(Cover) - FR Showbiz - Une femme qui essayait de vendre des objets (très) personnels lui ayant appartenus s'est levée contre l'injonction obtenue par la star pour empêcher la tenue de la vente. Il s'agit de Darlene Lutz, consultante en art, et l'une des anciennes amies de la chanteuse, qui a mis aux enchères plus d'une centaine de pièces chez Gotta Have Rock and Roll.
Parmi les souvenirs, on y trouve une lettre envoyée à Madonna par son ex-petit ami, le rappeur Tupac Shakur, alors qu'il était en prison, une brosse contenant une de ses mèches de cheveux, et même une paire de petites culottes sales.
La vente, très attendue, devait commencer mercredi 19 juillet, mais Madonna a obtenu en urgence une injonction de la part d'un juge new-yorkais la veille, expliquant que Darlene Lutz lui avait sans doute volé les objets lorsqu'elles étaient amies. Elle a aussi déclaré que la vente aux enchères violait sa vie privée.
De son côté, Darlene Lutz réplique, et a fait appel auprès du juge, lui demandant de reprendre l'affaire en considération afin que la vente puisse avoir lieu. Selon de nouveaux documents obtenus par TMZ.com, l'avocate de Darlene Lutz, Judd Grossman, prétend que les « objets extrêmement personnels » tels que les sous-vêtements ne sont plus privés, vu que Madonna avait choisi de les envoyer à celui qui était alors son amant. « Si Madonna voulait réellement préserver sa vie privée, envoyer de la lingerie par la poste n'était pas la chose à faire », a rétorqué son ancienne amie dans le dossier.
Elle déclare aussi que Madonna et elle avaient conclu un accord à propos de ces souvenirs en 2004, quand elle avait accepté de donner de l'argent à la chanteuse en échange d'une promesse que la musicienne ne traînerait jamais son ancienne amie en justice. Elle cherche à obtenir le retrait de l'ordonnance restrictive afin de continuer la vente en ligne.
Madonna n'a toujours pas répondu.
Cover Media
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