Publireportage Quelles innovations prévoit BMW?

En coopération avec BMW

17.3.2022

Paul de Courtois, président et CEO de BMW (Suisse) SA évoque l’avenir électrique ambitieux de son entreprise, l’image de marque de BMW et la prochaine émission en streaming #VisionaryDreams, à travers laquelle le constructeur automobile entend présenter ses nouveautés.

En coopération avec BMW

17.3.2022

Monsieur de Courtois, l’industrie automobile est en pleine mutation. À quoi ressemble la feuille de route du groupe BMW?

Paul de Courtois: Notre ambition est claire: nous voulons devenir le constructeur automobile premium le plus durable dans le domaine de la mobilité individuelle. Pour cela, nous avons établi une feuille de route précise et transparente. Elle prévoit une augmentation des ventes de modèles tout électriques de plus de 50% par an d’ici 2025. Au total, les véhicules tout électriques devront atteindre dix millions d’unités vendues au cours des dix prochaines années et représenter la moitié au moins du chiffre d’affaires mondial d’ici 2030. S’agissant de notre marque MINI, nous avons même l’intention de convertir l’ensemble de la gamme au tout électrique à l’aube de la prochaine décennie. En parallèle, nous prévoyons de réduire les émissions de CO2 tout au long du cycle de vie d’un véhicule (de la production au recyclage) de 40% par rapport à 2019 à l’horizon 2030.

Quels seront les prochains nouveaux modèles électriques?

Après la MINI Cooper SE et la BMW iX3 sorties en 2019 et 2020, nous avons sorti récemment sur le marché deux autres modèles importants avec la BMW iX et la BMW i4. Et, avant la fin de l’année, nous poursuivrons sur notre lancée avec les versions tout électriques de la X1 et de la Série 7. Elles seront suivies un peu plus tard par les versions tout électriques de la Série 5 et de la MINI Countryman. De manière générale, nous aurons dès l’an prochain au moins un modèle tout électrique sur 90% de nos segments de marché actuels. Les modèles évoqués sont tous extrêmement importants pour le marché suisse. La X1, notamment, fait partie des modèles BMW les plus populaires en Suisse. Mais la BMW Série 5 et la MINI Countryman comptent également parmi les modèles à fort volume.

Le groupe BMW, c’est aussi BMW Motorrad. Où en est le département motos en matière de mobilité électrique?

Après avoir dévoilé le C Evolution, le premier scooter électrique de BMW Motorrad, dès 2013, nous poursuivons aujourd’hui notre stratégie en matière de mobilité électrique pour les agglomérations urbaines, notamment avec la BMW CE 04 tout juste sortie et qui dispose, en plus d’une transmission électrique, d’un design d’avant-garde et de solutions de connectivité innovantes. De manière générale, on peut dire que les nouveaux modèles de BMW Motorrad seront tous 100% électriques sur le segment de la mobilité urbaine.

BMW est sur tous les fronts pour préparer la transition vers un avenir plus durable. Pouvez-vous nous en dire plus?

L’un des engagements les plus importants est l’objectif de l’accord de Paris sur le climat visant à limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius. Dans cette optique, nous sommes le premier constructeur automobile allemand à rejoindre l’initiative «Business Ambition for 1.5 °C». Dans le cadre de l’initiative «Race to Zero» des Nations Unies, nous visons la neutralité carbone sur toute notre chaîne de valeur d’ici 2050. De plus, nous nous sommes donné pour objectif de recycler le plus longtemps possible les matières premières. Nous souscrivons donc pleinement au principe de circularité.

Qu’est-ce que BMW entend exactement par circularité?

Il s’agit d’un nouvel élément clé de la stratégie poursuivie par le groupe BMW en matière de développement des produits et de durabilité. Dans la mesure où les ressources de la planète se raréfient, nous entendons faire un usage responsable des matières premières tout en réduisant les émissions de CO2 aux stades de la production et de la transformation. Nous avons ainsi érigé en leitmotiv le principe de «Circular Economy», axé sur quatre concepts clés: RE:THINK, RE:DUCE, RE:USE, RE:CYCLE. Avec notre objectif «Secondary First», nous souhaitons porter la part des matériaux secondaires de 30% aujourd’hui à 50% demain. La BMW i Vision Circular illustre parfaitement ce potentiel: il s’agit d’un modèle résolument axé sur le cycle de vie des matériaux et fabriqué presque à 100% à partir de matières secondaires – un aperçu de ce que pourrait être une mobilité individuelle, durable et luxueuse dans un environnement urbain à l’horizon 2040.

Nous découvrirons bientôt tout ce que vous avez dans les tuyaux lors de la grande émission en streaming #VisionaryDreams le 24 mars prochain. Pourriez-vous nous en donner un avant-goût?

Bien sûr. Après le succès de notre première édition qui avait attiré plus de 20 000 spectateurs il y a un an, nous souhaitons aller encore plus loin cette année avec #VisionaryDreams. Nous allons ainsi établir un nouveau lien entre communication numérique et expérience physique et impliquer davantage nos partenaires commerciaux. Le show d’environ une heure et demie diffusé en streaming le 24 mars marquera également le coup d’envoi d’autres événements. Dès le week-end suivant, les expositions de printemps auront lieu chez nos concessionnaires à travers la Suisse et, pour finir, un show automobile se tiendra pendant toute une semaine au BMW Group Brand Experience Center, chez nous, à Dielsdorf.

#VisionaryDreams est un show dans le meilleur sens du terme. À quoi faut-il s’attendre?

Nous souhaitons à la fois informer et divertir. Imaginez quelque chose dans le style des grands shows télévisés du samedi soir, avec des reportages captivants, des discussions enrichissantes, du divertissement et des invités de marque. Le tout sera diffusé en trois langues pour couvrir encore mieux les régions linguistiques de la Suisse. Une chose est sûre: les fans de BMW, MINI et BMW Motorrad ne seront pas déçus!

À propos de divertissement, quels sont les invités et les animations auxquels vous avez pensé cette année?

Nous avons prévu beaucoup de choses. Les deux chanteurs Noah Veraguth (Pegasus) et Luca Hänni s’affronteront au volant d’une BMW iX à l’occasion d’une chasse au trésor à travers la Suisse. Il y aura cette année encore un challenge MINI. La communauté MINI sera invitée à assembler une nouvelle édition spéciale de la MINI dans la région de Lucerne. Le freerider Jérémie Heinz fera la démonstration de ses talents. Et nos spectateurs pourront participer à un tirage au sort pour gagner de fantastiques prix. Quant aux fans de musique, ils auront le plaisir d’assister à une première mondiale. Beaucoup d’autres choses sont prévues, mais je ne peux pas tout dire!

Venons-en au show automobile. Qu’y aura-t-il au programme?

Nous sommes en train de construire un gigantesque stand de salon BMW, MINI et BMW Motorrad sur notre site de Dielsdorf. Contrairement à un salon classique, les visiteurs de notre show automobile ouvert au public pourront tester les tout derniers modèles de voitures et de motos directement sur place. Ils trouveront différents espaces thématiques, comme Urban, Outdoor, 50 ans BMW M, Heritage ou MINI Big Love et pourront admirer les concepts futuristes BMW i Vision Circular et MINI Vision Urbanaut.

La mobilité de demain devra relever de nombreux défis, parmi lesquels les émissions de CO2. Le secteur automobile suisse a raté cet objectif en 2020, ce qui lui a valu des amendes de plusieurs centaines de millions. Comment abordez-vous ce problème?

Nous n’étions pas parmi les mauvais élèves! Le groupe BMW a fait le nécessaire et pour la sixième fois consécutive depuis 2016, nous avons atteint les objectifs stricts de la Confédération en matière de CO2. Nous sommes le seul constructeur premium à forts volumes à ne pas avoir dû payer ces amendes en Suisse. Nous en sommes d’autant plus fiers que nous avons en Suisse le taux de modèles M le plus élevé au monde, ce qui nous donne un défi élevé afin d’atteindre les objectifs carbone. Je n’ai aucun doute quant au fait que nous réussirons à tenir les prochains objectifs en la matière. Nos nouveaux modèles nous y aideront.

Vous avez évoqué le cas des BMW M. Cette gamme de modèles est synonyme de puissance, de performances, de signature sonore et de sport automobile. Elle est particulièrement populaire en Suisse. Est-elle compatible avec un avenir placé sous le signe de la mobilité électrique?

BMW M s’inscrit dans une longue tradition. Mais aujourd’hui, nous arrivons à un tournant. Nous allons également faire passer ces modèles à l’électrique par étapes d’ici 2030. La BMW i4 M50 est déjà tout électrique et ses performances prouvent à quel point la mobilité électrique est parfaitement compatible avec le credo de la gamme M!

#VisionaryDreams Streaming-Show le 24 mars

A notre événement exclusif en streaming vous pourrez suivre des discussions passionnantes sur la mobilité électrique de demain avec des experts agréés. Vous participerez en exclusivité à la présentation d’un nouveau modèle BMW et aurez même la chance de pouvoir l’acheter directement en ligne. Et vous suivrez en direct le lancement d’une nouvelle offre avec laquelle vous pourrez réaliser votre rêve d’une BMW ou d’une MINI en toute simplicité. L’événement ne sera quant à lui pas en reste: une soirée inoubliable vous attend avec Luca Hänni et Noah Veraguth de Pegasus, qui se défieront tout d’abord sur le Tour de Suisse BMW iX et qui chanteront ensemble un medley en première mondiale. Le skieur de l’extrême et freerider Jérémie Heitz ainsi que le graffeur Boogie offriront également le meilleur divertissement. En direct, interactif et visionnaire: découvrez avec nous ce qu’est le plaisir de conduire le 24 mars 2022 à partir de 19h00!

Le développement fulgurant de l’électromobilité soulève une autre difficulté: les infrastructures de recharge. Pour beaucoup d’utilisateurs, le compte n’y est pas encore – particulièrement pour les locataires. Comment jugez-vous la situation en Suisse?

C’est un enjeu crucial. C’est vrai, les infrastructures de recharge ne se développent pas aussi vite que les voitures électriques. Les acteurs économiques et politiques sont appelés à agir. Certes, la révision proposée de la loi sur le CO2 prévoit de subventionner l’installation des bornes de recharge dans les immeubles collectifs, les entreprises et les lieux publics, mais elles seront exclusivement financées par le fonds commun des amendes payées par les importateurs. Seulement, les importateurs vont être de plus en plus nombreux à atteindre les objectifs de CO2 avec pour conséquence l’assèchement progressif de ces ressources. Cela signifie qu’à terme, il n’y aurait plus de fonds pour soutenir les infrastructures de recharge. Or, il est donc nécessaire de consacrer chaque année un budget minimum fixe à l’installation des bornes.

Comment BMW envisage-t-il la question?

Nous ne restons pas les bras croisés à attendre que les infrastructures s’améliorent toutes seules. Un exemple parmi d’autres: nous avons lancé un programme de soutien en étroite collaboration avec le fabricant ABB, portant sur des stations de recharge publiques dans nos établissements. Au cours des derniers mois, nous avons pu ainsi installer plus de 60 stations de recharge rapide et 300 nouvelles bornes Wallbox. L’aide financière est conditionnée au fait que toutes les stations de recharge rapide et au moins la moitié des Wallbox soient accessibles au public. Nous montrons également le bon exemple sur notre site d’entreprise, avec 80 nouvelles stations de recharge gratuite pour nos collaborateurs. Le site accueillera très bientôt la nouvelle ABB Terra 360, l’une des stations de recharge les plus rapides au monde.

Vous ne semblez pas être à court d’idées. BMW est connu pour être une entreprise innovante. Quels sont vos projets en matière d’innovation?

Nous travaillons entre autres sur la transmission par pile à combustible à hydrogène, dans laquelle nous voyons un fort potentiel, notamment pour les véhicules les plus grands. La batterie à électrolyte solide est une autre technologie captivante et, selon moi, l’une des plus importantes pour aller vers des voitures électriques plus efficaces et plus durables. Ces batteries n’augmentent pas seulement l’autonomie, elles laissent aussi plus de place dans l’habitacle et abaissent le coût de revient – une économie dont nous pouvons faire profiter les clients. Nous pensons que la production en série n’arrivera pas avant la fin de la décennie. Parallèlement, nous améliorons en permanence l’expérience client et nous sommes en train de mettre en place un parcours en ligne intuitif, depuis la configuration jusqu’à la commande, en passant par la phase d’utilisation. Notre but est d’offrir au client la meilleure expérience premium du secteur.

De quel œil voyez-vous le sujet de l’abonnement voiture et quelle attention comptez-vous lui accorder?

Nous observons ce phénomène avec une grande attention. L’abonnement est une solution très intéressante en complément des modèles de financement classiques que sont l’achat et le leasing. Nous disposons déjà, pour BMW comme pour MINI, d’offres d’abonnement pour les véhicules d’occasion récents et une offre correspondante pour les véhicules neufs est à l’étude. Il se pourrait que vous en appreniez plus dans notre émission en streaming du 24 mars!

L’idée de posséder une voiture n’est-elle pas dépassée à l’ère du partage, du streaming et de Netflix & Co.?

Certaines analyses anticipent une forte croissance de l’offre d’abonnements, c’est pourquoi il est très important pour nous d’élargir notre offre. Selon nous, la formule de l’abonnement est avant tout un modèle de financement supplémentaire qui doit nous permettre de répondre aux besoins d’un nouveau public. Mais, jusqu’à nouvel ordre, l’achat et le leasing resteront des options importantes.

La conduite autonome est une autre tendance lourde. Quelle est votre position à ce sujet?

C’est un sujet passionnant, un enjeu majeur pour nous aussi et sur lequel nous travaillons déjà. La BMW iX, par exemple, est le premier modèle de série du groupe BMW à faire appel à des systèmes d’aide à la conduite issus d’une nouvelle plateforme technologique qui représente un développement méthodique des fonctions de conduite autonome. Cette évolution entraîne selon nous trois améliorations majeures. Premièrement, l’agrément de conduite pour l’automobiliste, soulagé de certaines tâches, comme dans les embouteillages, et heureux de gagner du temps. Deuxièmement, la sécurité, grâce à une voiture qui voit tout, rapidement et simultanément. Troisièmement, l’efficacité, grâce à une meilleure utilisation des infrastructures routières. Pour nous, l’avènement de la conduite autonome n’est qu’une question de temps. Et quand le temps viendra, nous serons prêts.

BMW est l’une des marques automobiles les plus populaires en Suisse, vous arrivez régulièrement en tête du classement des ventes. Comment expliquez-vous cette popularité?

Cela tient à plusieurs facteurs. Il y a bien sûr notre gamme de produits très diversifiée, mais aussi notre réseau de concessionnaires très dense qui offre un excellent service à nos clients. Quand je suis arrivé en Suisse, j’ai été agréablement surpris de constater que chaque BMW ou MINI neuve était vendue automatiquement avec un pack de service de 10 ans. Évidemment, c’est une valeur ajoutée incroyable, avec un gage de confort et de sécurité pour les clients – autrement dit zéro problème en cas de réparation.

Vous avez déjà occupé plusieurs postes de directeur général sur différents marchés, notamment en Europe de l’Est et en Asie du Sud-Est. En quoi la Suisse se distingue-t-elle des autres marchés ou des autres pays s’agissant des clients BMW?

Il y a différents aspects à considérer. D’abord, le marché automobile suisse évolue de façon très stable à un niveau élevé depuis des années, si l’on excepte la période de pandémie actuelle. Cela se traduit aussi par la densité de notre réseau de concessionnaires, très présent partout en Suisse. Autre différence importante par rapport à d’autres pays: le pourcentage élevé de véhicules haut de gamme. Avec plus de 30%, il est presque sans équivalent ailleurs dans le monde. Enfin, je constate que les clients suisses achètent généralement des modèles BMW et MINI ayant un niveau de finition supérieur par rapport aux autres pays, ce qui n’est pas sans nous réjouir.

BMW n’est pas seulement réputé comme constructeur automobile, mais aussi comme employeur. Quel est votre secret?

C’est vrai, nous avons un taux de rotation de personnel très faible par rapport à d’autres entreprises. Il s’agit selon moi d’un indicateur très positif, car, compte tenu du faible taux de chômage en Suisse, les employés ont l’embarras du choix s’ils veulent changer d’emploi. Je crois que notre secret réside dans notre volonté d’établir une relation de confiance avec nos employés et ce n’est pas qu’un simple discours. Depuis que j’ai été nommé, c’est ma priorité absolue. La collaboration avec notre siège à Munich est un autre élément qui parle en notre faveur, dans la mesure où elle offre aux membres du personnel la possibilité de se développer et d’innover. Enfin, et ce n’est pas l’aspect le moins important, le travail dans notre entreprise est absolument porteur de sens compte tenu de nos efforts au service d’une mobilité durable pour l’avenir.

Comment est le chef Paul de Courtois?

Une entreprise comme la nôtre doit avoir le courage de changer. Au-delà de la confiance réciproque, un facteur essentiel dont nous avons déjà parlé, le meilleur moyen pour y parvenir est d’agir avec un minimum d’assurance et d’humilité. C’est en tout cas ce que je souhaite incarner à travers mon management, tout en incitant mon équipe à être ouverte aux changements. Les années qui viennent nous réservent des changements profonds et nous devons tous être prêts à en être les acteurs.

Quelle voiture conduisez-vous dans le privé?

Je roule depuis quelques années en hybride rechargeable avec beaucoup de plaisir. J’ai actuellement une X5. Avec trois enfants, j’ai besoin de place. Cette voiture me comble jour après jour! Pour moi, cet assemblage idéal entre motorisation électrique et moteur à combustion est un gage de confort absolu.

La transition vers la mobilité électrique et la recharge vous a-t-elle posé des problèmes?

Je m’y suis fait très rapidement, tout en profitant du facteur chance: dans notre maison, le propriétaire avait dès le départ fait installer des bornes de recharge, très faciles à utiliser. Et puis, je peux également recharger au bureau. Le passage à l’électrique ne m’a donc posé aucun problème.

Évoquons une dernière fois l’avenir avant de conclure: à quoi ressemble votre #VisionaryDream personnel?

Mon #VisionaryDream à moi est quelque chose dont nous avons déjà parlé: la conduite autonome. La ville de Singapour, où j’ai habité quelque temps, en est une parfaite illustration. Singapour a une faible superficie et un trafic très dense. La conduite autonome aurait pour avantage de réduire la surface consacrée à la circulation au profit des espaces verts ou de l’habitat. Idem pour les villes suisses. D’autre part, j’aime bien partir en vacances avec ma famille dans le Valais. En lieu et place d'un trajet de plusieurs heures en voiture, avec la conduite autonome, je pourrais profiter de ma famille dès la première minute. Bref, il y a encore énormément d’idées à exploiter dans notre secteur!

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