Publireportage Storace présente son premier album solo – à 70 ans!

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13.12.2021

Le rocker déchaîné sur la scène est, en privé, un homme qui allie charme et courtoisie. Marc Storace, le chanteur légendaire du groupe Krokus, dévoile son premier album solo lors du concert live en streaming de la Baloise Session @home. Il explique dans cet entretien les raisons d’une si longue attente.

Marc Storace, vous avez célébré votre 70e anniversaire il y a quelques semaines. Nos meilleurs vœux ! Comment avez-vous fêté cette journée mémorable ?

Ma femme a mis les petits plats dans les grands et invité toute la famille. J’ai reçu des félicitations du monde entier !

D’où sont venus les souhaits les plus prestigieux ?

Du pape ! Non, plus sérieusement, Marie-Louise Coleiro Preca, l’ancienne présidente de Malte, m’a appelé. C’était un grand honneur pour moi.

Vous êtes né à Malte où vous avez grandi et commencé à vous produire dans les années 1960. Quels souvenirs gardez-vous de cette période ?

J’ai commencé à chanter à 14 ans alors que je fréquentais encore l’école. J’ai appris des standards et je restais sur scène trois ou quatre heures par nuit. A Malte, l’été dure longtemps et la vie se passe sur la plage où la musique est toujours de la partie. Ces premiers succès m’ont donné l’énergie de continuer. Je me suis dit que si je réussissais à gagner de l’argent à Malte en pratiquant ce métier, il n’y avait pas de raison que je n’y parvienne pas à l’étranger.

Leader du groupe de hard rock suisse Fokus vous être devenu une légende. Comment est-ce arrivé ?

Lors de notre dernière tournée avec le groupe de hard rock suisse TEA, Krokus se produisait en lever de rideau. Peu de temps après, Chris von Rohr m’a appelé et m’a demandé si je voulais intégrer Krokus. J’ai écouté les bandes sonores de « Metal Rendez-Vous » et j’ai compris que c’était l’avenir.

Vous venez de publier votre premier album solo « STORACE – Live And Let Live ». Pourquoi si tardivement ?

Parce que j’avais de nombreux engagements et que le confinement m’a enfin permis de faire l’inventaire de mes tiroirs, de développer des thèmes et de travailler à mon propre album. Grâce à des contacts avec des musiciens tels que Cyrill et Massimo, que j’ai connus en participant à l’émission allemande « Sing meinen Song », nous avons pu structurer ces mélodies pour en faire des chansons.

Est-ce la concrétisation d’un rêve de jeunesse ?

Oui, j’ai toujours rêvé de composer un album « Storace ». Il était nécessaire que je le réalise, car à 70 ans on ne sait pas combien de temps il nous reste à passer encore sur cette terre.

Vous vous êtes produit dans des stades devant plus de 50 000 spectateurs. Le 20 décembre, vous chanterez pour le concert live en streaming de la Baloise Session @home, organisé avec le support de la Bâloise Assurance. Cette prestation a-t-elle un quelconque intérêt pour vous ?

Oui, car derrière chaque caméra se cachent des milliers de spectateurs. Si ce concert leur apporte de la joie, il m’en donnera aussi.

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