Slogans et dessins sont apparus dès l'aube dans l'espace public bâlois, clôtures de chantier en tête.
Les clôtures de plusieurs chantiers ont été placardés de slogans et de dessins à Bâle.
De nombreux dessins d'enfants ont également été déposés ou placardés sur les murs.
A Bâle, pancartes et affiches fabriquées personnellement se sont multipliées, particulièrement dans le quartier du Petit-Bâle, sur la rive droite du Rhin.
L'Alliance bâloise pour le climat a appelé la population à inscrire sur les trottoirs la date butoir de 2030 pour la suppression des émissions de CO2 à Bâle.
Les associations de protection du climat appellent à lutter contre la courbe d'émissions de CO2 en analogie à la courbe de la pandémie de coronavirus.
A Bâle, les affiches appelant à aplatir la courbe des émissions de CO2 comme celle du coronavirus se sont multipliées sur les clôtures de chantier.
A Lucerne comme ailleurs en Suisse centrale, des centaines de paires de chaussures ont été déposées sur deux places de la ville pour symboliser la mobilisation malgré la crise du coronavirus.
A Stans, petits et grands ont déposé leurs bottes et leurs chaussures devant le monument de Winkelried.
A Berne, quelques personnes ont notamment manifesté symboliquement devant la Tour de l'horloge en respectant les distances minimales prescrites par le Conseil fédéral.
Actions pour le climat en Suisse alémanique
Slogans et dessins sont apparus dès l'aube dans l'espace public bâlois, clôtures de chantier en tête.
Les clôtures de plusieurs chantiers ont été placardés de slogans et de dessins à Bâle.
De nombreux dessins d'enfants ont également été déposés ou placardés sur les murs.
A Bâle, pancartes et affiches fabriquées personnellement se sont multipliées, particulièrement dans le quartier du Petit-Bâle, sur la rive droite du Rhin.
L'Alliance bâloise pour le climat a appelé la population à inscrire sur les trottoirs la date butoir de 2030 pour la suppression des émissions de CO2 à Bâle.
Les associations de protection du climat appellent à lutter contre la courbe d'émissions de CO2 en analogie à la courbe de la pandémie de coronavirus.
A Bâle, les affiches appelant à aplatir la courbe des émissions de CO2 comme celle du coronavirus se sont multipliées sur les clôtures de chantier.
A Lucerne comme ailleurs en Suisse centrale, des centaines de paires de chaussures ont été déposées sur deux places de la ville pour symboliser la mobilisation malgré la crise du coronavirus.
A Stans, petits et grands ont déposé leurs bottes et leurs chaussures devant le monument de Winkelried.
A Berne, quelques personnes ont notamment manifesté symboliquement devant la Tour de l'horloge en respectant les distances minimales prescrites par le Conseil fédéral.
La journée pour le climat «Challenge for future» a marqué plusieurs villes alémaniques de son empreinte, de Bâle à Lucerne en passant par Zurich. Les militants ont pallié l'interdiction de se rassembler grâce à leurs pancartes, leurs chaussures ou en faisant du bruit.
A Bâle, l'Alliance pour le climat avait appelé la population à fabriquer et coller des affiches soutenant la protection du climat. Elle a été particulièrement entendue dans le quartier du Petit-Bâle, sur la rive droite du Rhin: dessins et slogans y ont fleuri vendredi dès l'aube, accompagnés des affiches officielles du mouvement. De nombreuses clôtures de chantier ont été placardées.
Covid et CO2: deux courbes à aplanir
D'autres actions documentées en ligne étaient proposées aux habitants. Les appels à se passer d'émissions de CO2 à Bâle dès 2030 ont été inscrits dans l'espace public, notamment sur des trottoirs de la ville.
Des morceaux de tissus verts ont été suspendus à des fenêtres. Des personnes se sont, en outre, photographiées devant le logo d'entreprises accusées de participer à la destruction du climat.
«Contre le virus, pour la planète: aplanis la/les courbe(s)!«: telle est la devise de cette journée nationale d'action. Privées de manifestations en raison des restrictions liées au Covid-19, les associations de protection du climat appellent à lutter contre deux courbes: celle du coronavirus et celle des émissions de CO2.
Bruit et cloches juste avant midi
A Bâle comme à Lucerne ou même dans le canton de Nidwald, les clochers ont sonné à midi moins cinq pour symboliser l'urgence de la situation climatique. En Suisse centrale, des centaines de paires de chaussures ont été déposées devant plusieurs lieux symboliques en signe d'une mobilisation respectant les restrictions liées au coronavirus.
A Zurich, l'appel à faire du bruit depuis sa fenêtre juste avant midi a été suivi dans plusieurs quartiers de la ville. Des personnes sont aussi sorties de chez elles pour alimenter le vacarme. D'autres ont chanté des slogans depuis leur balcon, a constaté sur place un journaliste de Keystone-ATS. Des appels à sauver le climat ont aussi été inscrits à la craie sur des places et des trottoirs.
A Berne, quelques personnes ont manifesté symboliquement devant la Tour de l'horloge en respectant les distances minimales prescrites par le Conseil fédéral. Elles ont été contrôlées par la police, selon un photographe de Keystone-ATS.
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