«Photographe météo de l’année»
Ici, la météo n’apparaît que sous son plus beau jour
uri
11.9.2020

«Final Stand» de Tina Wright: le 9 juillet 2018, la photographe a immortalisé l’une des plus grandes tempêtes de poussière jamais enregistrées dans l’Etat américain de l’Arizona.
Photo: Tina Wright/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«El Chaltén» de Francisco Javier Negroni Rodriguez: au cours d’une randonnée sur la formation rocheuse d’El Chaltén en Argentine, la couverture nuageuse s’est fissurée, mais pas seulement – le photographe a également pu immortaliser un nuage lenticulaire, un phénomène rare qui se produit par exemple lorsqu’un air stable et humide circule au-dessus d’une montagne.
Photo: Francisco Javier Negroni Rodriguez/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Baikal Treasure» d'Alexey Trofimov: lors d’une expédition au lac Baïkal en Sibérie, le photographe a immortalisé des blocs de glace qui scintillent tels des joyaux.
Photo: Alexey Trofimov/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Predawn Thunderstorm over El Paso, Texas» de Lori Grace Bailey: après avoir appris au cours d’une visite familiale à El Paso (Texas) qu’une cellule orageuse se dirigeait vers la ville, la photographe s’est postée sur la Scenic Drive, où elle a pris ce cliché de rêve sur lequel des éclairs transpercent le paysage désertique.
Photo: Lori Grace Bailey/2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Steel Star» de Yuriy Stolypin: le photographe a dû attendre longtemps avant d’obtenir les conditions idéales pour cette photo. Son but était de photographier le Lakhta Center de Saint-Pétersbourg – le plus haut bâtiment d’Europe, culminant à 462 mètres – depuis les airs, en plein brouillard. Lorsque les conditions étaient réunies, il a envoyé son drone très haut dans le ciel.
Photo: Yuriy Stolypin/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Frosty Bison» de Laura Hedien: sous des températures glaciales dans le parc national de Yellowstone, dans l’Etat américain du Wyoming, ce bison est passé devant l’objectif de Laura Hedien.
Photo: Laura Hedien / 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Tea Hills» de Vu Trung Huan: ces collines sur lesquelles on cultive le thé, dans le brouillard matinal vietnamien, semblent tout droit sorties d’un conte de fées.
Photo: Vu Trung Huan/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Dam Wet» d'Andrew McCaren: pour tenter d’immortaliser les conditions extrêmement humides en Grande-Bretagne en mars 2019, Andrew McCarenist est passé par le réservoir Wet Sleddale dans le Lake District, sur lequel l’eau s’abattait.
Photo: Andrew McCaren/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Lavaredo's Gloria» d'Alex Wides: une photo panoramique prise à la croix du sommet du Monte Paterno, à 2746 mètres d’altitude, montre notamment les trois sommets des Dolomites de Sesto, des nuages et le brouillard qui s’élève.
Photo: Alex Wides/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Monster» de Maja Kraljik: cet arcus a été immortalisé par la photographe à Umag, en Croatie. Elle explique avoir attendu son arrivée pendant deux heures – un véritable chaos s’est alors emparé du paysage.
Photo: Maja Kraljik/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Ridgeline Optics» de Richard Fox: Après une randonnée sur le Meall Nan Tarmachan (Ecosse) culminant à 1043 mètres d’altitude, le photographe a été surpris par l’irruption du soleil – et un arc blanc – à l’heure du dîner.
Photo: Richard Fox/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Pinnacles of Light» de Richard Fox: sur l’île écossaise de Lewis, une averse qui s’est abattue sur les rochers constituant les Mangersta Sea Stacks a engendré plusieurs arcs-en-ciel, que le photographe a immortalisés grâce à une exposition longue.
Photo: Richard Fox / 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Halo» de Mikhail Kapychka: un halo lunaire surplombe un lac de forêt près de Moguilev, en Biélorussie. Le photographe avait l’impression d’avoir affaire à «l’œil de Dieu».
Photo: Mikhail Kapychka/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Sa Foradada Storm» de Marc Marco Ripoll: des éclairs provenant d’un violent orage s’abattent au large du rocher de Sa Foradada, à Majorque. Il a fallu plusieurs essais au photographe pour réaliser ce cliché à la pleine lune.
Photo: Marc Marco Ripoll/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Mammatus Outbreak» de Boris Jordan: après un violent orage, des mammas – formations apparaissant à la base des nuages – ont pu être observés près de Francfort-sur-le-Main, en Allemagne. «Le ciel semblait ne pas venir de cette planète», estime le photographe.
Photo: Boris Jordan/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Just Walking in the Rain» d'Adrian Campfield: à la gare de Londres-Waterloo, le photographe a surpris cette femme seule sur le quai en pleine tempête.
Photo: Adrian Campfield/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Cell with Rainbow» de Šime Barešić: en réalité, le photographe voulait juste admirer le coucher de soleil après une sieste dans le parc naturel de Vransko jezero en Croatie, mais cette supercellule s’est ensuite présentée devant son objectif.
Photo: Šime Barešić/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Blizard» de Rudolf Sulgan: le pont de Brooklyn, envahi par une tempête de neige. Avec ce cliché, le photographe entend attirer l’attention sur le changement climatique. Ce phénomène météorologique extrême touchant New York pourrait avoir été causé par les perturbations des courants océaniques relevant du phénomène El Niño.
Photo: Rudolf Sulgan/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Under The Rainbow» de Joann Randles: Cefn Bryn Common, pays de Galles. La photographe a passé environ six mois à observer les poneys vivant à l’état semi-sauvage près de Swansea. Un jour de tempête de grêle, elle est parvenue à réaliser ce cliché.
Photo: Joann Randle/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«The Red Terror» de Tori Jane Ostberg: une tornade traverse un champ dans l’Etat américain du Colorado après avoir détruit une maison.
Photo: Laura Hedien/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Trees & Fog» de Preston Stoll: en décembre 2018, le photographe voulait immortaliser des transitions météorologiques passionnantes. Dans la forêt nationale de Medicine Bow-Routt, dans l’Etat américain du Colorado, il a pris l’une de ses photos préférées: des arbres gelés face à un mur de brouillard.
Photo: Preston Stoll/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«A Thirsty Earth» d'Abdul Momin: à l’aide de son drone, le photographe a pris un cliché de la terre sèche qui attend les agriculteurs durant la sécheresse hivernale à Chittagong, au Bangladesh.
Photo: Abdul Momin/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Before a Storm» de Mikhail Shcheglov: en Islande, ce visiteur a immortalisé les instants précédant un violent orage accompagné de grêle.
Photo: Mikhail Shcheglov/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Small Tornado» de Hadi Dehghanpour: lors d’un rituel funéraire à Noush Abad, en Iran, une petite tornade balaie le lieu de la cérémonie et emporte des tentes et des bancs.
Photo: Hadi Dehghanpour/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Dream» de Madison: après une nuit fraîche, du brouillard s’accumule au-dessus du lit d’une rivière.
Photo: Madison/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Winter Sunset» d'Ivica Brlić: le photographe se livre à un commentaire laconique au sujet de cette image: «Les conditions météorologiques étaient changeantes ce jour-là. Le temps était ensoleillé, nuageux, venteux, orageux… la photo montre une partie de ces conditions météorologiques.»
Photo: Ivica Brlić/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Final Stand» de Tina Wright: le 9 juillet 2018, la photographe a immortalisé l’une des plus grandes tempêtes de poussière jamais enregistrées dans l’Etat américain de l’Arizona.
Photo: Tina Wright/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«El Chaltén» de Francisco Javier Negroni Rodriguez: au cours d’une randonnée sur la formation rocheuse d’El Chaltén en Argentine, la couverture nuageuse s’est fissurée, mais pas seulement – le photographe a également pu immortaliser un nuage lenticulaire, un phénomène rare qui se produit par exemple lorsqu’un air stable et humide circule au-dessus d’une montagne.
Photo: Francisco Javier Negroni Rodriguez/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Baikal Treasure» d'Alexey Trofimov: lors d’une expédition au lac Baïkal en Sibérie, le photographe a immortalisé des blocs de glace qui scintillent tels des joyaux.
Photo: Alexey Trofimov/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Predawn Thunderstorm over El Paso, Texas» de Lori Grace Bailey: après avoir appris au cours d’une visite familiale à El Paso (Texas) qu’une cellule orageuse se dirigeait vers la ville, la photographe s’est postée sur la Scenic Drive, où elle a pris ce cliché de rêve sur lequel des éclairs transpercent le paysage désertique.
Photo: Lori Grace Bailey/2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Steel Star» de Yuriy Stolypin: le photographe a dû attendre longtemps avant d’obtenir les conditions idéales pour cette photo. Son but était de photographier le Lakhta Center de Saint-Pétersbourg – le plus haut bâtiment d’Europe, culminant à 462 mètres – depuis les airs, en plein brouillard. Lorsque les conditions étaient réunies, il a envoyé son drone très haut dans le ciel.
Photo: Yuriy Stolypin/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Frosty Bison» de Laura Hedien: sous des températures glaciales dans le parc national de Yellowstone, dans l’Etat américain du Wyoming, ce bison est passé devant l’objectif de Laura Hedien.
Photo: Laura Hedien / 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Tea Hills» de Vu Trung Huan: ces collines sur lesquelles on cultive le thé, dans le brouillard matinal vietnamien, semblent tout droit sorties d’un conte de fées.
Photo: Vu Trung Huan/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Dam Wet» d'Andrew McCaren: pour tenter d’immortaliser les conditions extrêmement humides en Grande-Bretagne en mars 2019, Andrew McCarenist est passé par le réservoir Wet Sleddale dans le Lake District, sur lequel l’eau s’abattait.
Photo: Andrew McCaren/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Lavaredo's Gloria» d'Alex Wides: une photo panoramique prise à la croix du sommet du Monte Paterno, à 2746 mètres d’altitude, montre notamment les trois sommets des Dolomites de Sesto, des nuages et le brouillard qui s’élève.
Photo: Alex Wides/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Monster» de Maja Kraljik: cet arcus a été immortalisé par la photographe à Umag, en Croatie. Elle explique avoir attendu son arrivée pendant deux heures – un véritable chaos s’est alors emparé du paysage.
Photo: Maja Kraljik/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Ridgeline Optics» de Richard Fox: Après une randonnée sur le Meall Nan Tarmachan (Ecosse) culminant à 1043 mètres d’altitude, le photographe a été surpris par l’irruption du soleil – et un arc blanc – à l’heure du dîner.
Photo: Richard Fox/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Pinnacles of Light» de Richard Fox: sur l’île écossaise de Lewis, une averse qui s’est abattue sur les rochers constituant les Mangersta Sea Stacks a engendré plusieurs arcs-en-ciel, que le photographe a immortalisés grâce à une exposition longue.
Photo: Richard Fox / 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Halo» de Mikhail Kapychka: un halo lunaire surplombe un lac de forêt près de Moguilev, en Biélorussie. Le photographe avait l’impression d’avoir affaire à «l’œil de Dieu».
Photo: Mikhail Kapychka/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Sa Foradada Storm» de Marc Marco Ripoll: des éclairs provenant d’un violent orage s’abattent au large du rocher de Sa Foradada, à Majorque. Il a fallu plusieurs essais au photographe pour réaliser ce cliché à la pleine lune.
Photo: Marc Marco Ripoll/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Mammatus Outbreak» de Boris Jordan: après un violent orage, des mammas – formations apparaissant à la base des nuages – ont pu être observés près de Francfort-sur-le-Main, en Allemagne. «Le ciel semblait ne pas venir de cette planète», estime le photographe.
Photo: Boris Jordan/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Just Walking in the Rain» d'Adrian Campfield: à la gare de Londres-Waterloo, le photographe a surpris cette femme seule sur le quai en pleine tempête.
Photo: Adrian Campfield/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Cell with Rainbow» de Šime Barešić: en réalité, le photographe voulait juste admirer le coucher de soleil après une sieste dans le parc naturel de Vransko jezero en Croatie, mais cette supercellule s’est ensuite présentée devant son objectif.
Photo: Šime Barešić/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Blizard» de Rudolf Sulgan: le pont de Brooklyn, envahi par une tempête de neige. Avec ce cliché, le photographe entend attirer l’attention sur le changement climatique. Ce phénomène météorologique extrême touchant New York pourrait avoir été causé par les perturbations des courants océaniques relevant du phénomène El Niño.
Photo: Rudolf Sulgan/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Under The Rainbow» de Joann Randles: Cefn Bryn Common, pays de Galles. La photographe a passé environ six mois à observer les poneys vivant à l’état semi-sauvage près de Swansea. Un jour de tempête de grêle, elle est parvenue à réaliser ce cliché.
Photo: Joann Randle/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«The Red Terror» de Tori Jane Ostberg: une tornade traverse un champ dans l’Etat américain du Colorado après avoir détruit une maison.
Photo: Laura Hedien/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Trees & Fog» de Preston Stoll: en décembre 2018, le photographe voulait immortaliser des transitions météorologiques passionnantes. Dans la forêt nationale de Medicine Bow-Routt, dans l’Etat américain du Colorado, il a pris l’une de ses photos préférées: des arbres gelés face à un mur de brouillard.
Photo: Preston Stoll/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«A Thirsty Earth» d'Abdul Momin: à l’aide de son drone, le photographe a pris un cliché de la terre sèche qui attend les agriculteurs durant la sécheresse hivernale à Chittagong, au Bangladesh.
Photo: Abdul Momin/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Before a Storm» de Mikhail Shcheglov: en Islande, ce visiteur a immortalisé les instants précédant un violent orage accompagné de grêle.
Photo: Mikhail Shcheglov/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Small Tornado» de Hadi Dehghanpour: lors d’un rituel funéraire à Noush Abad, en Iran, une petite tornade balaie le lieu de la cérémonie et emporte des tentes et des bancs.
Photo: Hadi Dehghanpour/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Dream» de Madison: après une nuit fraîche, du brouillard s’accumule au-dessus du lit d’une rivière.
Photo: Madison/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS

«Winter Sunset» d'Ivica Brlić: le photographe se livre à un commentaire laconique au sujet de cette image: «Les conditions météorologiques étaient changeantes ce jour-là. Le temps était ensoleillé, nuageux, venteux, orageux… la photo montre une partie de ces conditions météorologiques.»
Photo: Ivica Brlić/ 2020 Weather Photographer of the Year/ RMetS
Les phénomènes météorologiques comme on les voit rarement: la Royal Meteorological Society (Royaume-Uni) s’apprête à désigner la photographie météorologique de l’année à partir d’une sélection 26 photos.
Pour la cinquième fois déjà, la Royal Meteorological Society établie à Reading, au Royaume-Uni, décerne le titre de photographe météo de l’année. Cette année, la cérémonie de remise des prix qui se tiendra le 17 octobre dans un contexte de crise du coronavirus marquera également le 170e anniversaire de cette société riche en tradition.
Les internautes intéressés ont encore leur mot à dire sur l’issue du vote jusqu’au 25 septembre en choisissant leur photo préférée. Cependant, il ne sera pas facile de les départager, car les 26 photos figurant dans la sélection présentent les phénomènes météorologiques sous leur aspect le plus spectaculaire.
Les 26 meilleures photos parmi 7700 propositions
Le jury constitué de cinq personnes a dû s’acquitter d’une tâche herculéenne en sélectionnant ces 26 photographies parmi les 7700 propositions soumises par plus de 2600 photographes. D’après la RMetS, les photos soumises immortalisaient des phénomènes météorologiques tels que les nuages, la foudre, la pluie, le brouillard ou la neige, ainsi que les effets de la météo sur les hommes, les villes et le paysage naturel.
«Je me réjouis de faire partie du jury chaque année», a commenté Liz Bentley, jurée et directrice exécutive de la Royal Meteorological Society. «Mais avec le nombre de photos toujours croissant et un éventail élargi de thèmes, cela devient de plus en plus difficile chaque année.»
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