Actu people Jesse Eisenberg s'est senti invincible sur le tournage de «Vivarium»

Jesse Eisenberg s'est senti assez invincible pendant le tournage de Vivarium pour réaliser certaines de ses cascades lui-même. Il a évoqué cette expérience très particulière dans une interview pour Collider.

Jesse Eisenberg s'est senti en pleine confiance sur le tournage de Vivarium. L'acteur de 36 ans a abordé le tournage de son nouveau thriller de science-fiction dans une interview pour Collider, et a révélé que toutes les craintes qu'il avait dans la vraie vie disparaissaient une fois qu'il arrivait sur le plateau : « Je ne sais pas si cela me fait me sentir invincible parce que je suis sur un plateau de tournage, a-t-il déclaré. La peur du vide, ou dans ce cas, d'être coincé dans un sac et la claustrophobie, disparaissent immédiatement. Je fais des cascades dans des films que je ne ferais jamais dans la vraie vie. Je pense qu'il y a un sentiment d'être invincible pendant un tournage parce qu'on prend tant de précautions, ou parce qu'on ne prévoit pas de se blesser au travail. »

Sa bravoure a cependant terrifié sa femme, Anna Strout, avec qui il a une fils de trois ans Banner et à qui il avait demandé de le rejoindre sur le plateau de tournage.

« J'adore ce qu'on fait dans ce film. C'était bien. J'ai demandé à mon fils, qui avait un an, de venir et de regarder la scène et ma femme a dit : " Tu plaisantes ? Pas question " », a-t-il déclaré en riant.

Dans son interview, la star de The Social Network a révélé que le tournage du thriller de science-fiction, dans lequel il incarne un homme dont le couple se retrouve pris au piège dans un quartier idyllique et cauchemardesque, avait été épuisant émotionnellement.

« Vous filmez ces films sur des scènes sonores, où il n'y a ni fenêtres ni bruit extérieur, et vous êtes coincé à la même heure de la journée pendant 14 heures, et c'est exactement ce que vivent les personnages, a-t-il expliqué. Ils vivent dans ce paysage d'enfer en plastique totalement contre nature. D'une certaine manière, cela reflète l'expérience de filmer un film sur une scène sonore, mais avec des conséquences plus désastreuses. »