2018: Lauriane Gilliéron au Festival du Film de Zurich
«Quartier des banques» 2e saison : Elisabeth Grangier (Laura Sepul), David Neri (Stéphane Metzger), Alexandre Grangier (Arnaud Binard), Virginia Grangier (Lauriane Gilliéron), Paul Grangier (Vincent Kucholl), Me Daniel Bartholdy (Féodor Atkine), Luc Naville (Karim Barras), Anne-Marie Djourou (Mariama Sylla)
Lauriane Gilliéron joue le rôle de Virginia Grangier.
2005: à l'âge de 21 ans, elle remporte le concours Miss Suisse.
Lauriane Gilliéron lors du tournage de «Quartier des Banques», saison 2.
Lauriane Gilliéron a d’abord été Miss Suisse, avant de devenir, il y a plus de 10 ans, actrice.
Installée à Los Angeles depuis 2007, la Vaudoise a quitté définitivement les Etats-Unis pour tenter sa chance comme actrice en Europe en 2018.
Elle joue le rôle de Virginia Grangier, la femme du personnage principal, incarné par Vincent Kucholl, dans la série «Quartier des Banques».
L'actrice soutient plusieurs associations vaudoises pour le bien-être animal.
Lauriane Gilliéron a joué dans «Les Experts» et «Castle», et aux côtés de Matt Damon pour un publicité Nespresso.
La famille Grangier, «Quartier des Banques», saison 1
Lauriane Gilliéron et Vincent Kucholl, mariés à l'écran.
Lauriane Gilliéron en images
2018: Lauriane Gilliéron au Festival du Film de Zurich
«Quartier des banques» 2e saison : Elisabeth Grangier (Laura Sepul), David Neri (Stéphane Metzger), Alexandre Grangier (Arnaud Binard), Virginia Grangier (Lauriane Gilliéron), Paul Grangier (Vincent Kucholl), Me Daniel Bartholdy (Féodor Atkine), Luc Naville (Karim Barras), Anne-Marie Djourou (Mariama Sylla)
Lauriane Gilliéron joue le rôle de Virginia Grangier.
2005: à l'âge de 21 ans, elle remporte le concours Miss Suisse.
Lauriane Gilliéron lors du tournage de «Quartier des Banques», saison 2.
Lauriane Gilliéron a d’abord été Miss Suisse, avant de devenir, il y a plus de 10 ans, actrice.
Installée à Los Angeles depuis 2007, la Vaudoise a quitté définitivement les Etats-Unis pour tenter sa chance comme actrice en Europe en 2018.
Elle joue le rôle de Virginia Grangier, la femme du personnage principal, incarné par Vincent Kucholl, dans la série «Quartier des Banques».
L'actrice soutient plusieurs associations vaudoises pour le bien-être animal.
Lauriane Gilliéron a joué dans «Les Experts» et «Castle», et aux côtés de Matt Damon pour un publicité Nespresso.
La famille Grangier, «Quartier des Banques», saison 1
Lauriane Gilliéron et Vincent Kucholl, mariés à l'écran.
Figure helvétique glamour, Lauriane Gilliéron a d’abord été Miss Suisse, avant de devenir, il y a plus de 10 ans, actrice au-delà de nos frontières. Actuellement en tournage de la série genevoise «Quartier des Banques», Lauriane Gilliéron s’est confiée à «Bluewin.ch» sur sa carrière à Hollywood, ses rencontres prestigieuses, mais aussi son passé de reine de beauté et ses rêves de comédienne.
Suite au succès de la première de saison de «Quartier des Banques», une deuxième saison est actuellement en tournage. Vous reprenez donc le rôle de Virginia. Pouvez-vous nous parler de ce personnage, nous rappeler son parcours, et la place qu’il va prendre dans les prochains épisodes?
Je joue le rôle de Virginia Grangier, la femme du personnage principal, incarné par Vincent Kucholl. Dans la saison 1, l’intrigue se joue autour d’une tentative de meurtre sur ce dernier. C’est alors ma belle-sœur qui doit reprendre les rênes de la banque... Des scandales de blanchiment d’argent, des comptes mal gérés, de malfrats sont découverts. Le secret bancaire suisse dans toute sa splendeur. Ce milieu est représentatif de l’hypocrisie de ce qui a trait à l’argent, à la banque en général. Dans la saison 2, qui se déroule deux ans plus tard, les personnages ont évolué: il y a beaucoup de changements, surtout pour mon personnage, qui reprend sa vie de femme et sa vie professionnelle en main... C’est très intéressant à jouer. Mes scènes sont plus importantes. Je suis bien intégrée dans l’histoire...
«Même si je devais prendre du poids ou en perdre pour un rôle(...), je n’hésiterais pas»
Après 10 ans de carrière, vous avez multiplié les collaborations. Avec quels scénaristes et acteurs en particulier souhaiteriez-vous aujourd’hui tourner?
La liste est très longue car j’admire beaucoup de gens dans mon métier! Si je dois choisir, ce serait le réalisateur Alejandro Iñárritu pour l’international. Et Jacques Audiard; j’adore ce qu’il fait, ses drames, comme le film «Un Prophète», par exemple. En ce qui concerne les acteurs, Nicole Kidman est ma préférée parmi toutes, elle représente tout ce que j’aimerais dans ma carrière. Elle pourrait jouer ma mère qui m’aurait eu très jeune. Ce serait un vrai bonheur. Tourner avec Tom Hardy, également: parce qu’il est incroyablement beau, et parce que c’est un acteur phénoménal. Pour les scénarios, je suis vraiment fan de la période de Seconde Guerre mondiale. Alors ce serait un rêve de tourner un film qui se passe à cette période, comme «Le Patient anglais», «La Môme»... Et puis, jouer des rôles qui n’ont pas forcément trait à la beauté. Comme Charlize Theron dans «Monster», qui est l’exemple parfait d’une femme connue pour sa beauté, mais qui a ensuite beaucoup évolué, a pu se métamorphoser.
C’est un problème d’être considérée comme une jolie femme? Vous seriez prête, vous aussi, à vous transformer pour un rôle? Prendre beaucoup de poids, par exemple?
Non, ce n’est pas un problème. Mais quand une actrice est considérée comme une jolie femme, elle est mise dans cette case-là, et on en oublie qu’elle a des choses à dire, qu’elle a du talent, qu’elle peut jouer autre chose... Alors, même si je devais prendre du poids ou en perdre pour un rôle, me couper les cheveux: oui, bien sûr, je n’hésiterais pas.
Après votre année de Miss Suisse, vous êtes partie aux Etats-Unis pour vous lancer à Hollywood. Vous y avez vécu pendant de nombreuses années. Pourquoi êtes-vous rentrée?
Pour de multiples raisons. J’ai réalisé que je pouvais faire ce que j’aimais en Europe, près de ma famille. Puis, il y a le fait que j’ai souffert de harcèlements divers... j’en avais ras le bol. Et enfin, le fait que Trump a été élu... Je ne me sentais plus chez moi.
«Si je pouvais vivre en Suisse en faisant ce que j’aime.... ce serait le bonheur total!»
Vous parlez de harcèlement à Hollywood... Un rapport avec l’affaire Weinstein?
Non, je n’ai jamais rencontré Harvey Weinstein, mais c’est un exemple qui s’est fait prendre. Il y en a beaucoup d’autres qui ne se sont jamais fait prendre. A Los Angeles, tout tourne autour du cinéma alors automatiquement le phénomène a plus d’ampleur.
Vous êtes plus épanouie en Europe?
Oui. Si je pouvais vivre en Suisse en faisant ce que j’aime... ce serait le bonheur total! J’espère qu’un jour ça arrivera. Pour l’instant, je suis à Paris, qui est la Mecque du cinéma francophone. Il y a une diversité des castings plus importante. J’y suis depuis novembre dernier, alors je me donne quelques années pour voir... En attendant, je tourne «Quartier des banques», ce qui me ramène en Suisse de temps en temps. Je suis plus heureuse en Europe que je ne l’étais ces dernières années à Los Angeles en tous cas.
Pourtant, le mode de vie américain vous correspond peut-être davantage, vous qui êtes vegan?
Oui, c’est plus simple à Los Angeles, mais ce n’est pas les Etats-Unis! Ce n’est pas le Mid-West... Le veganisme est un mode de vie. Je suis végétarienne depuis l’âge de 7 ans, et je suis devenue vegan là-bas. Maintenant, je suis très simple niveau nourriture, j’ai juste besoin de matières premières que je peux trouver partout.
Avant d’être comédienne, vous vous êtes d’abord faite connaître par votre élection de Miss Suisse en 2005, puis l’année suivante, vous avez remporté la troisième place lors de Miss Univers. Quels souvenirs gardez-vous de cette période?
Tout s’est passé très vite! J’ai fait tellement de choses en une année. J’ai fait des rencontres incroyables. C’était une expérience en soi, que je suis très heureuse d’avoir faite. Maintenant, ça ne me définit pas, ça n’a jamais été mon objectif de départ. C’était un tremplin pour réaliser mes rêves de comédie. Le concours de Miss Univers, qui s’est passé à Los Angeles, est un très bon souvenir, et c’est ce qui m’a décidé à m’installer là-bas. Avec ma force de caractère d’aujourd’hui, ce serait plus difficile de revivre l’expérience. J’ai joué le jeu, mais je n’ai jamais fait de choses qui me compromettent, comme porter de la fourrure ou faire des pubs pour de la viande.
«Je ne peux attribuer le succès de mon année de Miss Suisse qu’à mes parents, Raffy Locher et moi.»
Vous avez des déceptions ou des regrets? Que changeriez-vous?
Pas de déceptions... mais sans ma mère, qui a fait énormément pour moi cette année, je ne m’en serais pas sortie. On pense qu’on est chouchoutée, choyée, mais c’est totalement le contraire. J’ai souvent été seule dans mes trajets, dans le train, avec des grosses valises... A part Raffy Locher, mon manager de l’époque, qui gérait mon emploi du temps, ce n’est pas une organisation qui s’occupe de nous 24h/24. Je n’en ai pas souffert, mais lorsqu’on prend 34% du salaire, on s’attend à autre chose. Je ne peux attribuer le succès de mon année de Miss Suisse qu’à mes parents, Raffy Locher et moi.
Ce titre vous a apporté de la confiance?
Je pense que la confiance en moi s’est forgée déjà toute petite avec les concours de gymnastique que j’ai pu faire. Oui, c’est une expérience en plus, qui m’a permis d’être plus débrouillarde. Mais c’est plutôt la compétition sportive qui a forgé mon caractère.
A l’époque de Miss Suisse, un magazine alémanique vous a critiquée sur votre physique? Qu’en pensez-vous avec le recul d’aujourd’hui?
Je ne m’en rappelle pas vraiment. C’est tellement loin. C’est le rôle des médias, et c’est un journal – «Blick», ndlr – qui n’a pas grand-chose à dire. Franchement, que ce soit durant cette année-là ou ensuite avec ces histoires de chirurgie plastique: ça glisse, comme sur les plumes d’un canard! Ca ne m’atteint pas parce que je n’en ai rien à cirer de ce qu’un magazine comme ça ou ses lecteurs pensent de moi. Je pense qu’on n’a pas les mêmes valeurs de vie. Si on regarde les tabloïds en Amérique, au Royaume-Uni ou en France, c’est la règle du jeu... J’ai un peu été épargnée car il n’y avait pas grand-chose à dire. Mais j’ai quand même été la cible de quelques méchancetés.
«Devant George Clooney ou Matt Damon, c’est très facile de perdre ses moyens...»
Vous avez aussi tourné, il y a quelques années, une pub Nespresso aux côtés de George Clooney. Vous avez dû faire beaucoup d’envieuses... Racontez-nous un peu vos impressions aux côtés de cette icône du glamour?
Quand j’ai été choisie, j’étais tellement surprise. Je n’ai pas vu les choses venir. J’avais peur de perdre mes moyens le jour du tournage. Devant George Clooney ou Matt Damon, c’est très facile de perdre ses moyens... Mais ça a été super: George Clooney est chaleureux, drôle avec tout le monde; Matt Damon, plutôt timide et réservé. L’équipe était vraiment super, je garde un merveilleux souvenir de ce moment.
Avez-vous encore du temps pour votre vie personnelle?
Ma vie professionnelle a toujours été une priorité pour moi, même si je ne renie pas ma vie privée. Mais à l’heure actuelle, ma vie privée ne regarde que moi; je suis très bien seule, à faire avancer ma carrière d’actrice. Tout va bien, je suis heureuse. On va de l’avant!
Voici à quoi ressemblent vraiment les stars de «GoT»
Voici à quoi ressemblent vraiment les stars de «GoT»
Les fans reconnaissent immédiatement certaines célébrités en pleine rue alors que d’autres, sans leur costume, passent inaperçues en prenant le métro: voici ce à quoi ressemblent les stars de «Game of Thrones» lorsqu’elles n’évoluent pas à travers Westeros.
Des informaticiens munichois ont dernièrement déterminé à l’aide d’un algorithme que les chances de survie de Daenerys Targaryen aux événements de la saison finale de «Game of Thrones» et qu’elle occupe même le Trône de fer à la fin s’élèvent à 99%.
Les chances de reconnaître son interprète Emilia Clarke dans la rue sont en revanche bien moindres: les cheveux naturellement bruns de la Londonienne contrastent du tout au tout avec sa perruque blonde platine.
Voilà à quoi ressemblent les sauveurs: Jon Snow a depuis longtemps abandonné son passé de fils illégitime de Ned Stark et porte désormais la lourde responsabilité, en tant que roi du Nord, de sauver Westeros des Marcheurs Blancs. Les innombrables combats contre des morts-vivants, des sauvageons ou des alliés de la maison Lannister ont laissé des traces.
Les cheveux coupés plus courts, la barbe taillée au profit d’une seule moustache, pas de cicatrice lui cernant l’œil, un pull design plutôt qu’une peau de loup: voilà à quoi ressemble Kit Harington dans la vie réelle. Et il reste malgré tout clairement identifiable comme interprète de Jon Snow.
Le signe distinctif de Sansa Stark sont ses longs cheveux roux – en fait teints. «J’aime les cheveux roux, ils font partie désormais de moi», déclarait l’actrice Sophie Turner à «Instyle» en 2017. Ce qui ne l’a pourtant pas empêchée de revenir à sa couleur naturelle à la fin de la série ...
Sophie Turner est en fait blonde, mais les fans vont quand même la reconnaître avec sa «nouvelle» couleur, tout comme sa sœur dans la série, Maisie Williams ...
Elle s’essaie à de nombreuses teintes depuis le clap final de «Game of Thrones». L’envie lui est peut-être venue du fait que son personnage Arya pouvait apparaître sous pratiquement n’importe quelle forme et avec des couleurs de cheveux très diverses au cours des dernières saisons?
La fille cadette de Stark a poursuivi sa formation chez les Sans-Visage, une confrérie d'assassins dont les membres ont la particularité de pouvoir changer de visage à leur guise.
La plupart des rumeurs dans «Game of Thrones» ont circulé autour de lui: Bran Stark, incarne-t-il au début un enfant poussé par la fenêtre, à présent la créature mystique de la «corneille à trois yeux» capable de voyager dans le temps, pour finalement être le Roi de la Nuit?
L’interprète de Brandon Stark, Isaac Hempstead Wright, reste normalement très discret. Les gens le reconnaissent quand même plus souvent qu’il ne le souhaite. Dans une déclaration récente, il se plaignait, alors qu’il étudiait encore, de n’avoir pratiquement jamais pu sortir de son foyer sans être interpellés par les fans.
Il lève les bras, les morts se dressent, et le mur de glace s’effondre. Le Roi de la Nuit se prépare à la bataille contre Westeros en compagnie de ses Marcheurs Blancs. Et voici le chef de l’armée de zombies morts-vivants au quotidien...
L’acteur britannico-américain Richard Brake, visible ici dans la série documentaire «Barbarians Rising» diffusé sur History, interprète le Roi de la Nuit dans les quatrième et cinquième saisons. Le rôle est repris par Vladimir Furdik dès la saison 6.
Il ne fait pas bon croiser son chemin, et surtout pas depuis qu’on lui a coupé sa longue chevelure blonde et l’a faite défiler nue à travers la moitié de Port-Réal: pour renforcer son pouvoir, Cersei Lennister est prête à marcher sur des cadavres.
Dès que la caméra est coupée, la mère de deux enfants paraît bien moins effrayante. Lena Headey porte de plus une longue chevelure brune, à l’inverse des cheveux blonds et courts de Cersei à l’écran – sans parler des lunettes Nerd.
Le roi Robert Baratheon a régné sur l’ensemble de Westeros durant la première saison, mais le vin, les femmes et un «accident» de chasse l’ont conduit à sa perte. L’exalté souverain barbu a été interprété par ...
... Mark Addy, que l’on peine à reconnaître, rasé et avec les cheveux courts, comme acteur de «Game of Thrones». Dans «Les Pierrafeu à Rock Vegas», il a joué du reste le rôle de Fred Pierrafeu et interprété la chanson «This Isn't Love», présente sur le CD de la musique du film.
Alors que la plupart de ses collègues de «Game of Thrones» se font couper les cheveux afin de paraître à nouveau ordinaire, Conleth Hill doit laisser pousser les siens. Lord Varys arbore depuis toujours un crâne rasé.
Voir l’acteur Conleth Hill sur le tapis rouge avec une chevelure est d’autant plus étonnant. Il faut un certain temps afin de pouvoir se remémorer son visage.
La moitié gauche du visage de la princesse Shireen Baratheon a été défiguré par une cicatrice due à une contamination de l’insidieuse grisécaille lorsqu’elle était bébé. Toute une illusion créée par les maquilleurs ...
... comme nous le prouve un rapide coup d’œil sur le compte Instagram de l’interprète Kerry Ingram.
Le «Limier» Sandor Clegane a également hérité de sa cicatrice au visage durant ses jeunes années. Son frère, surnommé la «Montagne», lui a plaqué le visage contre des charbons ardents lorsqu’il était enfant. Derrière l’effrayante cicatrice tracée au maquillage se cache ...
... l’acteur écossais Rory McCann. Oui, il peut bien sourire.
«La Montagne», le boucher impitoyable au service de la Reine Cersei, est également un véritable colosse dans la vie quotidienne, et officiellement l’homme le plus fort du monde! Hafthor Julius Björnsson, c’est le nom de l’Islandais, mesure 2,06 mètres et pèse 180 kilos.
«Pour conserver ma carrure, je m’entraîne tous les jours. Je peux soulever 1000 livres et consomme quotidiennement 10 000 calories», avoue-il. «Lorsque nous allons au supermarché, nous avons besoin d’un camion» déclare Kelsey Henson, son épouse de 53 kilos. «Mais c’est OK car il arrive à tirer un camion à mains nues».
La guerrière Brienne de Torth n’a enfilé qu’une seule fois une robe dans «Game of Thrones», lorsqu’elle était la prisonnière de Roose Bolton. La comédienne Gwendoline Christie a manifestement moins de problèmes pour porter des tenues chics dans la vie de tous les jours ...
L’actrice de 1,91 mètres apparaît sur le tapis rouge, ou même sur les podiums, très souvent vêtue de tissus fins ou dans des tenues extravagantes. Le fait que Gwendoline Christie soit liée au créateur de mode britannique Giles Deacon depuis 2013 pourrait aussi l’expliquer.
Dans «Game of Thrones», nous n’avons également pas besoin de voir Asha Greyjoy débarquer dans des tenues soignées. Ou avec du shampoing. Dans sa vie quotidienne en revanche, ...
... l’interprète d’Asha, Gemma Whelan, trouve autant l’un que l’autre de circonstance. Nous soupçonnons aussi fortement qu’elle n’a pas payé le prix du Fer pour ces boucles d’oreilles.
La mort du doux géant Hodor, qui n’est pas apparu autrement qu’en tant qu’«Hodor» depuis le premier épisode, a laissé les spectateurs bouche bée pour de nombreuses raisons. La surprise est également de taille lorsqu’on aperçoit le comédien en réalité.
Même si Kristian Nairn fait également forte impression dans la vie réelle avec sa taille de 2,13 mètres et qu’on le qualifie volontiers de videur, c’est plutôt du côté des boîtes de nuit qu’on le rencontre. Ce Nord-Irlandais aux étoiles tatouées au-dessus de l’œil droit est DJ.
Comme les propos incisifs de Lady Olenna Tyrell nous manquent terriblement! Dans tous les épisodes où Diana Rigg jouait la stratège raffinée, elle n’est jamais apparue sans coiffe. Est-ce curieux de la voir sans?
Ses yeux pétillants la trahissent, sinon on pourrait passer devant Diana Rigg dans la rue sans s’en rendre compte.
C’est encore trop facile? OK. Alors quel rôle interprétait Joseph Mawle dans la série à succès, et ce depuis le premier épisode?
C’était Benjen Stark, qui a disparu dans la première saison et était à peine reconnaissable à son retour dans la saison 6.
Il faut aussi longuement réfléchir pour Richard Dormer, même si son personnage compte parmi les rares encore en vie et dont le visage ne laisse pas indifférent.
Muni d’un cache-œil, portant une barbe et de fausses cicatrices, Richard Dormer est également bien camouflé dans la série sous les traits de Beric Dondarrion. Et son épée enflammée lui vole régulièrement la vedette.
Mais plus sérieusement, cette femme n’a pas joué dans «Game of Thrones»! Oh, mais si: Hannah Waddingham avait en effet un rôle en vue avec un script très mémorable.
Elle a d’abord rendu la vie impossible à Cersei avec sa réplique «Avoue!», puis avec ses cris puissants «Quelle honte!»: Hannah Waddingham a interprété l’intraitable géôlière de Cersei, Septa Unella.
Alizée Gaillard en images
Alizée Gaillard en images
La Valaisanne Alizée Gaillard pourrait être la sœur jumelle d'Angelina Jolie. Ici, elle pose en compagnie de son mari, l'acteur américain Darrin Charles («Wildcardz»), à l'occasion d'une cérémonie de remise de prix organisée à Santa Monica en 2017.
Alizée Gaillard (à droite) avec une de ses meilleures amies, l'actrice canadienne Jen Araki («House of Demons»).
Alizée Gaillard (à droite) avec sa mère Claudia.
Alizée Gaillard dans une campagne publicitaire pour Biotonique réalisée par la photographe Sarah Orbanic.
Alizée Gaillard, photographiée par Céline Bliss.
Alizée Gaillard n'a rien contre les poses osées. Ici, elle se tortille devant l'objectif de Jeff Johanson.
Cette photo est également l'œuvre de Jeff Johanson.
Intrépide: en 2008, Alizée Gaillard fait la promotion d'une exposition consacrée aux araignées.
En 2005, elle a remporté l'émission «Top Model», diffusée sur M6.
Alizée Gaillard lors d'une exposition de sculptures de glace organisée à La-Chaux-de-Fonds en 2009.
Alizée Gaillard en 2011 à Londres.
Alizée Gaillard en 2015 lors d'un défilé de mode à Los Angeles.
Alizée Gaillard en 2015 lors d'une cérémonie de remise des prix.
Alizée Gaillard en 2016 lors d'une cérémonie de remise des prix.
Alizée Gaillard (à droite) avec Laury Renaud, une de ses amies.
Alizée Gaillard prend la pose dans le cadre d'une campagne publicitaire pour Biotonique réalisée par la photographe Sarah Orbanic.
Alizée Gaillard avec l'acteur Guy Kapulnik, qui a joué son mari dans une campagne pour Mazda.
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