Chronique TV On a visionné pour la première fois « Demain nous appartient » !

d'Elvire Küenzi

14.6.2021

Le feuilleton de TF1 déchaine les passions et regroupe tous les jours de la semaine entre 3 et 4 millions de téléspectateurs. Par curiosité, on s’est lancé et on a regardé un épisode. On vous livre notre verdict.

Le feuilleton de TF1 « Demain nous appartient » regroupe une communauté de fans très impliqués et qui n'hésitent pas à donner leur avis sur les réseaux sociaux. Ils sont 243 418 sur Facebook et pas moins de 459 000 sur Instagram.
Le feuilleton de TF1 « Demain nous appartient » regroupe une communauté de fans très impliqués et qui n'hésitent pas à donner leur avis sur les réseaux sociaux. Ils sont 243 418 sur Facebook et pas moins de 459 000 sur Instagram.
TF1

d'Elvire Küenzi

14.6.2021

Aux alentours de midi, mes copines vont toutes, selon leur expression, « regarder des trucs » à la télévision. Elles appellent ça leur péché mignon et sont complètement accros mais ne prononcent jamais le nom de ces émissions qu’elles adorent. Apparemment, elles sont quelque peu gênées d’admettre qu’elles attendent les aventures de leurs héros préférés avec impatience.

TF1

L’une d’elle finit par me dire un jour que cette fameuse série qui la rend dingue s’appelle « Demain nous appartient », DNA pour les intimes. Et elle est loin d’être la seule à être tombée dedans comme Obélix est tombé dans la marmite de potion magique. Chaque jour de la semaine, il lui faut sa dose !

Croyez-moi, je ne la juge pas. J’avais moi-même développé une addiction à « Plus belle la vie » il y a quelques années !

Par curiosité, je me fixe le challenge de me lancer dans cette série de TF1 et allume donc ma télé pour me plonger dans la vie des habitants de la ville de Sète.

Sur le papier, elle ressemble à PBLV et narre des histoires de familles entre romances, trahisons et problématiques sociétales. On y retrouve des visages connus comme Ingrid Chauvin, Vanessa Demouy, Clément Rémiens, Alexandre Brasseur, Véronique Jannot, Frédéric Dienfenthal, Lorie Pester ou encore Charlotte Valandrey. Voilà de quoi nous donner l’impression qu’on ne débarque pas dans l’inconnu. Les acteurs populaires nous enveloppent d’une douce familiarité et, pour les non-initiés, cela rend le visionnage plus accessible.

Il n’est jamais facile de suivre une série en regardant un épisode au hasard en plein milieu d’une saison déjà installée. DNA est diffusé depuis 2017 et le soap compte déjà quatre saisons (940 épisodes). Est-ce que c’est difficile de s’immerger dans l’univers du feuilleton ? Franchement non.

Les intrigues sont simples, les personnages attachants, les écueils nous attendrissent directement car on touche à la famille et à l’amour. Et la fin se termine sur un cliffhanger comme on peut l’attendre pour attraper au mieux les téléspectateurs.

Certes, les épisodes sont courts (une petite demi-heure) ce qui laisse un goût de frustration, un peu comme si on ne pouvait lire que trois pages d’un roman, mais la stratégie fonctionne et on a envie d’y revenir.

En résumé, « Demain nous appartient » utilise une recette très efficace et très simple avec une bonne dose de sentiments et de rebondissements…

Et ça marche !

Je ne sais pas si je vais adopter la série au quotidien mais j’ai passé un bon moment dans son univers et avec ses personnages.

Vous pouvez regarder « Demain nous appartient » du lundi au vendredi à 19h10 sur TF1 ou à 11h45 sur RTS1 !

Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).
Rédactrice pour différents journaux suisses, blogueuse et passionnée des mots, Elvire Küenzi adore les séries (elle est tombée dans le chaudron magique en regardant Sex and the City et n'en est jamais ressortie)! Elle écrit aussi des romans girly en mangeant des marshmallows et en sirotant des cocktails (avec modération, bien sûr).