Regardez attentivement: entre hiboux invisibles et poissons bizarres, ces clichés à couper le souffle montrent comment des créatures furtives se camouflent pour disparaître aux yeux de tous.
Marcher dans la nature à la vue de tous n’est pas une bonne stratégie de survie pour la plupart des animaux. Après tout, les prédateurs sont à l’affût partout. Le camouflage est donc une stratégie de survie pour de nombreuses créatures.
Parcourez les clichés à couper le souffle de notre galerie et armez-vous de votre patience et de votre souci du détail pour découvrir ces as du camouflage. On retrouve également des animaux locaux, comme des hiboux qui se fondent parfaitement dans des arbres.
Pendant ce temps, dans la savane, les léopards n’ont pas seulement appris à se tenir en embuscade pour attaquer leurs proies naïves. Ils parviennent même à les cacher de manière à les protéger des envieux.
«Le paradis sur une autre planète» – Tchernobyl, ville fantôme
«Le paradis sur une autre planète» – Tchernobyl, ville fantôme
Grâce à un filtre infrarouge, le photographe Vladimir Migutin a réussi à capturer des images impressionnantes de Tchernobyl et des environs: comme cette photo de Duga, le système radar soviétique utilisé pour la détection précoce d’attaques de missiles.
Haute de 26 mètres, la grande roue du parc d’attractions de Pripiat s’est arrêtée de tourner il y a 30 ans.
Sur le chemin du souvenir, des pancartes mentionnent le nom de tous les lieux évacués après la catastrophe nucléaire.
Il n’a vu absolument personne: mais dans la zone d’exclusion, le photographe Vladimir Migutin a croisé la route de nombreux animaux, comme ce renard peu farouche, que les touristes ont surnommé Simon.
Il y a bien longtemps qu’on ne joue plus de musique dans la salle de concert de Pripiat.
Les autos-tamponneuses de la fête foraine se sont également arrêtées pour toujours.
Beauté fatale: les vestiges du réacteur accidenté sont confinés sous ce sarcophage.
«The Bucket» est le nom de l’énorme pince de l’excavatrice autrefois utilisée sur le site contaminé par la radioactivité.
Un trolleybus en train de rouiller à Pripiat.
Avant la catastrophe nucléaire de Tchernobyl le 26 avril 1986, environ 50'000 personnes vivaient à Pripiat. Aujourd’hui, c’est une ville fantôme.
Les cris des enfants dans la piscine de Pripiat ne sont plus qu’un lointain souvenir.
Idem pour le complexe sportif.
La nature a repris ses droits
Des papillons virevoltent en toute quiétude, ignorant totalement la tragédie de 1986.
À l’époque, les familles ont dû quitter la région précipitamment après la catastrophe. Il ne reste plus que des témoins silencieux de l’exode nucléaire.
Vladimir Migutin (32 ans) s’est spécialisé dans la photographie infrarouge, une technique qui permet de faire ressortir les moindres détails.
Migutin vit en Israël: son voyage dans la zone interdite de Tchernobyl s’est décidé sur un coup de tête.
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