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OTAN Stoltenberg ne «peut pas prédire le dénouement de la guerre»
Le secrétaire général de l'OTAN a mis en garde la Russie mardi lors du WEF à Davos (GR). Jens Stoltenberg a prévenu que la sécurité européenne «ne sera pas dictée par la violence et l'intimidation». Mais il ne «peut pas prédire le dénouement de la guerre».

«Nous devons faire en sorte que ce conflit brutal ne se détériore pas en guerre totale» avec l'Alliance atlantique, a affirmé le Norvégien dans son discours. Il a rappelé que 40'000 soldats sont désormais sous commandement de l'OTAN près de l'Ukraine.
Et d'ajouter que la décision finlandaise et suédoise de rejoindre l'organisation est «historique». Le secrétaire général de l'OTAN a abordé les réserves turques contre l'entrée de ces deux pays samedi avec le président Recep Tayyip Erdogan.
Il reste là aussi optimiste sur la possibilité de trouver un accord avec un allié «important» dans la région et pour la lutte contre le terrorisme. Il faut également répondre aux inquiétudes des deux pays candidats dans la période avant leur entrée dans l'OTAN. Le dispositif dans la région baltique a été étendu récemment.
Comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen juste avant lui, le secrétaire général de l'OTAN s'est dit inquiet de la fragmentation des capacités de défense européennes. Environ 200 milliards d'euros ont été investis au total.
M. Stoltenberg a à nouveau averti ceux parmi les alliés qui souhaitent faire passer les intérêts économiques avant la sécurité, notamment sur les questions énergétiques, «une erreur». L'attitude russe sur le pétrole et le gaz est «une intimidation» inacceptable, selon lui.
sn, ats