L'actrice de films pornographiques Stormy Daniels, le 23 mai 2018 à West Hollywood
Le président américain Donald Trump, le 15 octobre 2018 à Macon, en Géorgie
Michael Avenatti, l'avocat de l'actrice de films pornographiques Stormy Daniels, s'adresse aux médias devant le tribunal de Los Angeles, le 27 juillet 2018
Rejet de la plainte en diffamation de Stormy Daniels contre Trump
L'actrice de films pornographiques Stormy Daniels, le 23 mai 2018 à West Hollywood
Le président américain Donald Trump, le 15 octobre 2018 à Macon, en Géorgie
Michael Avenatti, l'avocat de l'actrice de films pornographiques Stormy Daniels, s'adresse aux médias devant le tribunal de Los Angeles, le 27 juillet 2018
Un tribunal fédéral de Los Angeles a rejeté lundi la plainte en diffamation de l'actrice de films pornographiques Stormy Daniels, qui accuse Donald Trump de l'avoir dénigrée dans un tweet, et condamné la jeune femme à payer les frais d'avocat du président américain.
Stormy Daniels, qui assure avoir eu une liaison avec Donald Trump entre 2006 et 2007, affirme avoir été abordée en 2011 sur un parking de Las Vegas par un inconnu qui avait menacé de s'en prendre à sa fille si elle évoquait publiquement cette relation.
Au coeur d'une guérilla médiatique et juridique contre M. Trump, l'actrice avait fait réaliser et diffuser en avril dernier un portrait-robot de cet inconnu, que le président américain avait tourné en ridicule le lendemain dans un tweet: ce croquis réalisé "des années plus tard, d'un homme qui n'existe pas" relevait pour lui d'une "arnaque absolue".
Pour la jeune femme, ce tweet constituait une diffamation publique devant les 50 millions d'abonnés de Donald Trump.
Plainte non fondée
Le juge S. James Otero, du tribunal de Los Angeles, a estimé que cette plainte, initialement déposée à New York, n'était pas fondée. Dans son jugement, dont l'AFP a eu une copie, il se range aux arguments de la défense de Donald Trump pour laquelle il ne s'agissait que d'une formule "rhétorique", et non d'une appréciation visant spécifiquement la jeune femme, Stéphanie Clifford de son vrai nom.
Pour le magistrat, le tweet présidentiel répondait à "un individu le prenant publiquement à partie" et relevait à ce titre de la liberté d'expression protégée par le sacro-saint premier amendement de la Constitution américaine.
"Victoire totale pour le président Trump et défaite totale pour Stormy Daniels", s'est réjoui dans un communiqué l'avocat du chef d'Etat, Charles J. Harder. "Le montant accordé pour les frais d'avocat du président Trump sera déterminé ultérieurement", ajoute-t-il.
"Nous allons faire appel", a réagi sur Twitter l'avocat de Stormy Daniels, Michael Avenatti, se disant "confiant" dans l'issue de ce recours.
Les autres procédures entamées par sa cliente contre Donald Trump "ne sont pas affectées" par ce jugement, assure-t-il.
Aucun contentieux réel
Dans une procédure distincte devant le même tribunal de Los Angeles, l'actrice de 39 ans conteste un accord de confidentialité qu'elle affirme avoir conclu avec M. Trump pour taire sa liaison en échange d'un versement de 130'000 dollars.
A l'époque de cette relation présumée, le magnat de l'immobilier était déjà marié avec son épouse actuelle, Melania. Leur fils Barron Trump est né en mars 2006.
Donald Trump dément pour sa part avoir eu une quelconque relation sexuelle avec l'actrice et a déposé une requête en annulation de cette plainte.
Pour Charles Harder, son client n'a jamais signé un tel accord de confidentialité et n'a de toute façon aucune intention de le faire appliquer, "il n'y a donc aucun contentieux réel".
En outre, il souligne que Stormy Daniels "se comporte systématiquement comme si cet accord n'existait pas ou était déjà invalidé", en apparaissant publiquement dans divers médias et conférences de presse pour "décrire cette relation présumée avec M. Trump".
L'ex-avocat de Donald Trump, Michael Cohen, a reconnu devant la justice à New York avoir versé cette somme à Stormy Daniels.
Le but? Acheter son silence "à la demande du candidat", afin d'éviter de lui "porter préjudice", selon Michael Cohen.
Le milliardaire a quant à lui reconnu avoir remboursé son ex-avocat pour la somme versée à Stormy Daniels peu avant son élection à la Maison Blanche en novembre 2016, sans plus d'explication.
Le juge Otero doit tenir une audience le 3 décembre sur la requête en annulation du président Trump.
Ces femmes qui ont mis un râteau à Donald Trump!
Ces femmes qui ont mis un râteau à Donald Trump!
Cet homme d'affaires qui s'est forgé un empire et une notoriété avec des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom a toujours été un coureur de jupons, un fou de la drague. Celui qui se nomme depuis le 20 janvier 2017 Président des Etats-Unis a toujours tenté sa chance auprès de la gent féminine, surtout auprès des femmes célèbres comme nous le montrent ces quelques anecdotes «ressuscitées» de femmes que Donald Trump a courtisées dans le passé. Voici 5 femmes célèbres qui ont mis un vent au futur président.
Ces femmes n'ont rien voulu entendre de Donald Trump.... Après avoir divorcé d'avec sa seconde femme Marla Maples, Donald Trump avait jeté son dévolu sur Brooke Shields - c'est ce que cette actrice (52ans) vient de dévoiler.
«Je pense vraiment qu'on devrait sortir ensemble. Tu es le chouchou de l'Amérique et moi, l'homme le plus riche des Etats-Unis. Les gens vont adorer.» «Je suis en couple et il ne va pas être content», avait-elle seulement rétorqué.
Candice Bergen (71ans), star de «Boston Legal»a même eu un rencard avec celui qui se nomme aujourd'hi "président des Etats-Unis"...
À l'époque Donald Trump était venu la chercher en limousine couleur bordeaux... Peu impressionnée, l'actrice n'a d'ailleurs pas le meilleur des souvenirs de ce rendez-vous vu qu'elle s'est plutôt ennuyée en sa compagnie. Le courant n'est pas passé et elle est rapidement rentrée chez elle. Elle résume: «c'était un mec avec un beau physique et... c'est un crétin!»
Emma Thompson (58 ans) a récemment raconté sa petite anecdote sur un plateau de télévision et a ben fait rire le public en imitant sa voix. Elle se trouvait dans sa caravane située dans les studios Universal à Hollyewood lorsqu'elle reçut ce fameux coup de fil: "je voulais vous proposer un hébergement dans une de mes Trump Towers, vraiment confortable". Avant d'ajouter "Vous savez, je pense qu'on s'entendrait bien. Pouvons-nous peut-être aller dîner ensemble?". Tout ce qu'Emma Thompson trouva à faire c'était de raccrocher rapidement.
Aujourd'hui elle rigole en disant regretter ne pas avoir accepté à cause "de toutes les histoires" qu'elle pourrait nous raconter aujourd'hui.
Salma Hayek (51ans) a également mis un joli vent à ce magnat de l'immobilier qui voulait un rendez-vous avec elle alors qu'il savait qu'elle était en couple, ce que l'actrice n'a pas manqué de lui rappeler...
«Il n'est pas assez bien pour toi. Il n'est pas assez important ni assez grand. Tu dois sortir avec moi» avait rétorqué Trump.
Avec Carla Bruni Donald Trump semble avoir pris ses rêves pour des réalités après avoir pris un vent de cette top-modèle...
Mais l'épouse de Nicolas Sarkozy a toujours nié avoir eu une histoire d'amour avec le millionnaire.
La princesse Diana est celle qu'il voyait comme «l'ultime trophée». Bien que séparée du prince Charles, elle n'était pas intéressée et n'avait aucun intérêt de répondre à ses avances. Trump la "bombardait" tellement de fleurs au Palais de Kensington que Lady Di se sentait harcelée. Elle ne savait plus quoi faire.
Elle s'était à l'époque confiée à la journaliste Selina Scott avec qui elle avait sympathisé dans les années 80.
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