Le dispositif de hotline de l'Hôpital fribourgeois (HFR) mobile pas moins de douze personnes pour assurer une permanence 24 heures sur 24.
Ronald Vonlanthen, directeur médical de l'Hôpital fribourgeois (HFR), a insisté sur la situation dynamique du problème, avec un contexte qui évolue de jour en jour.
Les opérateurs de la hotline de l'Hôpital fribourgeois (HFR), parfois des étudiants, disposent d'un canevas pour répondre aux questions, n'hésitant pas à faire intervenir un médecin en cas douteux.
A l'instar de plusieurs établissements hospitaliers, l'Hôpital fribourgeois (HFR), ici avec le médecin-chef en infectiologie Christian Chuard, a convié la presse pour «matérialiser» le dispositif mis en place et tenter de réduire les inquiétudes.
Hotline fribourgeoise très utilisée
Le dispositif de hotline de l'Hôpital fribourgeois (HFR) mobile pas moins de douze personnes pour assurer une permanence 24 heures sur 24.
Ronald Vonlanthen, directeur médical de l'Hôpital fribourgeois (HFR), a insisté sur la situation dynamique du problème, avec un contexte qui évolue de jour en jour.
Les opérateurs de la hotline de l'Hôpital fribourgeois (HFR), parfois des étudiants, disposent d'un canevas pour répondre aux questions, n'hésitant pas à faire intervenir un médecin en cas douteux.
A l'instar de plusieurs établissements hospitaliers, l'Hôpital fribourgeois (HFR), ici avec le médecin-chef en infectiologie Christian Chuard, a convié la presse pour «matérialiser» le dispositif mis en place et tenter de réduire les inquiétudes.
La «hotline» coronavirus mise en place par l'Hôpital fribourgeois (HFR) recueille jusqu'à plus de 300 appels par jour. L'instrument permet d'informer et de rassurer, tout en contribuant à réduire le nombre de personnes se présentant aux urgences.
L'HFR a convié la presse mardi pour visiter la salle de conduite des opérations et le local dédié à la hotline en lien avec l'épidémie de coronavirus. Les appels sont constants, avec des variations d'un jour sur l'autre cependant. Ils ont culminé à 350 le 2 mars au retour des vacances scolaires, avant de retomber, puis de remonter à 325 lundi, avec les nouvelles directives du Conseil fédéral.
Plus grave qu'en 2009
La situation est «beaucoup plus grave» qu'avec l'épidémie de grippe porcine H1N1 en 2009, a relevé le médecin-chef en infectiologie de l'HFR Christian Chuard. Face à la croissance des cas positifs, le canton de Fribourg en compte désormais douze, ce dernier estime qu'il est difficile d'établir des projections au-delà d'une semaine ou deux.
Le dispositif de la hotline, en place depuis le 27 février et qui nécessite douze personnes par jour, posera problème sur la durée (six à huit semaines), a constaté Ronald Vonlanthen, directeur médical de l'HFR. C'est pourquoi il y a une discussion avec le canton pour la suite, sachant que le problème devrait probablement s'étaler sur trois ou quatre mois.
Pour l'heure, les difficultés se posent davantage en termes de personnel que de lits, le nombre de ces derniers pouvant être accrus en déprogrammant des actes non prioritaires. «Il importe de s'adapter à une situation dynamique», a précisé Ronald Vonlanthen. Pour l'heure, l'HFR est en mesure de poursuivre l'ensemble de ses prestations.
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