People Lauren Parsekian, la femme d'Aaron Paul, a du mal à allaiter

La femme d'Aaron Paul, Lauren Parsekian, a confié sur Instagram qu'elle souffrait d'une infection depuis la naissance de son premier enfant en février. A cause de son état de santé, l'allaitement du bébé s'avère plus difficile que prévu.

Alors que la naissance de leur premier bébé devait plonger Aaron Paul et sa femme Lauren Parsekian dans les joies du cocooning, il s'est avéré que les jours qui ont suivi l'accouchement ont été plus difficiles que prévu. Sur Instagram, le jeune mère a confié qu'elle souffrait d'une mastite, une infection du sein liée à l'allaitement qui induit de grandes douleurs et des symptômes proches de la grippe.

« Le chapitre qui se passe après l'accouchement a été difficile, a-t-elle écrit dans une légende attachée à une image montrant sa fille et postée mercredi dernier. Reprendre des forces après l'accouchement n'est pas une blague. Je suis sur la bonne voie pour ça mais... l'allaitement. Oh la vache. Alors que c'est l'une des expériences les plus belles de ma vie j'ai développé une mastite deux fois en trois semaines », explique-t-elle. La jeune mère de 31 ans admet qu'elle n'a jamais ressenti autant de douleurs dans sa vie. « Je me suis battue contre une fièvre de presque 40 degrés, explique-t-elle. Je ne me suis jamais sentie aussi malade de ma vie. Pour les mères qui sont passées par là, je sais que vous compatissez. Ce qui me chagrine c'est que ce genre de problème qui est relativement commun n'est que trop rarement abordé en public. Le fait de le vivre me donne la responsabilité d'en parler afin que chaque future maman sache que ça existe. »

Lauren continue son message en précisant que le seul conseil qu'elle peut donner aux mamans est de bien se renseigner sur l'allaitement et sur les problèmes qui peuvent survenir. « Vous n'êtes pas seules, indique-t-elle à la fin de son message. Et j'ai une pensée spéciale pour les parents célibataires qui élèvent leur enfant seuls. Vous êtes de vrais super héros. N'oubliez jamais ça. »