Publireportage«J’ai grandi sur les pistes de Bruson»
En coopération avec Valais/Wallis Promotion
21.11.2022
Avec un père dameur et une maman qui travaillait dans un restaurant sur les pistes, le skieur valaisan Justin Murisier, 30 ans, a tout naturellement fréquenté les pistes de son village natal du Val de Bagnes, Bruson, dès son plus jeune âge. Retour sur ses débuts.
En coopération avec Valais/Wallis Promotion
21.11.2022, 00:00
30.11.2022, 15:06
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Justin Murisier, 30 ans, une des figures les plus sympathiques de l’équipe suisse de ski, évoque ses premières expériences sur les lattes à Bruson, dans le Val de Bagnes: «Ma grand-mère tenait un restaurant sur les pistes, où ma mère travaillait. Mon père quant à lui damait les pistes de la station. En résumé, j’ai pratiquement grandi sur le domaine skiable de Bruson, vu qu’on passait le plus clair de notre temps là-haut. Tout naturellement, ma sœur et moi-même avons fréquenté le ski-club. C’était normal pour nous.»
Le témoignage de Justin illustre combien cette discipline sportive, et plus généralement les sports d’hiver, occupent une place prépondérante dans le Val de Bagnes: «Comme beaucoup de jeunes de la région, mon père était membre du ski-club. Le succès de mon cousin, William Besse, m’a certainement aussi influencé dans ma carrière sportive», précise le jeune homme. Pour rappel, William Besse, 54 ans, également originaire du Val de Bagnes, a remporté quatre courses de Coupe du monde dans les années 1990, dont la prestigieuse descente du Lauberhorn.
«J’ai grandi sur les pistes de Bruson»
Justin Murisier à Versegères dans le Val de Bagnes
Photo: Sven Thomann
Photo: Sven Thomann
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«J’ai grandi sur les pistes de Bruson»
Justin Murisier à Versegères dans le Val de Bagnes
Photo: Sven Thomann
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Une prédilection pour la vitesse
Comme son cousin, Justin Murisier choisit les disciplines de vitesse. L’an dernier, il a davantage participé à des descentes, alors qu’auparavant il privilégiait les slaloms géants. En fin de saison 2021/2022 le Bagnard a même été consacré champion suisse de Super-G. Puis la poisse a marqué le début de la saison suivante: le jeune skieur s’est retrouvé sur la table d’opération suite à des douleurs dorsales survenues lors de ses entraînements au Chili. Après avoir manqué les courses de Sölden, il devrait toutefois être présent sur les pistes en novembre en Amérique du Nord.
En mars 2023, il aura l’occasion de défendre son titre de Champion suisse sur ses terres, car les compétitions se dérouleront sur le domaine de Verbier. Une médaille lors de cet événement de fin de saison ne constitue pas forcément un objectif pour le skieur de Bruson. Néanmoins, ce sera l’occasion pour lui de se retrouver parmi les siens et de renouer avec les personnes qui le soutiennent depuis toujours. Très enthousiaste, le sportif déclare : «C’est vraiment génial que ma région puisse accueillir une telle manifestation. Mes proches seront présents ainsi que tous ceux qui ne peuvent pas faire le déplacement lorsque je suis en Coupe du monde. J’espère de tout cœur pouvoir profiter au maximum de ces championnats à domicile.»
«Verbier sort du lot»
Sillonnant le globe pour prendre part à des compétitions, Justin Murisier n’oublie pas d’où il vient: Verbier et Bruson, sa «maison» comme le skieur se plaît à le dire. «En hiver, la station valaisanne sort véritablement du lot. Unique au monde, le domaine skiable propose aussi bien des champs de bosses que des pistes bien préparées, ainsi que des espaces pour le freeride… Dans un rayon relativement restreint, il n’y a que l’embarras du choix. En plus, les après-ski sont connus loin à la ronde et l’ambiance en hiver, le soir venu, est véritablement festive (rires). Vu mon emploi du temps, je ne peux malheureusement pas y prendre part», regrette le jeune champion.
Mais alors, quand est-ce que Justin Murisier s’adonne au ski sans subir la pression de la performance et des résultats? «Disons que je privilégie particulièrement les fins de saison, lorsque les pistes de Verbier sont moins encombrées. Le matin, la qualité du manteau neigeux est excellente et à midi, je peux profiter d’un repas sur une terrasse en plein soleil, sans être frigorifié», explique Justin. Le champion ajoute enfin que l’un des atouts de Verbier est indéniablement son panorama, avec le spectacle des 4000 mètres qui se profilent majestueusement à l’horizon.
S’il est vrai que le paysage de carte postale contribue au rayonnement du Valais en Suisse et hors de nos frontières, le skieur de Bruson considère que le tempérament des Valaisans joue également un rôle dans l’attractivité de la région. «Au premier abord, on peut paraître un peu rustres, ce qui nous vaut parfois des moqueries de la part des habitants des autres cantons. Au final cependant, les touristes découvrent notre facette chaleureuse et accueillante, si bien qu’ils reviennent nous rendre visite saison après saison», conclut Justin.
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