Mode & Beauté 10 minutes de jardinage par semaine prolongerait votre espérance de vie !

CoverMedia

20.3.2019 - 17:41

When: 03 Jul 2010
When: 03 Jul 2010
Source: Covermedia

Passer ne serait-ce que 10 minutes par semaine à s’occuper de son jardin aurait un impact sur la santé. D’après une nouvelle étude publiée dans Sports Medicine, cette activité allongerait votre espérance de vie.

Et si vous vous mettiez au jardinage pour vivre plus longtemps ? Une nouvelle étude publiée dans le British Journal of Sports Medicine démontre que même les tâches les moins physiques, comme le jardinage ou la marche, réduisent les problèmes de cœur, de cancer et d’autres morts prématurées.

Les chercheurs de la Shandong University en Chine, de la University of Texas Medical Branch de Galveston et de la Minnesota University de Minneapolis se sont penchés sur les données d’activités physiques collectées entre 1997 et 2008 sur plus de 88.000 Américains entre 40 et 85 ans. Ils ont comparé cela aux registres des décès jusqu’à la fin de l’année 2011 et ont découvert que ceux qui avaient une activité physique modérée de 10 à 59 minutes par semaine voyaient leur risque d’une mort prématurée réduit de 18%.

Néanmoins, ceux qui peuvent être plus actifs le devraient, car le risque de mort prématurée diminue encore plus si on augmente son activité physique. De façon concrète, les risques de problèmes cardiovasculaires comme les AVC et les crises cardiaques diminuent de 12% chez ceux qui font moins d’une heure d’activité, et de 37% pour ceux qui s’adonnent à une activité entre 2 à 6 heures.

Le jardinage est par ailleurs une activité recommandée par la NHS, le service national de santé britannique, qui a non seulement des effets bénéfiques pour le physique, mais qui a aussi des vertus thérapeutiques. « En plus de prévenir les maladies, l’horticulture et la thérapie par l’horticulture sont utilisées pour traiter de nombreuses maladies, comme la dépression, les troubles de stress post-traumatiques et d’autres problèmes comportementaux », a déclaré le Dr. Matilda van des Bosch de la Swedish University of Agricultural Sciences, lors d’une lecture en 2014 à la U.K. Royal Horticulture Society.

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