A voir absolument« Adieu Les Cons » et ses 7 César, c'est sur blue Play !
Elvire Küenzi
30.5.2022
Le long-métrage d’Albert Dupontel a reçu 7 César dont celui du Meilleur film. La bonne nouvelle ? Il est désormais disponible sur blue Play.
Trailer - Adieu Les Cons
"Adieu les cons" disponible sur blue Play, la bande-annonce!
30.05.2022
Elvire Küenzi
30.05.2022, 13:40
31.05.2022, 10:30
Elvire Küenzi
C’est l’histoire de rencontres improbables et d’aventures rocambolesques. Une épopée pleine d’humanité qui vous emportera dans un tourbillon d’émotions inattendues.
Quand Suze Trappet découvre qu’elle est atteinte d’une grave maladie, elle prend une décision radicale : retrouver l’enfant qu’elle a dû abandonner quand elle était adolescente.
Sur sa route, elle va croiser le chemin de JB, un quinquagénaire en plein burn-out qui tente de se suicider et M. Blin, un archiviste aveugle qui déborde d’énergie.
La patte de Dupontel
« Adieu Les Cons » est marqué par la patte de Dupontel, par son exubérance, sa tendresse pour des thématiques sociales et pour des personnages cabossés par la vie. Après « 9 Mois ferme » ou encore « Au revoir là-haut », le cinéaste nous propose à nouveau une histoire touchante servie par des acteurs de haut vol. Au casting ? Virginie Efira, Albert Dupontel lui-même et Nicolas Marié.
Comment Albert Dupontel lui-même résumerait son film ?
Dans une interview accordée à Première Magazine, il raconte qu’il s’agit de la rencontre « d'une femme qui veut vivre mais ne peut pas et d'un homme qui peut vivre mais ne veut pas ». Il s’est donc attelé à dérouler l’histoire de « ces deux personnages métaphysiquement opposés » puis ajoute que Suze et JB « racontent leur détresse avec beaucoup de vie ».
Ce duo dépareillé va se retrouver embrigadé dans une quête essentielle et pleine de sens tout en se heurtant à de nombreux déboires administratifs. Quelques scènes absurdes et certaines péripéties loufoques font gentiment lever les yeux au ciel et le hasard fait parfois un peu trop bien son travail pour aider nos protagonistes mais on aime se dire que la vie peut parfois être l’instigatrice de petits miracles.
Cette course folle va mener notre troupe à une conclusion flamboyante, belle et triste à la fois.