Dans un podcast avec le comédien Elliot Loney, Nick Kyrgios a révélé qu'il sortait d'une soirée arrosée lorsqu'il avait battu en deux sets Rafael Nadal à Cincinnati en 2017.
Avec l'arrêt du circuit ATP - coronavirus oblige -, les tennismen s'occupent comme ils le peuvent. Nick Kyrgios est, lui, notamment très actif sur les réseaux sociaux et ne manque pas une occasion pour se faire remarquer.
Après le live surréaliste avec Andy Murray ou les révélations sur sa vie sexuelle en direct, l'Australien s'est une nouvelle fois laissé aller aux anecdotes croustillantes lors d'un podcast avec son ami Elliot Loney, comédien et célèbre imitateur de Rafael Nadal.
L'enfant terrible du tennis est ainsi revenu sur le jour où il avait justement affronté l'Espagnol en demi-finale du Masters 1000 de Cincinnati en 2017, alors qu'il sortait d'une soirée très arrosée la veille. Toutefois, les vapeurs d'alcool n'avaient pas empêché le joueur de 25 ans de donner une leçon à l'actuel numéro deux mondial.
Elliot Loney: "Je n’en croyais pas mes yeux"
Il avait, en effet, écarté le Majorquin en deux sets (6-2 7-5). Une victoire sans appel qui avait même surpris son compatriote. "Je me souviens avoir allumé la télévision. Et tu étais là, à batailler contre Rafael Nadal. Je n’en croyais pas mes yeux", s'est ainsi rappelé Loney.
"Je n’arrêtais pas de me le répéter: 'Je peux pas croire qu’il (ndlr: Kyrgios) est en train de faire ça.' Je ne sais pas comment tu fais pour jouer à ce niveau après avoir fait ce genre de choses en soirée", a ajouté l'humoriste de 26 ans, sous les rires de Kyrgios.
Même si ce dernier n'était pas au sommet de sa forme, il avait adopté un tactique très simple pour venir à bout de Nadal. "Avant d'entrer sur le court, je sens que je ne peux pas vraiment bouger, sans doute parce que j'avais encore la gueule de bois", s'est souvenu le natif de Canberra. "Je suis clair avec mon plan, je sais que je vais devoir servir très fort et jouer agressif."
Décidément, Nick Kyrgios n'en finit pas de surprendre avec ses confidences plus loufoques les unes des autres...