People Lily James n'a pas retenu son rire en découvrant Gary Oldman dans la peau de Churchill

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28.1.2018 - 09:34

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Lily James a éclaté de rire en voyant pour la première fois Gary Oldman en costume sur le tournage de Les Heures Sombres. L’actrice britannique est revenue sur cette anecdote de tournage dans une interview pour Vogue UK.

Lily James partage l'affiche de Les Heures Sombres avec Gary Oldman, qui joue le plus célèbre des premiers ministres britanniques, Winston Churchill. L'acteur anglais a récemment remporté le prix du meilleur acteur aux Golden Globes pour son rôle, ce qui laisse présager une éventuelle victoire aux Oscars le 4 mars prochain.

Lily James, quant à elle, incarne Elizabeth Layton, secrétaire personnelle de Churchill durant la Seconde Guerre mondiale, et admet qu'elle a été impressionnée par la performance d'acteur de son camarade malgré ses lourdes prothèses. Mais quand elle l'a vu pour la première fois en costume, sa réaction a été quelque peu différente. « J'ai éclaté de rire, a-t-elle expliqué à la version britannique de Vogue. Je l'ai rencontré en tant que Gary, nous avons fait la lecture des dialogues, puis le deuxième ou troisième jour des répétitions il est arrivé avec toutes ses prothèses. Il y a un livre de photos que sa partenaire a fait, et il y a une photo de moi à ce moment précis avec ma bouche grande ouverte. »

Elle ajoute : « Ce qu'il a dû subir, les vêtements rembourrés, (les prothèses sur) le visage, le cou, tout en restant capable de donner cette performance, c'est extraordinaire ».

Lily James était présente lors de la victoire de Gary Oldman aux Golden Globes, et y a montré son soutien au mouvement anti-harcèlement sexuel, « Time's Up », en portant une robe noire du créateur Valentino. Elle représentera Les Heures Sombres pour le reste de la saison des cérémonies 2018, avant de commencer la promotion de son prochain film, Mamma Mia 2 : Here We Go Again, qui sortira en juillet. « Avec Les Heures Sombres, comme nous étions dans les salles de guerre et dans des sous-sols la plupart du temps, il y avait un sentiment de train-train et d'adversité, ce qui était très oppressant. A l'époque, je n'y avais pas vraiment pensé, mais enchaîner avec un film comme Mamma Mia, où tu chantes et danses tout le temps, c'était juste un contraste brillant », a-t-elle conclu.

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