Actu people Michael Douglas : « Jouer n'était pas amusant pour moi au début »

CoverMedia

2.11.2019 - 13:06

BAFTA Los Angeles + BBC America TV Tea Party held at the Beverly Hilton Hotel in Beverly Hills, California.

Featuring: Michael Douglas, Catherine Zeta-Jones
Where: Los Angeles, California, United States
When: 21 Sep 2019
Credit: Adriana M. Barraza/WENN.com
BAFTA Los Angeles + BBC America TV Tea Party held at the Beverly Hilton Hotel in Beverly Hills, California. Featuring: Michael Douglas, Catherine Zeta-Jones Where: Los Angeles, California, United States When: 21 Sep 2019 Credit: Adriana M. Barraza/WENN.com
Source: Adriana M. Barraza/WENN.com

Michael Douglas n'aimait pas son métier d'acteur au début de sa carrière. Il a expliqué pourquoi ans une interview pour People.

Michael Douglas n'appréciait pas son métier au début de sa carrière. La star de Wall Street a expliqué qu’il ne trouvait pas qu'être acteur était amusant parce qu’il lui était difficile de se trouver devant la caméra. « Quand j'ai débuté ma carrière, je n'aimais pas ça, a-t-il confié au magazine People. Je n'aimais pas la caméra, je la trouvais très offensive. J'avais énormément le trac. Souvent, je me demandais pourquoi je continuais à faire ça parce que ce n'était pas amusant ».

Cependant, après avoir fait l'effort de changer sa perception des choses, il a commencé à apprécier davantage son art. « A un moment donné de ma carrière, j'ai changé d'attitude, il y a quelques petites décisions que j'ai prises et tout est devenu beaucoup plus agréable, a-t-il ajouté. C’était l’année de Liaison Fatale et de Wall Street. Je pense que le fait que Wall Street ait obtenu un Oscar m'a permis de m'éloigner de l’ombre de mon père (Kirk Douglas) et aussi avec le succès de Fatal Attraction, j'ai franchi un pas, a-t-il expliqué. À peu près à la même époque, j’ai changé mon attitude face à la manière de jouer. »

« J'étais un peu un acteur de la méthode avant, a-t-il indiqué, et j'essayais de trouver la vérité et de révéler cette vérité et cette douleur. Puis, j'ai réalisé qu'il fallait mentir. Ce n'était pas une question de douleur, mais une question de mensonge, faire croire quelque chose à tout le monde. Et une fois que j’ai fait ça, ça m’a un peu libéré, ça m’a laissé plus de choix. »

Retour à la page d'accueil

CoverMedia