Scandale de ses origines Salma Hayek défend Hilaria Baldwin au sujet du scandale de ses origines

Salma Hayek a pris la défense d'Hilaria Baldwin après que celle-ci a menti sur ses origines. Elle a affirmé dans l'émission «Radio Andy» qu'elle était «une bonne personne».

Salma Hayek s'est exprimée sur le scandale des origines d'Hilaria Baldwin. La femme d'Alec Baldwin a fait la une des journaux cette année lorsque l'utilisatrice de Twitter, Leni Briscoe, a remis en question son accent fluctuant et ses affirmations selon lesquelles elle était née en Espagne et avait grandi à Boston.

Cela a incité la mère de cinq enfants à admettre sur Instagram qu'elle est en fait née à Boston et que son vrai nom est Hillary.

Apparaissant ce 1er février dans l'émission radio d'Andy Cohen, l'actrice mexicaine qui a des origines à la fois espagnoles et libanaises, a été interrogée sur ce qu'elle pensait de la controverse, et a admis qu'elle était «bizarre». «Oh mon Dieu, c'est fou, a-t-elle déclaré. Tous mes amis me demandent: «Tu as entendu parler de ça? Oh mon Dieu, elle a menti!» Nous mentons tous un peu... (Hilaria) rend mon ami (Alec Baldwin) heureux. On se comprend parce qu'elle est une si bonne mère. Elle a cinq enfants et vous savez, je m'en fiche. Je suis désolée, je ne veux pas trahir ou blesser les sentiments de qui que ce soit et je ne sais pas si c'est bien ou si c'est mal. Je ne vais pas juger quelqu'un juste à cause de cette seule chose. Ce n'est pas une mauvaise personne, c'est une bonne personne, une bonne mère et une bonne épouse. Elle rend mon ami heureux. Elle est très gentille avec moi et c'est tout ce qui m'importe.»

Salma Hayek a ajouté qu'elle se sentait même «honorée» qu'Hilaria Baldwin ait choisi de se présenter comme espagnole. «Cela me rend fière que les gens soient inspirés, parce que, vous savez, je suis mexicaine, libanaise, mais mes grands-parents, mes ancêtres du côté de ma mère sont espagnols. Je pense qu'elle est intelligente de vouloir être espagnole. Nous sommes cool. Les Espagnols sont cool. Je ne lui en veux pas d'avoir choisi ça», a conclu Salma Hayek.