Photo montage réalisé le 14 février 2018 du président américain Donald Trump à la Maison Blanche le 14 févier 2018 à Washington, DC; aet de l'actrice porno Stormy Daniels à Las Vegas, Nevada, le 4 février 2018
Stormy Daniels, lors d'un défilé de mode le 27 août 2006 à Las Vegas, dans le Nevada
2018 Adult Video News Awards - Arrivals
L'ex-actrice porno Stormy Daniels veut dire «la vérité» sur sa liaison avec Trump
Photo montage réalisé le 14 février 2018 du président américain Donald Trump à la Maison Blanche le 14 févier 2018 à Washington, DC; aet de l'actrice porno Stormy Daniels à Las Vegas, Nevada, le 4 février 2018
Stormy Daniels, lors d'un défilé de mode le 27 août 2006 à Las Vegas, dans le Nevada
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L'ex-actrice porno Stormy Daniels souhaite dire "la vérité" sur sa liaison présumée avec Donald Trump, a affirmé mercredi son avocat, estimant que sa cliente n'était plus liée par un accord de confidentialité conclu avec le milliardaire.
Michael Avenatti a déposé la plainte mardi à Los Angeles pour faire invalider cet accord, conclu peu avant l'élection présidentielle de 2016, l'estimant nul puisque M. Trump ne l'a jamais paraphé.
Selon l'accord, Stephanie Clifford --de son vrai nom-- a touché 130.000 dollars en échange de son silence, versés par l'avocat personnel de M. Trump, Michael Cohen.
L'affaire, qui porte sur des faits présumés remontant à plus d'une décennie, embarrasse la présidence qui a démenti plusieurs fois toute liaison entre M. Trump et celle qui était à l'époque une vedette de films pour adultes.
"Le président a évoqué (ces allégations) directement et a été très clair sur le fait qu'aucune de ces allégations n'est vraie", a indiqué mercredi Sarah Sanders, porte-parole de la Maison Blanche, lors de son point de presse quotidien.
"Le président a nié" ces accusations, a-t-elle poursuivi, renvoyant vers l'avocat du milliardaire pour davantage de détails sur cette affaire.
M. Avenatti a fait mercredi matin la tournée des émissions matinales américaines pour expliquer la décision de sa cliente, âgée de 38 ans.
Elle "veut que le public sache la vérité" sur cette "liaison consentie", a-t-il affirmé sur CBS, alors que la clause de confidentialité et l'argent versé étaient "une tentative de lui faire garder le silence".
"Je pense qu'il est temps pour elle de raconter son histoire pour que le public puisse décider qui dit la vérité", a-t-il ajouté sur ABC.
Selon des documents accompagnant la plainte, l'accord devait être signé par Mme Clifford et M. Trump, sous les pseudonymes de Peggy Peterson et David Dennison. Mais seule apparait le paraphe de Mme Clifford sous les initiales "PP".
Prête à rendre l'argent
"Notre position est que l'accord entier est nul et non avenu car (M. Trump) ne l'a pas signé", a expliqué M. Avenatti sur ABC, assurant que sa cliente rendrait l'argent si nécessaire.
"Elle pourrait devoir le faire et elle y est prête", a-t-il dit.
Galerie d'images - Ces femmes qui ont mis un râteau à Donald Trump:
Ces femmes qui ont mis un râteau à Donald Trump!
Cet homme d'affaires qui s'est forgé un empire et une notoriété avec des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom a toujours été un coureur de jupons, un fou de la drague. Celui qui se nomme depuis le 20 janvier 2017 Président des Etats-Unis a toujours tenté sa chance auprès de la gent féminine, surtout auprès des femmes célèbres comme nous le montrent ces quelques anecdotes «ressuscitées» de femmes que Donald Trump a courtisées dans le passé. Voici 5 femmes célèbres qui ont mis un vent au futur président.
Ces femmes n'ont rien voulu entendre de Donald Trump.... Après avoir divorcé d'avec sa seconde femme Marla Maples, Donald Trump avait jeté son dévolu sur Brooke Shields - c'est ce que cette actrice (52ans) vient de dévoiler.
«Je pense vraiment qu'on devrait sortir ensemble. Tu es le chouchou de l'Amérique et moi, l'homme le plus riche des Etats-Unis. Les gens vont adorer.» «Je suis en couple et il ne va pas être content», avait-elle seulement rétorqué.
Candice Bergen (71ans), star de «Boston Legal»a même eu un rencard avec celui qui se nomme aujourd'hi "président des Etats-Unis"...
À l'époque Donald Trump était venu la chercher en limousine couleur bordeaux... Peu impressionnée, l'actrice n'a d'ailleurs pas le meilleur des souvenirs de ce rendez-vous vu qu'elle s'est plutôt ennuyée en sa compagnie. Le courant n'est pas passé et elle est rapidement rentrée chez elle. Elle résume: «c'était un mec avec un beau physique et... c'est un crétin!»
Emma Thompson (58 ans) a récemment raconté sa petite anecdote sur un plateau de télévision et a ben fait rire le public en imitant sa voix. Elle se trouvait dans sa caravane située dans les studios Universal à Hollyewood lorsqu'elle reçut ce fameux coup de fil: "je voulais vous proposer un hébergement dans une de mes Trump Towers, vraiment confortable". Avant d'ajouter "Vous savez, je pense qu'on s'entendrait bien. Pouvons-nous peut-être aller dîner ensemble?". Tout ce qu'Emma Thompson trouva à faire c'était de raccrocher rapidement.
Aujourd'hui elle rigole en disant regretter ne pas avoir accepté à cause "de toutes les histoires" qu'elle pourrait nous raconter aujourd'hui.
Salma Hayek (51ans) a également mis un joli vent à ce magnat de l'immobilier qui voulait un rendez-vous avec elle alors qu'il savait qu'elle était en couple, ce que l'actrice n'a pas manqué de lui rappeler...
«Il n'est pas assez bien pour toi. Il n'est pas assez important ni assez grand. Tu dois sortir avec moi» avait rétorqué Trump.
Avec Carla Bruni Donald Trump semble avoir pris ses rêves pour des réalités après avoir pris un vent de cette top-modèle...
Mais l'épouse de Nicolas Sarkozy a toujours nié avoir eu une histoire d'amour avec le millionnaire.
La princesse Diana est celle qu'il voyait comme «l'ultime trophée». Bien que séparée du prince Charles, elle n'était pas intéressée et n'avait aucun intérêt de répondre à ses avances. Trump la "bombardait" tellement de fleurs au Palais de Kensington que Lady Di se sentait harcelée. Elle ne savait plus quoi faire.
Elle s'était à l'époque confiée à la journaliste Selina Scott avec qui elle avait sympathisé dans les années 80.
Il a assuré être convaincu que M. Trump était au courant des négociations avec l'actrice porno et du versement d'une compensation.
"L'idée qu'un avocat s'engage de son propre chef et sans que son client le sache dans ce type de négociation et dans ce type d'accord est, honnêtement, absurde", a-t-il affirmé.
Il a appelé le président à répondre à "des questions très simples: a-t-il signé l'accord ? Savait-il pour l'accord et le paiement ? Ça ne prend pas longtemps et il pourrait répondre rapidement, en moins de 140 caractères" sur Twitter, rejetant également l'idée que cette affaire puisse avoir un impact négatif sur la présidence.
Cette liaison aurait démarré à l'été 2006 et aurait duré "une bonne partie de 2007", selon la plainte, alors que le milliardaire était marié depuis 2005 à Melania Knauss. Leur fils Barron est né en mars 2006.
La plainte précise que Mme Clifford avait voulu évoquer dans les médias son ancienne liaison après la publication, à un mois seulement du scrutin présidentiel en 2016, d'une vidéo de 2005 dans laquelle Donald Trump se vantait de pouvoir "attraper" les femmes "par la chatte" grâce à sa célébrité.
Michael Cohen avait alors cherché à ce que l’actrice "garde le silence dans le but d'éviter qu'elle ne dise la vérité, aidant en cela à assurer (au candidat républicain) la victoire à l'élection".
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