Le «Port de l'Estaque» de Georges Braque est intégré en prêt permanent à la collection consacrée au Modernisme classique du Kunstmuseum de Bâle.
Le Kunstmuseum de Bâle a acquis la toile «Murnauer Strasse» de Gabriele Münter.
Oeuvres du fauvisme au Kunstmuseum de Bâle
Le «Port de l'Estaque» de Georges Braque est intégré en prêt permanent à la collection consacrée au Modernisme classique du Kunstmuseum de Bâle.
Le Kunstmuseum de Bâle a acquis la toile «Murnauer Strasse» de Gabriele Münter.
La collection du Kunstmuseum de Bâle s'enrichit de sept oeuvres du fauvisme. Six sont des prêts permanents et la septième est une acquisition.
Le musée reçoit en prêts permanents des toiles d'André Derain (Pêcheurs à Collioure – 1905), Maurice de Vlaminck (Bords de la Seine à Carrière-sur-Seine – 1906), Georges Braque (Port de l'Estaque – 1906), Raoul Dufy (Les Passantes – 1906-1907), Kees van Dongen (Portrait de Dolly – vers 1910) et Albert Marquet (Bord de la Seine à Paris en hiver – vers 1924). L'acquisition est une oeuvre de Gabriele Münter (Murnauer Strasse – 1908), a indiqué mardi le Kunstmuseum.
Ces oeuvres sont intégrées à la collection consacrée au Modernisme classique. Elles sont exposées à partir de jeudi au deuxième étage du bâtiment principal.
Critiques choqués
Les sept oeuvres proviennent d'une collection privée suisse axée sur le fauvisme, un style développé par Henri Matisse et André Derain au début du 20e siècle. A l'époque, les critiques d'art parisiens avaient été choqués par les couleurs pures et violentes des tableaux: c'est l'art des animaux sauvages, les fauves.
Les propriétaires de la collection privée ont aussi accepté de vendre un tableau au musée «à des conditions spéciales». L'objectif est une relation à long terme avec le Kunstmuseum.
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