Kendall Jenner est une adepte déclarée du «no bra»... mais sa routine de gym est intense.
Faire de l'exercice pour se muscler, comme presser une balle de tennis devant soi, fort entre ses mains, c'est tout bénéfice.
Quand on sort sans soutien-gorge, on pense (encore davantage) à se tenir bien droite.
Une robe one-shoulder est parfois plus seyante sans soutien-gorge qu'une robe à décolleté plongeant, pensez-y avant de vous lancer.
Les marques ont compris notre problème et plusieurs proposent des t-shirts avec un soutien-gorge intégré. Confort et tranquillité absolus!
La robe bustier a aussi son truc, et depuis sa création: un soutien-gorge intégré!
Le truc des trucs? Alterner le no bra avec un soutien-gorge ou un t-shirt avec bonnets intégrés. Ou porter un soutien-gorge de temps à autre (et toujours quand on fait du sport)
C'est injuste, mais c'est comme ça, une poitrine menue a moins besoin d'être soutenue...
Pour oser la slip-dress, pensez à utiliser des remonte sein (ou lift up) adhésifs transparents, disponibles sur Internet. Et connaissez-vous le mini soutien-gorge adhésif en silicone, qui ne se voit ni de dos ni sur les côtés?
On peut aussi tabler sur la brassière crop... qui n'est pas un soutien-gorge mais peut jouer un double rôle.
10 astuces pour adopter la tendance «no bra» sans faux pas
Kendall Jenner est une adepte déclarée du «no bra»... mais sa routine de gym est intense.
Faire de l'exercice pour se muscler, comme presser une balle de tennis devant soi, fort entre ses mains, c'est tout bénéfice.
Quand on sort sans soutien-gorge, on pense (encore davantage) à se tenir bien droite.
Une robe one-shoulder est parfois plus seyante sans soutien-gorge qu'une robe à décolleté plongeant, pensez-y avant de vous lancer.
Les marques ont compris notre problème et plusieurs proposent des t-shirts avec un soutien-gorge intégré. Confort et tranquillité absolus!
La robe bustier a aussi son truc, et depuis sa création: un soutien-gorge intégré!
Le truc des trucs? Alterner le no bra avec un soutien-gorge ou un t-shirt avec bonnets intégrés. Ou porter un soutien-gorge de temps à autre (et toujours quand on fait du sport)
C'est injuste, mais c'est comme ça, une poitrine menue a moins besoin d'être soutenue...
Pour oser la slip-dress, pensez à utiliser des remonte sein (ou lift up) adhésifs transparents, disponibles sur Internet. Et connaissez-vous le mini soutien-gorge adhésif en silicone, qui ne se voit ni de dos ni sur les côtés?
On peut aussi tabler sur la brassière crop... qui n'est pas un soutien-gorge mais peut jouer un double rôle.
Le mouvement «no bra», c’est-à-dire sans soutien-gorge, gagne du terrain, à la faveur conjuguée des mouvements féministes et du confinement, qui a redéfini la façon de s’habiller. Mais est-ce une bonne idée d’abandonner son soutien-gorge?
Le confinement, avec le bouleversement de nos habitudes, aurait-il porté un coup de grâce au soutien-gorge? Dans les années 1970, les militantes du Women’s Lib brûlaient le leur en direct devant les caméras, protestant contre la dictature exercée sur le corps des femmes. Le soutien-gorge, qui avait libéré les femmes du corset, était désormais perçu comme entravant la liberté des femmes. Si cette idée n’a pas totalement disparu, elle n’est plus prioritaire parmi les revendications féministes. En revanche, elle se développe sur les réseaux sociaux à l’occasion des changements brutaux que le confinement a imposés à nos vies. Pour de nombreuses femmes qui ont télé-travaillé, il n’a plus été utile de s’habiller pour sortir. Les vêtements confortables, voire des tenues de sport, ont remplacé les vêtements du quotidien, et nombreuses sont celles qui ont pris l’habitude de se passer de soutien-gorge. Et s’en sont senties tellement bien qu’elles se sont fait l’apôtre de cette pratique comme d’une nouvelle tendance. Selon un sondage Ifop de juillet 2020, 18 % des jeunes filles de moins de 25 ans étaient convaincues par le «no bra».
Pour autant, ce «confort» mis en avant, cette «sensation de liberté», cette «libération» sont-ils une bonne idée? Et sont-ils à la portée de toutes les poitrines?
Le terme français «soutien-gorge» comporte le mot «soutien» (ce que ne fait pas «bra», en anglais, qui vient du mot brassière, qui a désigné aussi en français les premiers soutiens-gorge). Il est donc ancré dans nos têtes qu’il soutient des seins qui, sans lui, s’affaisseraient. En effet, le sein n’est pas un muscle, mais une glande... et de la graisse. Dit comme cela, ce n’est pas glamour, mais c’est vrai. Toutefois, les grands dorsaux et les trapèzes inférieurs se musclent, et peuvent servir à prévenir un affaissement, car si ce sont eux qui souffrent en premier en cas de mauvaises positions, ils ont aussi le pouvoir de maintenir la poitrine en place avec des exercices adaptés.
Cependant, le poids des seins compte aussi dans l’équation: «Des poitrines très lourdes et celles avec des prothèses mammaires amènent à se voûter, les épaules en avant, ce qui tirera davantage et entraînera des tensions», explique la professeure de yoga et médecin Bernadette de Gasquet.
De toute manière, adepte ou non du rejet du soutien-gorge, même ponctuellement, nous avons toutes intérêt à muscler notre dos et à adopter de bonnes postures.