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Interview Stéphane Thebaut: «Je n’ai pas l’intention de partir en vacances avec Valérie Damidot!»
Samuel Bartholin/AllTheContent
12.5.2018
Depuis dix-sept ans, Stéphane Thebaut fait avec «La Maison France 5» franchir au téléspectateur le seuil de demeures de particuliers pour faire découvrir un univers, partager des idées de déco, initier un réaménagement intérieur… Confidences de ce passionné qui apprécie le charme des régions et voue un culte aux artisans, mais ne se prive pas pour tirer à l’arme lourde sur certains confrères de la télévision, à ses yeux peu scrupuleux.
Peut-on comparer l’émission «La Maison France 5» à une maison qui aurait connu des agrandissement successifs?
On a fait une extension! Oui, vous avez raison, la comparaison est plutôt intelligente: au même titre qu’une maison qui a besoin d’être relookée de temps en temps, où on modifie les textiles, les coussins, on a fait évoluer l’émission au fur et à mesure des attentes des téléspectateurs! On a fait à un moment donné plus de choses concernant les tendances, puis plus de choses concernant les artisans… Ceux-ci étaient un peu la vache maigre question communication, ce sont souvent des gens qui ont un vrai savoir-faire et du talent, mais n’ont souvent pas les moyens pour communiquer. On ne va pas demander à un menuisier ou un ébéniste de faire de la télévision, ce n’est pas son métier premier, donc nous, nous avions la volonté de montrer ce que ces gens savaient faire. Et tout en ouvrant peut-être les yeux des plus jeunes, en leur disant: «Regardez, il y a des métiers dont on vous parle rarement, au lycée, au collège, alors que ce sont des métiers très nobles, qui vous permettraient de gagner votre vie très correctement tout en vous apportant une vraie satisfaction.» Voilà, on a fait évoluer les choses au fur et à mesure… Quand un programme fonctionne bien, il ne faut pas faire la révolution, mais des petits changements à doses homéopathiques, histoire de ne pas dérouter non plus le téléspectateur.
Parmi les changements, il y a aussi le passage de l’émission de 60 à 90 minutes depuis la rentrée dernière…
Depuis un ou deux ans, on se bagarrait avec la chaîne en disant: on est diffusé le vendredi soir, on se retrouve face à des mastodontes qui font 90, voire 120 minutes en diffusion, et nous, avec nos 60 minutes, on a du mal à concurrencer ces autres émissions. Il s’avère que le fait de passer en 90 minutes nous a placés dans une situation où nous sommes toujours dans le tiercé de tête des chaînes de la TNT, et même régulièrement les premiers. C’est donc plutôt satisfaisant de se dire qu’avec un programme, qui est une contre-programmation par rapport à ce qui se fait sur les autres chaînes, on arrive à tirer notre épingle du jeu.
«Je n’ai pas envie de marcher sur les plates-bandes de mes petits camarades!»
On passe également dorénavant à l’extérieur, pour découvrir des lieux en ville…
Alors ça, c’est peut-être effectivement la grande nouveauté de cette année! Auparavant, on allait visiter des maisons, mais qu’elles soient à Dijon, Toulouse, Bayonne, Bourg-en-Bresse, peu importe, on restait à l’intérieur! Aujourd’hui, on sort un peu de cette maison, le parti pris, c’est de se dire: on va dans une ville, un quartier, un arrondissement, essayons de monter aussi comment les gens vivent dans ce quartier, comment ils se le sont approprié, à différents niveaux… C’est maintenant ça, le principe de l’émission. Régulièrement, on a des témoignages de gens qui nous disent: «Vous étiez chez moi et vous m’avez fait découvrir des choses que je ne connaissais pas.» Notre objectif, c’est de creuser, pas d’enfoncer des portes ouvertes, mais de découvrir des choses un peu étonnantes!
Faire à la fois découvrir un patrimoine, tout en mettant en avant des démarches créatives…
Oui, après si vous voulez au sein de France Télévisions, il y a des émissions qui ont une forte identité, que ce soit «Des Racines et des ailes», où on est vraiment sur l’aspect patrimonial, ou «Echappées belles» où on est vraiment sur l’aspect tourisme… Nous, nous voulions composer un peu avec tout ça. Je ne rentre pas dans l’aspect très patrimonial: c’est davantage le coté carte postale, l’évolution, l’allure architecturale de la ville qui m’intéresse, que de dire: «Cette maison a été bâtie au XVe siècle, etc.» Je n’ai pas envie de marcher sur les plates-bandes de mes petits camarades! Mais on essaie malgré tout d’intéresser les gens à quelque chose qui n’était pas traité avant par l’émission.
«Maintenant, on a une difficulté, c’est qu’on ne peut pas aller tourner cette séquence en province, ou de manière vraiment très rare, très ponctuelle.»
Parlons de la rubrique «Changer». Vous recevez énormément de demandes?
Oui, et c’est normal, on est un peu considérés comme étant le père Noël: on arrive, on opère, et ça change considérablement le quotidien des gens après. Maintenant, on a une difficulté, c’est qu’on ne peut pas aller tourner cette séquence en province, ou de manière vraiment très rare, très ponctuelle. Les architectes d’intérieurs, l’un, Stéphane Millet est basé sur Lyon, et les filles sont, elles, basées sur Paris. Imaginez que réaliser cette séquence nécessite, non seulement la connaissance du dossier, mais d’aller sur place, de faire deux propositions, d’envoyer les équipes pour faire les travaux… Si j’envoie une équipe pour le «avant, pendant, après» à Dijon, entre les travaux, les journalistes, les preneurs de son, les opérateurs vidéo, je bouffe tout le budget de l’émission! Il faut que les collaborateurs puissent donc rentrer tous les soirs chez eux, je ne peux pas les héberger deux ou trois semaines à l’hôtel. Donc les gens sur Paris ou Lyon sont privilégiés par rapport à la réalisation de cette chronique.
Pour autant, l’idée, c’est que le téléspectateur qui vit dans une autre ville peut s’inspirer de ce que l’on a fait, se dire: «Ah, ça c’est bien, j’ai la même configuration chez moi, je vais me rapprocher d’un architecte d’intérieur pour voir ce qu’il est possible de faire.» Car cette rubrique a pour ambition d’éveiller le bon sens chez le consommateur… Je prends toujours la même image: si vous devez vous faire opérer, vous allez plus naturellement aller voir un chirurgien qu’un boulanger. Et bien, quand on fait des travaux chez soi, tant qu’à faire, autant faire appel à un professionnel. Un architecte d’intérieur, ou un architecte, c’est quelqu’un qui a été formé, qui a fait des études, et dont l’objectif va être d’optimiser le moindre centimètre carré de votre habitat. Donc autant faire appel à une personne qui va vraiment pouvoir vous épauler concrètement, plutôt que de faire une première tranche de travaux, puis une seconde deux ans plus tard, parce qu’on a pas optimisé le truc: on a perdu au final du temps et de l’argent.
«C’est la différence avec d’autres émissions de télé qui ont plus joué sur la notion de spectacle, où on s’est dit: «Je me définis aujourd’hui grande prêtresse de la décoration...»»
On en revient encore à la promotion des artisans, des savoir-faire…
Oui, depuis dix-sept ans que je présente cette émission, il arrive qu’on me demande de faire des conférences, des choses de ce genre, sur l’architecture, je dis: «Très bien! Mais vous mettez qui à coté de moi?» Moi, je ne suis pas architecte, ni décorateur ou designer! Mon métier, c’est d’interroger des gens dont c’est justement l’activité. N’inversons pas les rôles! Je ne suis que journaliste, passe-plat ou Monsieur Loyal, appelons ça comme on veut, mais je ne veux pas prendre la place de ces gens-là. C’est la différence avec d’autres émissions de télé qui ont plus joué sur la notion de spectacle, où on s’est dit: «Je me définis aujourd’hui grande prêtresse de la décoration, alors qu’il y a quinze jours, je faisais encore les photocopies et je ramassais les cafés dans une boîte de production.» A un moment donné, il ne faut pas usurper le rôle de gens dont c’est le métier.
«Toutes ces émissions ont fait un tort monstrueux aux artisans, et moi, je suis là aujourd’hui pour les défendre!»
Vous n’épargnez pas ces émissions où, vous dites, on sous-entend qu’on peut refaire sa maison en trois jours…
Pour une raison simple! Le parti pris des chaînes est ce qu’il est: ils veulent faire du spectacle, très bien. Mais moi, je me mets toujours à la place de l’artisan qui fait consciencieusement son travail. Et lorsqu’il va recevoir la demande de Madame Untel à Vierzon pour venir refaire sa maison, qu’il va lui dire: «OK, il va falloir qu’on soit dix, et ça va prendre deux mois», il se fait traiter du coup d’escroc! Mais c’est la réalité, on ne va pas inventer des temps de séchage fantaisistes: vous faites une dalle de béton, vous laissez sécher un mois avant de poser du carrelage. Si vous posez au bout de deux jours, il est évident que ca ne va pas tenir dans le temps. Donc toutes ces émissions ont fait un tort monstrueux aux artisans, et moi, je suis là aujourd’hui pour les défendre! Il faut arrêter de raconter des «conneries», de faire croire aux gens n’importe quoi! Il faut arrêter aussi de se désintéresser en fait des gens, parce que, non seulement on a fait du mal aux artisans, mais ceux chez qui ils ont fait les travaux, trois mois plus tard, vous y retournez: tout s’est cassé la figure! Il n’y a rien qui tient, c’est logique!
Et quand vous arrivez dans une chambre de gamin, que Valérie Damidot (D&CO, les As de la déco, ndlr) dit: «J’ai discuté avec votre fils, il m’a dit qu’il aimait les dinosaures, donc on lui a fait une chambre sur le thème de Jurassic Park», le gamin, au bout de quarante-huit heures, va faire des cauchemars, avant de passer ensuite dix ans chez le psy! Mais voilà, on a fait du spectacle, et on n’a rendu en fait service à personne! Alors, certes, on a fait de l’audience, et il y aura toujours une clientèle qui préférera faire ses courses chez Gifi plutot que chez Roche-Bobois… Mais il faut aussi tirer les gens vers le haut, en leur montrant que certains ont fait des rénovations avec peu de moyens, mais avec de la jugeote, en se disant: «Je vais aller chez Emmaüs, je vais aller dans une brocante, faire les vide-greniers, je vais me relever les manches et bosser chez moi…» Il y a plein d’exemples comme ça qu’on a montré dans l’émission!
«Ils ont mis des gens dans la «merde», qui se sont retrouvés face à l’administration, qui devaient payer une amende et qui n’en avaient pas les moyens...»
Cette mise au point a l’air de vous tenir à cœur.
Je la fais en permanence cette mise au point, et sans scrupule aucun! Je n’ai pas du tout l’intention de partir en vacances avec Valérie Damidot… ou avec Marc-Emmanuel (Tous ensemble, ndlr). Celui-là, c’est encore mieux, ses gars à un moment donné ont fait sauter un pignon, mis une baie vitrée à la place: jamais on n’a entendu parler d’autorisation de travaux, de permis de construire ou quoi que ce soit. Ils ont mis des gens dans la «merde», qui se sont retrouvés face à l’administration, qui devaient payer une amende et qui n’en avaient pas les moyens. Il y a eu dix-huit procès contre cette émission! Et le mec qui produit, c’est Julien Courbet, celui qui vous dit: «Je suis le Zorro du PAF, vous avez un problème avec votre voisin, je vous arrange le coup.» Eh bien, première chose, commencez déjà par éviter de foutre les gens dans la merde! Ça, ça me révolte! Moi, je vous assure, on a fait dix-sept ans de travaux avec cette rubrique «Changer», qui s’appelait avant «SOS Maison», je n’ai jamais eu une plainte. Parce que tout simplement, les gens, quand ils reçoivent le résultat, ils ont une garantie décennale, au même titre que si vous aviez fait appel à un artisan: on est dans un sérieux, on est dans une démarche professionnelle.
«Même comme téléspectateur, je ne supporte pas de regarder une émission où, à la fin, je n’ai rien appris.»
C’est dit… Venons-en à votre parcours: vous avez eu une carrière diverse en radio, télévision, mais avec toujours une ambition pratique, utile aux gens.
Je n’ai jamais voulu dans une émission que j’ai présenté (ou co-présenté, ou comme chroniqueur) que mon intervention soit stérile. J’ai toujours voulu avoir le sentiment d’apporter une information ou quelque chose de concret au téléspectateur. Dans «Combien ca coûte?», je m’occupais de l’argent gaspillé et des arnaques, dans «Ciel mon mardi!», avec Christophe Dechavanne, on était dans un magazine sociétal, avec des informations distillées, certes dans la joie et la bonne humeur, mais avec malgré tout du contenu. Ensuite, j’ai fait un jeu sur France 2, qui s’appelait «Tout vu, tout lu», pour évoquer des faits d’actualité très proches ou plus anciens, avec une volonté de faire travailler les méninges. J’ai fait un magazine sur la chaîne parlementaire, également un magazine juridique sur France 2 qui s’appelait «Audience privée», qui essayait de trouver des solutions à des conflits de voisinage, ou autres…
Même comme téléspectateur, je ne supporte pas de regarder une émission où, à la fin, je n’ai rien appris. Les émissions de Cyril Hanouna, les Chtis, les Marseillais, et tous ces trucs-là, je trouve que c’est le niveau zéro, de la bêtise… Je ne vais pas dire que j’interdis à mes enfants de regarder ça, ils sont assez grands pour faire ce qu’ils veulent, mais heureusement, ils ne le font pas! Les gens qui font une émission de télévision simplement pour critiquer les autres, on a envie de leur dire: avant de critiquer, faites déjà quelque chose! Quand je vois Matthieu Delormeau, ou Gilles Verdez (Touche pas à mon poste, ndlr), qui était avant rédacteur en chef au Parisien, et qui, s’il n’était pas chroniqueur chez Hanouna, serait à Pôle Emploi… Je ne vois pas du tout d’intérêt à ces gens-là! Faire une émission de télévision, oui, mais si c’est pour faire quelque chose de complètement gratuit, je préférerais faire autre chose, restaurer des maisons… La télé, c’est mon outil de travail, mais ce n’est pas ma vie, j’ai d’autres passions à coté… Si vous me voyez un jour présenter de la merde, n’hésitez pas à me le rappeler!
«Très honnêtement, au quotidien, je n’aimerais pas être l’enfant de Cyril Hanouna…»
Entendu!
De toute façon, ce n’est pas à mon âge, à 55 ans, que je vais changer. Vous savez, c’est aussi le parti pris d’un père de famille: je n’ai jamais voulu que mes enfants se fassent chambrer en allant à l’école le matin. Je préfère donc faire du qualitatif à quelque chose qui puisse se retourner contre eux. Très honnêtement, au quotidien, je n’aimerais pas être l’enfant de Cyril Hanouna… Je ne suis pas sûr que ce soit toujours très facile à vivre!
Avec votre intérêt pour les maisons, on vous imagine vivre dans un cadre particulièrement soigné…
Oui, mais surtout, le cadre évolue, c’est-à-dire que je ne suis pas dans une maison musée, qui est restée identique depuis dix ans. Chaque année, il y a des couleurs de murs qui ont changé, des textiles qui ont changé, du mobilier qui a changé de place: je fais évoluer mon cadre de vie pour avoir un peu le sentiment d’avoir déménagé, tout en restant dans la même maison, vous voyez? C’est aussi ça qui permet d’éviter de s’embrumer le cerveau, il faut se faire plaisir en changeant une lampe, un bibelot, des choses de ce genre… C’est aussi ce vers quoi on tend avec l’émission, en disant: changer de déco, c’est changer d’air! On change bien de vêtements d’une saison à une autre, pourquoi on ne changerait pas de décoration à l’intérieur? Ce n’est pas une après-midi et un pot de peinture qui vont vous ruiner!
Vous avez choisi de vivre à Annecy, à la montagne, alors que vous êtes breton…
Il y a une vraie raison à cela, c’est que, même si j’ai passé mon enfance à temps plein en Bretagne, et que mes parents y sont toujours, j’ai toujours été un fou de ski! Depuis l’âge de 4-5 ans, j’allais en colonies de vacances faire du ski, et je rêvais de pouvoir y vivre. J’ai fait mon service militaire chez les Chasseurs alpins, pour m’en rapprocher… Et il y a douze ans, je me suis dit: «Mais pourquoi est-ce que je reste vivre à Paris?» Je ne suis pas du tout un citadin, ou un urbain, j’ai besoin d’avoir de la nature et un terrain de jeu qui me permette de m’exprimer en faisant d’autres choses… Annecy, c’est une ville qui marie tout ce que j’aime! Il y a le milieu aquatique, avec le lac, la proximité de grandes villes, avec Lyon, Genève à côté… On n’est pas non plus à douze heures de Paris, mais à trois heures et demie avec le TGV, ce n’est pas la mort! Je peux descendre dans le Sud très facilement, faire du ski comme je veux l’hiver. Tout un tas de raisons donc, qui m’ont poussé à m’installer ici. Même si je passe beaucoup de temps dans les transports, il n’y a pas un jour où je regrette d’avoir fait ce choix!
«J’aime beaucoup la Suisse, j’y suis très attaché: je m’y rends régulièrement...»
Une situation pas très loin de la Suisse, ce qui intéressera les lecteurs de notre entretien…
Bien sûr! D’ailleurs, ma femme travaille en Suisse, puisqu’elle dirige une enseigne, et qu’elle a dix-neuf magasins en Suisse romande, entre Lausanne, Morges, Sion, Neufchâtel, un petit peu partout… Tous les jours, elle fait la route pour aller travailler là-bas. Personnellement, j’aime beaucoup la Suisse, j’y suis très attaché: je m’y rends régulièrement pour aller faire du ski, à Crans-Montana ou ailleurs. J’ai même travaillé quelque temps pour la TSR en coaching pour des animateurs, au début, quand je suis arrivé ici.
Enfin, vous évoquiez les évolutions de l’émission, est-ce que vous pouvez évoquer celles de la rentrée prochaine?
Non, il faut laisser l’effet de surprise! Ce ne sont pas des choses qui apparaîtront forcément de manière évidente, mais qui joueront plutôt sur la fluidité. Tenez, je vous donne un exemple tout bête, par exemple, quand vous lancez un sujet, vous dites: on va parler de ci et de ça, puis le sujet part. Nous, ce qu’on voulait, c’est qu’au moment où on parle du sujet, les images soient déjà parties. Je commence à parler en «off» du sujet, puis le commentaire commence, mais les images sont déjà là: il y a une fluidité qui s’est opérée au niveau réalisation. Donc, quand je parle de modifications, ça peut jouer au niveau rédactionnel, comme de l’outil technique qu’on va utiliser… Ça ne va pas nécessairement vous sauter aux yeux: on a rajouté des images de drones, par exemple, à certains moments pour rajouter un point de vue, pour faire voir la configuration de la maison, mais sans passer pour autant tout notre temps en l’air! Les choses évoluent petit à petit, il y a ainsi deux ou trois trucs auxquels on a pensé, et que vous verrez ainsi apparaître durant la saison 2018-2019…
«La Maison France 5»: vendredi 18 mai, à 20h50 sur France 5, à 18 mai à Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Avec la fonction Replay de Swisscom TV Air free, même les personnes qui ne sont pas clientes Swisscom peuvent revoir les programmes jusqu'à 30 heures après leur diffusion et enregistrer 60 heures d'émissions.
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