dans des vidéos porno Kristen Bell: choquée d’apprendre que son visage était utilisé pour des vidéos pornographiques

CoverMedia

11.6.2020 - 16:32

DisneyâÄôs âÄúFrozen IIâÄù World Premiere held at the Dolby Theatre in Hollywood, California.

Featuring: Kristen Bell
Where: Los Angeles, California, United States
When: 07 Nov 2019
Credit: Adriana M. Barraza/WENN.com

Featuring: Kristen Bell
Where: Los Angeles, California, United States
When: 07 Nov 2019
Credit: Adriana M. Barraza/WENN.com
DisneyâÄôs âÄúFrozen IIâÄù World Premiere held at the Dolby Theatre in Hollywood, California. Featuring: Kristen Bell Where: Los Angeles, California, United States When: 07 Nov 2019 Credit: Adriana M. Barraza/WENN.com Featuring: Kristen Bell Where: Los Angeles, California, United States When: 07 Nov 2019 Credit: Adriana M. Barraza/WENN.com
Source: Adriana M. Barraza/WENN.com

Kristen Bell est encore sous le choc après avoir appris que son visage était utilisé pour fabriquer des deepfakes pornographiques. La star a tenu à en parler par l’intermédiaire de Vox afin d’alerter sur cette pratique.

Kristen Bell a été choquée quand son mari, Dax Shepard, lui a appris récemment qu’elle faisait l’objet de deepfakes pornographiques. Ce qui veut dire que le visage de la star a été attaché au corps d’une autre femme pour créer une vidéo.

« J’étais juste choquée parce que c’est mon visage, a-t-elle confié à Vox. Il m’appartient ! C’est difficile d’y penser, de savoir que je suis exploitée comme ça. Alors qu’on a ce débat gigantesque à propos du consentement, je n’ai consenti à rien - alors ça ne va pas. »

Et même si certaines de ces vidéos sont accompagnées d’un commentaire assurant qu’il ne s’agit pas de la véritable Kristen Bell, la star continue à trouver ça inacceptable. « Même s’il est précisé “Ce n’est pas vraiment elle”, c’est quand même difficile à encaisser. J’aimerais qu’Internet soit un peu plus responsable et bienveillant », a-t-elle déploré.

Kristen Bell a été la seule star à avoir accepté d'aborder le sujet avec la journaliste de Vox et a ajouté qu’elle qu’elle avait la « responsabilité » d’en parler.

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