Actu people Le rappeur G-Eazy s'excuse pour son arrestation

Le rappeur G-Eazy est sorti libre d'un tribunal suédois. Sur Twitter, il s'est excusé et s'est dit « gêné » par son arrestation suite à une bagarre à la sortie d'une boîte de nuit. La police avait trouvé de la drogue sur lui.

Le rappeur G-Eazy, de son vrai nom Gerald Earl Gillum, a été arrêtée la semaine dernière à la suite d'une bagarre avec des videurs de la discothèque Solidaritet à Stockholm, en Suède. La police avait trouvé sur lui 1,5 gramme de cocaïne et un billet 100 dollars enroulé sur lui-même. Il a été accusé de voies de fait, de possession de drogue et de résistance à agent. Le musicien de 28 ans a été entendu par le tribunal pour avoir acheté et consommé de la drogue, et pour avoir frappé un agent de sécurité au visage.

La star du hip-hop a évité la prison vendredi, recevant deux ans de mise à l'épreuve et plusieurs amendes. Il a pu se produire à Copenhague, au Danemark, dimanche soir. Alors qu'il était en ville, il a rompu son silence sur son arrestation, expliquant aux fans sur Instagram à quel point il était reconnaissant d'être libre de continuer sa tournée. « Reconnaissant et béni d'être libre et en sécurité, heureux d'être à Copenhague ce soir, pour faire ce que j'aime le plus, a-t-il écrit. Je suis gêné et je veux vraiment m'excuser pour l'incident, mais surtout je suis tellement reconnaissant qu'ils me laissent partir, l'expérience la plus folle de ma vie, soirée horrible avec beaucoup de malchance et de décisions encore pires, mais comme je l'ai dit, je suis super reconnaissant d'être un homme libre, de retour en tournée pour mes fans. Merci à tous ceux qui m'ont aidé et m'ont soutenu pendant cette épreuve, je vous en remercie plus que vous ne le saurez jamais. »

La bagarre aurait commencé après que le rappeur, qui faisait la fête avec sa petite amie Halsey, a refusé de prendre une photo avec un fan. Il a été condamné à payer plusieurs amendes d'un montant total de 9.000 dollars, ainsi qu'un dédommagement de 735 dollars à l'agent de sécurité qu'il a frappé au visage.