Violences conjugales Violences conjugales: Doc Gyneco se justifie par «un moment d’égarement»

Covermedia

12.3.2021 - 15:01

Maintenu en garde à vue suite à des faits de violences conjugales survenus mercredi soir (10 mars), Doc Gyneco aurait, selon «Le Parisien», «reconnu en partie les violences» devant les enquêteurs. Des violences qu’il aurait perpétrées dans «un moment d’égarement».

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Ce 11 mars 2021, Doc Gyneco a fait les gros titres du fait de son placement en garde à vue pour des faits de violences conjugales survenus la veille. Lors de leur intervention, les policiers du commissariat du 18e arrondissement de Paris avaient d’emblée constaté que la compagne de l’artiste présentait un œdème à l’œil.



Elle leur avait alors révélé avoir reçu «quatre gifles» à la suite d’une dispute sur fond de jalousie comme le rapporte encore aujourd’hui «Le Parisien», citant des sources policières. La compagne du chanteur a été hospitalisée dans la foulée.

De son côté, Doc Gyneco s’était laissé interpeller sans opposer de résistance. Depuis, l’artiste, Bruno Beausir de son vrai nom, aurait «reconnu en partie les violences», et qualifié son geste de «bêtise» survenue dans «un moment d’égarement».

Une «bêtise» qu’il devra bientôt expliquer devant la justice et le public comme l’a reconnu son avocat, maître Jonathan Khalifa. «Le temps des explications de mon client devant la justice viendra et je ne doute pas que cet homme viendra s’expliquer publiquement, a-t-il fait savoir. À ce stade, il faut rappeler qu’il reste présumé innocent. Le tribunal médiatique ne doit pas se substituer à la justice.»