Une boxeuse nigériane a été testée positive, jeudi. Suspendue avec effet immédiat, elle risque jusqu'à deux ans de suspension.
La boxeuse nigériane Cynthia Ogunsemilore est le deuxième cas de dopage présumé des Jeux olympiques de Paris. Un test effectué jeudi a révélé un résultat positif au furosémide, un diurétique interdit, a annoncé l'Agence internationale de contrôle (ITA).
Ogunsemilore a été suspendue en attendant la fin de la procédure. Si elle est reconnue coupable, la Nigériane risque une suspension pouvant aller jusqu'à deux ans.
Premier cas en judo
Le premier cas de dopage à ces JO avait été celui du judoka irakien Sajjad Sehen, dont la présence de stéroïdes anabolisants avait été détectée, selon les informations de l'ITA.