«Rien à foutre» Les amours d'Anny Duperey avec un homme âgé... de 17 ans de moins qu'elle !

Valérie Passello

8.4.2025

Interrogée par Maïtena Biraben pour la chaîne «Mesdames Media», la comédienne Anny Duperey, 77 ans, s'est confiée sur sa vie, avec son légendaire franc-parler. Elle est notamment revenue sur l'une de ses histoires d'amour. 

Rédaction blue News

À l'âge de 46 ans, la comédienne Anny Duperey a été amenée à jouer la grand-mère d'un jeune homme dans une série. Sur le divan de Maïtena Biraben, elle s'est remémoré l'histoire d'amour qu'elle a ensuite vécue avec le jeune homme qui jouait son petit-fils lors de leur rencontre.

Leur couple a duré douze ans et l'actrice ne regrette rien: «Rien à foutre?», demande l'animatrice. «Rien du tout. Lui non plus, d'ailleurs», répond Anny Duperey.

Elle reprend, plus sérieuse: «J'ai puisé une force, avec ce garçon... Il avait eu une enfance assez malheureuse, moi aussi et on s'est reconnu comme ça. Et avec lui, j'ai été consolée pendant douze ans. Qui peut dire ça?»

«Je lui ai pompé sa force»

Âgée aujourd'hui de 77 ans, Anny Duperey se souvient de l'effet très positif que cette relation a eue sur elle: «Rien ne pouvait m'arrêter. J'ai écrit cinq livres pendant le temps où j'étais avec lui», relate-t-elle.  

Aujourd'hui, l'histoire est terminée. «Lui allait de moins en moins bien. Je me demande si je ne lui ai pas pompé sa force», s'interroge l'héroïne de la série «Une famille formidable».

Plus tôt, Anny Duperrey a également partagé 18 ans de sa vie avec l'acteur Bernard Giraudeau. Elle a fini par avoir deux enfants avec lui, mais ce n'était pas gagné. Car à l'époque, la comédienne clamait haut et fort qu'elle ne voulait pas d'enfant.   

«À la place de la morte»

Ayant été elle-même orpheline, elle l'explique ainsi: «Devenir mère me mettait à la place de la morte. Et il y avait encore la colère contre mes parents, qui m'avaient laissée dans le grand monde toute seule. Je me disais: 'Puisque c'est comme ça, tout s'arrêtera avec moi, il n'y aura pas de descendance, la catastrophe va s'arrêter là'». 

C'est une phrase de son compagnon Bernard Giraudeau qui a fini par la faire changer d'avis: «Il m'a dit un jour: 'Le refus de l'enfant à ce point, c'est une forme de suicide'. J'ai reconnu tout de suite la justesse de la phrase et ça a travaillé tout seul», confie-t-elle.