Une girafe du Kordofan et deux petits koudous sont nés récemment au zoo de Bâle. Penda, la petite girafe, a vu le jour le 22 décembre, tandis que Pwani et Pendo ont enrichi le carnet rose du pavillon des antilopes le 24 novembre et le 3 décembre.
Penda est le troisième rejeton de la girafe Sophie (7 ans), a communiqué mercredi le parc. Le papa (9 ans) s'appelle Xamburu. À la naissance, le girafon pesait 57 kg et depuis, il prend environ un kilogramme par jour.
Cinq jours seulement après sa naissance, le bébé girafe s'est aventuré à l’extérieur avec sa mère et a effectué ses premiers sprints sur ses longues jambes. Le 2 janvier, il a inspecté pour la première fois l’espace extérieur avec le groupe au grand complet.
Famille bientôt séparée
Penda et ses parents vivent en compagnie d’Onong (2 ans), le frère de Penda, ainsi que d’Osei (un an et demi), son demi-frère, et de Kianga (10 ans), la mère de ce dernier. Osei et Onong quitteront bientôt le zoo pour aller dans un parc belge, suivant ainsi les recommandations du programme d’élevage des girafes du Kordofan.
Cette sous-espèce est considérée comme fortement menacée. La population sauvage ne s’élève plus qu’à environ 1400 individus et continue de baisser. Ils sont répartis entre le Tchad, le nord du Cameroun, la République centrafricaine et peut-être encore l’ouest du Soudan. La réduction de leur espace vital, les conflits armés et le braconnage les mettent sous pression.
Antilopes craintives
Les deux petits koudous et leur mère Jina (6 ans) se portent, eux aussi, comme des charmes. Ils accompagnent régulièrement leur mère dans les enclos extérieurs. Ces antilopes graciles ont de grands yeux bruns et de larges oreilles qui les aident à rester à l’affût des dangers et à mieux s’orienter dans la brousse africaine. Elles requièrent une attention particulière, car elles sont extrêmement craintives.
L’aire de répartition des petits koudous en Afrique couvre l’Éthiopie, le Soudan, la Somalie, le Kenya et la Tanzanie. Leur population diminue à l’état sauvage étant donné que leur espace vital est de plus en plus restreint et qu’ils sont chassés pour leur viande. Elle est estimée entre 80'000 et 100'000 individus.
Dans les zoos, la reproduction des petits koudous est organisée dans le cadre d’un programme d’élevage mené par le parc bâlois. Il en élève depuis 1956.
Penda a toute l'attention de sa maman Sophie.
C'est son troisième rejeton.
Cinq jours seulement après sa naissance, le bébé girafe s'est aventuré à l’extérieur avec sa mère et a effectué ses premiers sprints sur ses longues jambes.
Fidèles à leur espèce, Pwani et Pendo, les petits koudous, sont un peu craintifs...
Ils accompagnent régulièrement leur mère dans les enclos extérieurs.
Le zoo de Bâle organise la reproduction des petits koudous dans le cadre d’un programme d’élevage.
Carnet rose chez les koudous et les girafes
Penda a toute l'attention de sa maman Sophie.
C'est son troisième rejeton.
Cinq jours seulement après sa naissance, le bébé girafe s'est aventuré à l’extérieur avec sa mère et a effectué ses premiers sprints sur ses longues jambes.
Fidèles à leur espèce, Pwani et Pendo, les petits koudous, sont un peu craintifs...
Ils accompagnent régulièrement leur mère dans les enclos extérieurs.
Le zoo de Bâle organise la reproduction des petits koudous dans le cadre d’un programme d’élevage.
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