« Quand ça, Dieu??? » Britney Spears ne va pas fort après son altercation

Covermedia

10.7.2023 - 17:19

Britney Spears semble toujours tourmentée par sa rencontre musclée avec Victor Wembanyama. La chanteuse a demandé à Dieu quand elle sourira à nouveau dans un post Instagram.

Britney Spears s'en remet à Dieu après son altercation avec la sécurité de Victor Wembanyama. (ARCHIVES) 
Britney Spears s'en remet à Dieu après son altercation avec la sécurité de Victor Wembanyama. (ARCHIVES) 
AFP/Archives

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La chanteuse de 41 ans a affirmé avoir été frappée au visage par un agent de la sécurité de l'athlète alors qu'elle tentait de lui demander un selfie dans un restaurant de Las Vegas. Et l'interprète de Toxic semble encore sous le choc de cette rencontre, qui a eu lieu à l'hôtel ARIA, mercredi dernier (5 juillet 23).

Samedi, elle a posté un meme sur Instagram qui disait « Tu souriras à nouveau » et a ajouté en légende: « Quand ça, Dieu??? »

Alors qu'elle a affirmé qu'elle était tombée au sol et que ses lunettes avaient été arrachées après avoir été frappée par un membre de l'équipe de sécurité des San Antonio Spurs, une enquête policière a conclu le contraire. La police de Las Vegas a déclaré à l'Associated Press que la chanteuse s'était elle-même frappée et qu'aucune accusation ne serait donc déposée.

Les policiers ont examiné les images de surveillance ayant capturé l'incident et ont conclu que les images montrent « Britney allant tapoter le joueur des Spurs sur l'épaule. Quand elle a touché le joueur (...), sa main a été repoussée par le joueur sans que celui-ci ne se retourne, ce qui fait que la propre main de Britney l'a frappée au visage. »

Dans les images, on peut apparemment entendre Britney crier « Sir! Sir » avec un faux accent britannique alors qu'elle tente d'attirer l'attention de la star française de la NBA de 19 ans. Après s'être accidentellement frappée au visage, elle crie: « C'est ça, l'Amérique. Allez tous vous faire fou*re ! »

Vendredi, Britney Spears a commenté davantage les événements sur les réseaux sociaux, affirmant qu'elle ne blâmait pas Victor Wembanyama, mais estimait qu'elle n'avait pas été traitée comme « une personne égale dans ce pays ». « Je ne partage pas cela pour être une victime. JE COMPRENDS HONNÊTEMENT… ma réaction n'a pas de prix… Je me suis sentie impuissante dans beaucoup de situations (...) », a-t-elle notamment écrit.