Street art. Banksy et le coronavirus.

«Atchoum!» – à travers ses dernières œuvres, Banksy emploie également une bonne dose d’humour face à la pandémie de coronavirus.

Keystone/CLAIRE HAYHURST

Une femme âgée taguée par Banksy sur un mur de Vale Street, à Bristol, éternue sur les maisons voisines.

Keystone/CLAIRE HAYHURST

Les œuvres de Banksy valent des millions sur le marché de l’art – et sont immédiatement protégées.

KEYSTONE/EPA/JON ROWLEY

A Bristol, la «Jeune Fille au tympan percé», qui serait une œuvre de Banksy, a reçu un masque en réponse à la pandémie de coronavirus.

Ben Birchall/PA Wire/dpa

«Game Changer» – c’est ainsi que Banksy a baptisé le tableau qu’il a laissé au personnel d’un hôpital de Southampton.

Andrew Matthews/PA Wire/dpa

Le coronavirus et la crise – les défis de cette année se reflètent aussi clairement à travers les œuvres de Banksy: à Nottingham, par exemple, une fille jouant au hula hoop avec un pneu de vélo est apparue sur le mur d’une maison.

Jacob King/PA Media/dpa

Critiquant la société, les œuvres de Banksy font souvent office d’avertissements, mais elles sont aussi empreintes d’un humanisme plein d’espoir, comme la fillette sur le M.V. Louise Michel, un navire de sauvetage.

KEYSTONE/AP Photo/Santi Palacios