La Belgique, portée par une génération hors du commun, doit profiter de l'alignement des astres pour assouvir son fantasme et conquérir le football mondial. Le groupe G de la Coupe du monde 2018 devrait être une promenade de santé pour les Diables rouges.
Après la désillusion de l'Euro 2016 et une défaite en quart de finale face au Pays de Galles, la Belgique tentera de se racheter. Avec Hazard, Mertens ou encore Lukaku, elle semble bien avoir le talent offensif pour le faire.
Le sélectionneur anglais Gareth Southgate pourra compter sur sa triplette des Spurs Kane-Alli-Dier afin de redonner un élan aux Three Lions. De là à s'approcher du sacre mondial, comme en 1966 ? Pas certain.
La Tunisie pourrait bien être la bonne surprise de cette Coupe du monde. Après s'être extirpés des toujours très compliquées qualifications africaines, les Aigles de Carthage ont obtenu d'excellents résultats en amical (2-2 contre le Portugal et la Turquie, défaite 1-0 contre l'Espagne) et envisagent de poser des problèmes aux deux favoris de ce groupe.
Le Panama fait sans aucun doute partie des petits poucets de cet opus 2018. Qualifiés à la faveur d'un but fantôme face à Trinité-et-Tobago, les Panaméens ont montré de réelles faiblesses ces derniers temps, notamment face à la Suisse (défaite 6-0) en mars dernier.
Après la désillusion de l'Euro 2016 et une défaite en quart de finale face au Pays de Galles, la Belgique tentera de se racheter. Avec Hazard, Mertens ou encore Lukaku, elle semble bien avoir le talent offensif pour le faire.
Le sélectionneur anglais Gareth Southgate pourra compter sur sa triplette des Spurs Kane-Alli-Dier afin de redonner un élan aux Three Lions. De là à s'approcher du sacre mondial, comme en 1966 ? Pas certain.
La Tunisie pourrait bien être la bonne surprise de cette Coupe du monde. Après s'être extirpés des toujours très compliquées qualifications africaines, les Aigles de Carthage ont obtenu d'excellents résultats en amical (2-2 contre le Portugal et la Turquie, défaite 1-0 contre l'Espagne) et envisagent de poser des problèmes aux deux favoris de ce groupe.
Le Panama fait sans aucun doute partie des petits poucets de cet opus 2018. Qualifiés à la faveur d'un but fantôme face à Trinité-et-Tobago, les Panaméens ont montré de réelles faiblesses ces derniers temps, notamment face à la Suisse (défaite 6-0) en mars dernier.
Bien sûr, il y a aussi l'Angleterre dans la poule, mais les Belges semblent mieux armés que des Three Lions dont la réputation repose quand même beaucoup sur un titre conquis il y a 52 ans, sur l'étiquette (pas tout à fait correcte d'ailleurs) d'inventeurs de ce jeu et sur un championnat très relevé mais surtout car il accueille des talents de la planète entière.
En résumé, la Belgique apparaît comme la favorite de ce groupe, et ce même si elle se présentera en Russie avec une défense suscitant quelques craintes en raison, surtout, de plusieurs blessures. Après avoir atteint les quarts de finale en 2014 (la promesse), puis à l'Euro 2016 (une petite déception), les Diables rouges d'Eden Hazard, Kevin de Bruyne et Romelu Lukaku ont pour mission de forcer la porte du dernier carré.
Gareth Southgate, qui a procédé à des changements importants depuis sa nomination, se gardera bien, au contraire, de fixer un objectif trop élevé à une Angleterre qui désespère de revoir un jour ses Lions au sommet. Mais le talent est là, symbolisé par la triplette de Tottenham Alli-Dier-Kane.
On voit mal comment le Panama pourrait se mêler à la lutte pour une des deux premières places, et ce n'est pas l'impression laissée contre la Suisse en mars (6-0) par les néophytes en Coupe du monde qui édulcorera cette intuition.
Le propos doit être plus nuancé concernant la Tunisie, qui a été convaincante lors des toujours très compliqués éliminatoires africains (elle a terminé en tête du groupe A). Les Aigles de Carthage aiment le ballon tout en imposant à l'adversaire de lourds impacts dans les duels. Il serait très présomptueux de prendre les Tunisiens de haut.
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