Le «Spiderman» français Alain Robert escalade à mains nues une tour de Barcelone contre la peur autour du nouveau coronavirus, le 4 mars 2020
Le «Spiderman» français Alain Robert escalade à mains nues une tour de Barcelone contre la peur autour du nouveau coronavirus, le 4 mars 2020
Le «Spiderman» français escalade une tour à Barcelone contre la peur du coronavirus
Le «Spiderman» français Alain Robert escalade à mains nues une tour de Barcelone contre la peur autour du nouveau coronavirus, le 4 mars 2020
Le «Spiderman» français Alain Robert escalade à mains nues une tour de Barcelone contre la peur autour du nouveau coronavirus, le 4 mars 2020
Le «Spiderman» français Alain Robert a escaladé à mains nues et sans être assuré un gratte-ciel de Barcelone mercredi pour mettre en garde contre la «peur» contagieuse autour du nouveau coronavirus, a constaté l'AFP.
Sous le regard des curieux, le grimpeur de 57 ans a escaladé puis descendu en 47 minutes la Tour Agbar qui est haute de 145 mètres.
La police locale l'a interpellé une fois au sol tandis que des passants l'applaudissaient.
«Il y a une certaine analogie entre ce que je fais, c’est à dire grimper, grimper sans corde, donc qui peut aussi instiguer une certaine forme de peur. Et également ce qui se passe avec le coronavirus», a expliqué Alain Robert à l'AFP avant de s'attaquer à l'un des immeubles les plus emblématiques de Barcelone.
«Aujourd’hui, qu'est-ce qui est le plus contagieux ? C'est pas le coronavirus, c'est la peur. Il y a probablement 3 milliards d'individus qui aujourd’hui sont en train de flipper par rapport à cette maladie que finalement, on ne contrôle pas», a-t-il critiqué.
L'épidémie a fait plus de 3.200 morts dans le monde selon un dernier bilan établi par l'AFP sur la base de sources officielles.
L'homme-araignée a plus d'une centaine d'immeubles à son actif dont le Burj Khalifa, plus haute tour du monde (828 m) située à Dubaï, ou la Tour Eiffel, et figure au livre Guinness des records. Il fait régulièrement passer des messages politiques lors de ses ascensions.
En janvier, il avait ainsi escaladé la tour Total à La Défense en soutien à la grève contre la réforme des retraites, comme il l'avait fait avec la tour Engie en 2015 pour «un système bancaire plus transparent».
En août, il avait grimpé les 68 étages du Cheung Kong Center, à Hong Kong, pour déployer une banderole pour la paix entre la Chine et l'ex-colonie britannique, en pleine crise politique.
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